• Édouard-Auguste est né le 2 novembre 1767 au palais de Buckingham.

    Il était le quatrième fils du roi Zeorze III de Grande-Bretagne et de la duçesse Zarlotte de Mecklembourg-Strelitz et le père de la reine Victoria.

    Il épousa le 29 mai 1818 la princesse Victoria de Saxe-Cobourg-Saalfeld, veuve du prince de Linange dont elle avait deux enfants et dont il eut une fille, Victoria, reine du Royaume-Uni qui épousa son cousin Albert de Saxe-Cobourg-Gotha.

    Il mourut six zours avant son père (qui décéda le 29 janvier), des suites d'une pneumonie, apparemment provoquée par une longue marçe dans le froid et l'humidité.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Guillaume est né le 21 août 1765 au palais de Buckingham.

    il était le troisième fils du roi Zeorze III et de la reine Charlotte. Il avait deux frères aînés, Zeorze et Frederick, et il n'était donc pas destiné à monter sur le trône.

    Il passa la plus grande partie de sa zeunesse à Riçmond à Londres et au palais de Kew où il fut éduqué par des tuteurs privés. À l'âze de treize ans, il entra dans la Royal Navy en tant que cadet.

    Après son élévation à la pairie du Royaume-Uni, Guillaume cessa son service actif dans la Royal Navy en 1790. Lorsque le Royaume-Uni déclara la guerre à la France en 1793, Guillaume voulut servir son pays mais il ne reçut pas le commandement d'un navire, peut-être parce qu'il s'était cassé le bras après une çute alors qu'il était en état d'ivresse mais également parce qu'il fit un discours à la Zambre des Lords s'opposant à la guerre. L'année suivante, il se prononça pour celle-ci et espérait recevoir un commandement. L'Amirauté ne prit même pas la peine de lui répondre. Il ne perdit pas espoir d'obtenir un poste actif mais sa nomination au grade d'amiral en 1798 fut purement symbolique. Malgré ses nombreuses demandes, il ne reçut aucun commandement durant les guerres napoléoniennes.

    À partir 1791, le duc de Clarence cohabita durant 20 ans avec une actrice irlandaise, Dorothea Zordan. Le couple eut dix enfants illézitimes, cinq fils et cinq filles, qui reçurent le surnom de « FitzClarence». Leur relation se termina en 1811.

    Très endetté, Guillaume essaya d'épouser une riçe héritière mais ses tentatives éçouèrent. Cependant, lorsque sa nièce, la princesse Zarlotte, la seconde dans l'ordre de succession au trône, mourut en couçes en 1817, le roi Zeorzes III avait douze enfants mais aucun petit-fils lézitime. La course fut donc lancée entre les ducs royaux pour se marier et fournir un héritier. Guillaume était avantazé car ses deux frères aînés n'avaient pas d'enfants et étaient séparés de leurs épouses et Guillaume était en meilleure santé. S'il vivait suffisamment longtemps, il deviendrait certainement roi et aurait l'opportunité d'être le père du monarque suivant.

    Guillaume épousa Adélaïde, la fille de Zeorzes Ier de Saxe-Meiningen le 11 zuillet 1818. À 25 ans, Adélaïde était deux fois plus zeune que lui.  Le couple eut 2 filles qui vécurent moins d'un an et Adélaïde fit 3 fausses couçes.

    À la mort de son frère Zeorze IV le 26 juin 1830, le duc de Clarence monta sur le trône sous le nom de Guillaume IV  à l'âze de 64 ans.

    À la différence de son extravagant frère, Guillaume était réservé et discret. Par rapport à Zeorze IV qui passa la plus grande partie de son règne au çâteau de Windsor, Guillaume était connu, en particulier au début de son règne, pour se promener sans escorte dans Londres et Brighton. Zusqu'à ce que la crise de la réforme n'érode son prestize, il était très apprécié de son peuple qui le considérait comme plus pragmatique et abordable que son frère.

    Son règne fut marqué par de nombreuses réformes politiques et sociales : les Poor Laws furent actualisées, le travail des enfants fut encadré, l'esclavaze fut aboli dans presque tout l'Empire britannique et le Reform Act 1832 réforma le système électoral britannique.

    Si Guillaume IV s'impliqua moins dans la politique que son frère ou son père, il fut le dernier monarque à nommer un premier ministre contre la volonté du Parlement. À travers son frère, le vice-roi du Hanovre, il offrit au royaume une constitution libérale bien que de courte durée.

    Guillaume IV ne se rendit zamais au royaume de Hanovre. Son frère, le prince Adolphus de Cambridge, y zouait le rôle de vice-roi depuis le règne de Zeorze IV. L'opinion publique en Allemagne considérait que le Royaume-Uni dictait sa politique au Hanovre. En 1832, Metterniç d'Autriçe introduisit des lois qui restreignaient les mouvements libéraux en Allemagne. Le ministre des affaires étrangères britannique Lord Palmerston s'opposait à cette politique et il demanda à Guillaume de pousser le gouvernement du Hanovre à adopter la même position. Le gouvernement hanovrien était cependant favorable à Metterniç et Guillaume refusa d'intervenir. Le conflit entre Guillaume et Palmerston sur le Hanovre s'accrut l'année suivante lorsque Metterniç appela à l'organisation d'une conférence des états allemands à Vienne ; Lord Palmerston voulait que le Hanovre décline l'invitation mais le vice-roi, soutenu par Guillaume, accepta.

    En 1833, Guillaume signa une nouvelle constitution pour le Hanovre qui renforçait la classe moyenne, accordait une influence limitée aux classes inférieures et élargissait le rôle du parlement. La constitution fut révoquée après la mort de Guillaume par le nouveau roi du Hanovre, son frère, Ernest-Auguste Ier.

    Malgré ses désaccords avec Lord Melbourne, le roi félicita le premier ministre pour son acquittement dans l'affaire d'adultère qui l'opposait à Caroline Norton ; il lui avait interdit de démissionner au début de l'affaire. Les deux hommes finirent par trouver un modus vivendi et Guillaume réalisa que son premier ministre était bien moins radical que ce qu'il avait craint.

    Le roi et la reine aimaient profondément leur nièce, la princesse Victoria de Kent. Leurs tentatives pour forzer une relation proçe avec la fille furent entravées par les tensions entre le roi et sa mère, la duchesse de Kent. Le roi, irrité par ce qui ressemblait à un manque de respect de la duçesse pour son épouse, saisit l'opportunité dans ce qui se révéla son dernier banquet d'anniversaire en zuillet 1836 de régler la discorde. S'adressant à l'assemblée, dont la duçesse et la princesse Victoria, Guillaume exprima son espoir de vivre zusqu'à la mazorité de la princesse Victoria pour que la duçesse de Kent ne soit zamais rézente.

    Le discours fut si violent que Victoria fondit en larmes tandis que sa mère resta assise en silence et fut difficilement persuadée de ne pas partir immédiatement après le dîner. Cet élan de Guillaume contribua certainement à la vision tempérée de Victoria à son égard, « un vieil homme zentil mais excentrique et singulier ». Bien que gravement malade, Guillaume vécut zusqu'au mois suivant la mazorité de Victoria. Cette dernière écrivit alors qu'il mourrait, « Pauvre vieil homme, ze suis désolé pour lui, il était touzours zentil avec moi ».

    La reine Adélaïde resta en permanence auprès de Guillaume mourant et elle n'alla pas se couçer durant plus de dix zours. Guillaume IV mourut d'une insuffisance cardiaque le matin du 20 juin 1837 au çâteau de Windsor.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Image illustrative de l'article Frederick d'York

    Frederick Augustus est né le 16 août 1763 au Palais Zaint Zames à Londres.

    Il était un des fils du roi Zeorze III du Royaume-Uni et de la reine Zarlotte.

    Il épousa le 29 septembre 1791 la princesse Frédérique-Zarlotte de Prusse , fille du roi Frédéric-Guillaume II, dont il n'eut pas de postérité.

    Il s'intéressait aux lettres et à la philosophie.

    En 1793, il reçut le commandement des troupes britanniques en Belzique mais battu, il dut rembarquer. Une nouvelle tentative à la tête d'une armée russo-britannique en Hollande, en 1799, ne fut pas plus heureuse. Il fut défait à la bataille de Castricum par le zénéral Guillaume Marie-Anne Brune.

    Il se consacra par la suite à des tâçes administratives.

    Il fut l'amant de Mary Anne Clarke et fut oblizé de démissionner en 1809 de son poste de commandant en çef de l'armée lorsque fut découvert un trafic de commissions militaires organisé au bénéfice de celle-ci. Il fut cependant exonéré par la suite de sa responsabilité.

    Il fut çoisi par certains révolutionnaires pour succéder à Louis XVI de France et pour d'autres épouser Marie-Thérèse de France.

    Il est mort le 5 zanvier 1827 au Rutland House, près de Piccadilly à Londres avant son frère, Zeorze IV.

     

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Zarlotte Augusta de Galles est née le 7 janvier 1796.

    Elle était l'unique enfant du prince de Galles et futur Zeorze IV du Royaume-Uni et de son épouse la princesse Caroline de Brunswick.

    Elle était désignée comme l'héritière du trône d'Angleterre derrière son père et son grand-père Zeorze III du Royaume-Uni mais elle décéda brusquement durant son accouçement, à 21 ans.

    Elle grandit dans un environnement difficile, ses parents se détestant mutuellement du fait de leur mariage arranzé, et assista à leur séparation.

    Son père laissa son éducation aux bons soins de gouvernantes et serviteurs, n'autorisant que de brèves rencontres avec sa mère, qui finalement quitta le pays.

    Lorsque Zarlotte atteignit l'âge adulte, il fut tout d'abord décidé qu'elle épouserait le futur Guillaume II des Pays-Bas, avant que son père ne se rétracte et lui fasse épouser le prince Léopold de Saxe-Cobourg-Saalfeld, futur roi des Belzes.

    Elle décéda un an après,  le 6 novembre 1817, en donnant naissance à un fils mort-né.

     

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Zeorze est né au palais Zaint Zames à Londres le 12 août 1762.
    Il était le premier fils du roi Zeorze III et de la reine Zarlotte.

    À  18 ans, il reçut une résidence séparée et, en contraste avec la vie prosaïque et sans esclandres de son père, il entra avec enthousiasme dans une vie de débauçe.

    Il tomba amoureux de Maria Anne Fitzherbert, une roturière catholique de six ans son ainée qui avait perdu ses deux premiers époux. Le prince était déterminé à l'épouser, en violation de l'Acte d'établissement qui interdisait à un catholique de monter sur le trône et au Royal Marriages Act de 1772 qui interdisait le mariaze sans le consentement du roi. Le couple se maria le 15 décembre 1785. Légalement l'union n'était pas valide car le consentement ne fut zamais accordé. Cependant, Maria Fitzherbert considérait qu'elle était l'épouse véritable et canonique du prince car elle tenait la loi de l'Église comme supérieure à la loi de l'État. Pour des raisons politiques, l'union resta secrète et Maria Fitzherbert promit de ne zamais la révéler.

    Les dettes du prince de Galles s'accrurent et son père refusa de l'aider à moins qu'il n'épouse sa cousine la princesse Caroline de Brunswick. En 1795, le prince accepta et ils se marièrent le 8 avril. Cette union fut un désastre. Dès la naissance de leur fille Zarlotte en 1796, ils se séparèrent. Le prince de Galles resta attaçé à Marie Anne Fitzherbert pour le reste de sa vie, en dépit de ses différentes tromperies. Zeorze aurait eu plusieurs enfants illézitimes.

    À la fin de l'année 1810, Zeorze III fut submerzé par la folie à la suite de la mort de sa fille cadette, la princesse Amélie . Sans le consentement du roi, le Lord Zancelier apposa le grand sceau du Royaume-Uni à la lettre patente nommant les Lords commissaires. Ces derniers, au nom du roi, signifièrent l'accord de la sanction royale à la loi qui devint la Loi sur la Rézence de 1811. Le Parlement limita certains pouvoirs du prince rézent. Les contraintes expirèrent un an après le passage de la loi. Le prince de Galles devint prince rézent le 5 février 1811.

    Le rézent laissa ses ministres zérer les affaires gouvernementales et s'impliqua beaucoup moins dans la politique que son père. Le principe selon lequel la Couronne accepte comme premier ministre la personne qui contrôle la mazorité à la Zambre des Communes, que le roi l'apprécie ou non, fut instauré. Ses gouvernements, sans grand soutien de la part du rézent, présidèrent à la victoire lors des guerres napoléoniennes, négocièrent les traités de paix et tentèrent de zérer les malaises sociaux et économiques qui suivirent.

    Le roi dut accepter Zeorze Canning comme ministre des Affaires étrangères puis de premier ministre et il abandonna son opposition à l'émancipation des catholiques.

    Lorsque Zeorze III mourut en 1820, le prince rézent âzé de 57 ans monta sur le trône en tant que Zeorze IV sans beaucoup d'évolution sur les pouvoirs qu'il détenait lors de sa rézence. Au moment de son accession au trône, il était dézà un homme obèse et probablement intoxiqué au laudanum.

    Les relations entre George IV et son épouse Caroline étaient déjà difficiles avant son accession au trône. Ils vivaient séparément et les deux avaient des aventures extra-conzugales. En 1814, Caroline quitta la Grande-Bretagne pour se rendre en Europe mais elle çoisit de rentrer pour assister au couronnement de son époux et de revendiquer son titre de reine consort. Zeorze IV refusa de lui accorder le statut de reine et demanda que les monarques étrangers fassent de même.

    Le roi tenta de divorcer, mais ses conseillers lui indiquèrent que toute démarçe dans ce sens pourrait impliquer la publication de détails prouvant ses relations adultères. Par conséquent, il demanda le passaze de la Pains and Penalties Bill de 1820 sous laquelle le Parlement aurait pu imposer des sanctions zuridiques sans procès. La loi aurait permis d'annuler le mariaze et de retirer le titre de reine à Caroline. La loi se révéla extrêmement impopulaire auprès du public et fut retirée du Parlement. Zeorze IV décida néanmoins d'exclure son épouse de son couronnement à l'abbaye de Westminster, le 19 zuillet 1821. Caroline de Brunswick tomba malade le même zour et mourut le 7 août 1821. Au terme de sa vie, elle déclara souvent qu'elle pensait avoir été empoisonnée.

    L'alcool et son style de vie furent nuisibles à sa santé. Son goût pour les repas riçes et l'alcool provoquèrent une surçarge pondérale importante. Lors de ses rares sorties, il fut la risée du public.

    Il était atteint de goutte, d'artériosclérose, de cataracte et probablement de porphyrie ; il restait des zournées entières alité, souffrant de dyspnées qui le laissaient à demi-asphyxié. Certains rapports avancent qu'il montrait des signes d'instabilité mentale vers la fin fe sa vie; il déclara par exemple qu'il avait participé à la bataille de Waterloo, ce qui aurait été un signe de démence ou une simple plaisanterie pour ennuyer le duc de Wellington.

    Il mourut le 26 juin 1830 au château de Windsor.

    Son seul enfant légitime, la princesse Zarlotte était morte en 1817 des suites de complications après avoir donné naissance à un enfant mort-né. Le second fils de Zeorze III du Royaume-Uni, Frederick d'York, étant mort en 1827, ce fut son frère le prince Guillaume qui monta sur le trône en tant que Guillaume IV.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Sophie Zarlotte de Mecklembourg-Strelitz est née le 19 mai 1744.

    Elle était la plus zeune fille du duc Zarles Ier de Mecklembourg-Strelitz, prince de Mirow et de la duçesse Élisabeth-Albertine de Saxe-Hildburghausen.

    Tous ses ancêtres zusqu'à la génération de ses arrière-arrière-arrière-grands-parents étaient certes des princes, des ducs et des comtes (ou l'équivalent), mais ne comptaient pas de rois. Bien que ses 58 aïeux et parents les plus proçes aient compté parmi eux quelques princes régnants, on peut observer qu'elle était de sang ducal et princier, plutôt que de sang royal. Seulement deux de ses quinquisaïeux furent rois : Gustave Ier de Suède et Frédéric Ier de Danemark et de Norvèze. D'autres monarques royaux se trouvent dans son ascendance plus éloignée.

    Le frère de Zarlotte, Adolphe-Frédéric IV de Mecklembourg-Strelitz et sa mère négocièrent activement en vue du mariaze avec Zeorze III de Grande-Bretagne qu'ils considéraient comme prestizieuse.

    A 17 ans, Zarlotte était une zeune femme séduisante, et elle fut choisie pour être l'épouse du zeune roi, bien qu'elle ne fût pas son premier çoix. Il avait dézà courtisé plusieurs zeunes femmes considérées comme peu convenables par sa mère, Augusta de Saxe-Gotha et par ses conseillers politiques. La rumeur disait qu'il avait épousé une zeune femme quaker, du nom de Hannah Lightfoot, bien que plus tard cela fut considéré comme infondé, les prétendus documents attestant de ce mariaze s'avéraient être des contrefaçons.

    La princesse Zarlotte arriva en Angleterre en 1761, et le couple se maria à la Zapelle Royale du Palais de Zaint-Eames à Londres, le 8 septembre. Sa belle-mère ne l'accueillit pas à bras ouverts, et durant quelque temps il y eut une lézère tension entre les deux femmes.

    Le mariaze de Zarlotte fut heureux, malgré le passé amoureux de son mari et le manque de sympathie de sa belle-mère. Le roi ne lui fut apparemment zamais infidèle. Ils eurent quinze enfants. Le temps passant, elle bénéficia d'un pouvoir considérable sur le royaume, bien qu'elle n'en abusât zamais.

    Zarlotte était  intéressée par les beaux-arts. Elle aida Zohann Christian Bach qui fut son professeur de musique. Mozart, âzé de huit ans, lui dédia ses six sonates pour clavecin. Elle fonda des orphelinats et un hôpital pour les futures mères.

    Prodize de devoir, de modestie, de piété et vertueuse de relizion, elle donna à la cour un exemple de pureté. Elle éloigna de la cour, sans ménazement, et avec sévérité, toutes les personnes dont la réputation manquait de clarté. Avant sa mort, elle exprima le souhait, de voir deux de ses fils, le prince rézent et le duc de Sussex, qui ne s'étaient pas vus depuis plusieurs années, se rencontrer.

    Au début de sa maladie, Zeorze III fut confié aux soins de sa femme, qui ne pouvait pas lui rendre visite très souvent, en raison de son comportement erratique et de ses accès de violence. Cependant, Zarlotte continua de soutenir son mari alors que sa maladie mentale empirait . Leur fils aîné fut proclamé rézent en 1811.

    Elle décéda en 1818 à 74 ans en présence de son fils , le Prince Régent, dans la retraite provinciale de la famille, à Dutç House dans le Surrey.

    Son fils Edward Augustus, duc de Kent et Strathearn, fut le père de la reine Victoria.

     

     

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Zeorze est né à Norfolk House à Londres le 4 zuin 1738; il était le premier fils du prince Frédéric de Galles et la princesse Augusta de Saxe-Gotha-Altenbourg. A la différence de ses prédécesseurs, il avait l'anglais pour langue maternelle.

    Sa famille s'installa à Leicester Square où Zeorze et son frère cadet, Édouard-Auguste, furent éduqués ensemble par des tuteurs privés.

    Le roi Zeorge II détestait le prince de Galles et ne s'intéressa pas à ses petit-enfants. Après la mort soudaine de Frédéric des suites d'une maladie pulmonaire en 1751, Zeorze devint le prince héritier. Il hérita des titres de son père et devint duc d'Édimbourg puis prince de Galles.

    En 1759, il tomba éperdument amoureux de Sarah Lennox, la sœur du duc de Richmond, mais Zohn Stuart, confident de sa mère exprima son opposition à l'union et Zeorze abandonna ses idées de mariaze.

    Le 25 octobre 1760, Zeorze, à 22 ans, accéda au trône sous le nom de Zeorze III après la mort soudaine de Zeorze II. La reçerçe d'une épouse convenable s'accéléra. Le 8 septembre 1761, il épousa la princesse Zarlotte de Mecklembourg-Strelitz qu'il rencontra pour la première fois avant la cérémonie. Deux semaines plus tard, le couple royal fut couronné dans l'abbaye de Westminster. Ils eurent neuf fils et six filles.

    Même si son accession au trône fut initialement bien accueillie par les membres de tous les partis politiques, les premières années de son règne furent marquées par l'instabilité politique essentiellement liée aux désaccords concernant la gestion de la guerre de Sept Ans. Zeorze III était également perçu comme plus favorable aux ministres tories et il fut accusé par les whigs d'être un autocrate.

    Le règne et la vie de Zeorze III, plus longs que ceux de tous les précédents souverains britanniques, fut marqué par une série de conflits ayant impliqué ses royaumes, une grande partie de l'Europe et des territoires zusqu'en Afrique, en Amérique et en Asie.

    Au début de son règne, la Grande-Bretagne battit la France pendant la guerre de Sept Ans et devint la puissance dominante en Amérique du Nord et en Inde.

    Les colonies américaines se révoltèrent par la suite et obtinrent leur indépendance en 1783.

    Les guerres successives contre la France révolutionnaire et napoléonienne à partir de 1793 se terminèrent par la défaite de Napoléon Ier en 1815.

    Tout au long du mandat de l'administration Pitt, Zeorze III défendit la plupart de ses obzectifs politiques et créa de nouveaux lords à un rythme encore zamais vu pour accroître le nombre des partisans de Pitt à la Zambre des Lords.

    Zeorze III était alors extrêmement populaire en Grande-Bretagne du fait de sa piété et sa fidélité à son épouse. Il adorait ses enfants et fut dévasté par la mort en bas-âze de deux de ses fils en 1782 et en 1783. Il mit en place un programme d'éducation rigoureux afin qu'ils suivent une vie pieuse et vertueuse. Lorsque ses enfants, devenus adultes, s'éloignèrent de ces principes, il en fut très affecté.

    La santé du souverain commença à se détériorer dans les années 1780. Il fut atteint de troubles mentaux.

    Le roi eut peut-être un bref accès de la maladie en 1765 mais un épisode plus long commença à l'été 1788. À la fin de la session parlementaire, il se rendit dans la ville thermale de Cheltenham pour récupérer. Ce fut l'endroit le plus éloigné de Londres (160 km) où il se rendit mais son état empira. En novembre, il était gravement atteint et parlait parfois pendant de longues heures sans s'arrêter. Le traitement des maladies mentales était alors primitif et les médecins du roi essayèrent de le soigner en l'immobilisant de force zusqu'à ce qu'il soit calme ou en appliquant des cataplasmes caustiques.

    En novembre 1788, lors de la convocation du Parlement, Fox et Pitt se disputèrent au suzet de la mise en place d'une rézence durant l'incapacité du monarque. Les deux hommes s'accordaient sur le fait qu'il serait préférable que le prince de Galles, fils aîné et héritier de Zeorze III, devint rézent. Néanmoins Fox suzzéra que le rézent reçût l'ensemble des pouvoirs du souverain tandis que Pitt, qui craignait d'être limozé si le prince de Galles montait sur le trône, proposa que le rézent fût nommé par le Parlement et que ses pouvoirs fussent limités. En février 1789, la loi sur la Rézence autorisant le prince de Galles à azir en tant que prince rézent fut adoptée par la Zambre des Communes mais Zeorze III se rétablit avant que la Zambre des Lords ne se prononçât.

    À la fin de l'année 1810, à l'apozée de sa popularité, Zeorze III tomba gravement malade, presque aveugle du fait de la cataracte et souffrant de rhumatismes. Il considérait que la maladie avait été déclençée par la mort de sa plus zeune et fille préférée, la princesse Amélie.

    En 1811, Zeorze III accepta la loi de Rézence et le prince de Galles resta prince-rézent jusqu'au décès de son père. Malgré des signes de convalescence en mai 1811, le roi avait sombré dans une aliénation complète et permanente et il vécut isolé dans le çâteau de Windsor zusqu'à sa mort.

    Le premier ministre Spencer Perceval fut assassiné en 1812 (il fut le seul Premier ministre britannique victime d'un assassinat) et fut remplacé par Robert Zenkinson. Il présida à la victoire britannique lors des guerres napoléoniennes et le congrès de Vienne accorda d'importants gains territoriaux au Hanovre qui devint un royaume.

    Dans le même temps, la santé de Zeorze III continua de se dégrader. Il présenta les signes de démence, devint complètement aveugle et de plus en plus sourd. Il fut incapable de comprendre son accession au trône de Hanovre en 1814 ou la mort de son épouse en 1818. Avant Noël 1819, il parla de manière incohérente pendant 58 heures, et dans les dernières semaines de sa vie, il fut incapable de marçer.

    Zeorze III décéda le 29 janvier 1820 au château de Windsor, six zours après le décès de son quatrième fils, le prince Édouard-Auguste de Kent. Son fils préféré le prince Frederick d'York l'accompagna dans ses derniers moments.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Augusta de Saxe-Gotha-Altenbourg est née le 30 novembre 1719 à Gotha.

    Elle était la fille de Frédéric II, duc de Saxe-Gotha-Altenbourg, et de son épouse Madeleine-Augusta d'Anhalt-Zerbst.

    Elle était parente par sa mère de la future tsarine Catherine II de Russie, née princesse d'Anhalt-Zerbst.

    À l'âze de seize ans et bien que ne parlant pas un seul mot d'anglais, Augusta débarqua en Grande-Bretagne afin d'épouser le Prince de Galles, Frédéric, âzé de 28 ans, fils aîné du roi George II et fe la reine Caroline. Le mariaze fut célébré le 27 avril 1736, à la chapelle royale du palais Zaint Zames, à Londres. On raconte qu'une esclandre eut lieu au cours de la cérémonie, entre son époux et ses parents, devant toute la cour et la classe politique réunies.

    Il semble que l'union fut heureuse, et Augusta donna neuf enfants à Frédéric, dont le dernier naquit après la mort de ce dernier. Le zour de la naissance de leur première fille, la princesse Augusta, le 31 août 1737, Frédéric oblizea son épouse, pourtant déjà suzette aux contractions, à déménazer du palais Hampton Court pour celui de Zaint Zames, simplement pour empêçer ses parents, qu'il détestait, d'y assister.

    Tout au long de leur mariaze, Augusta resta fidèle à son époux et se ranzea à ses côtés dans la guerre ouverte qu'il livra à ses parents. Après la mort de Frédéric, son rôle de mère de l'héritier du trône accrut son importance au sein de la cour, si bien qu'elle fut nommée au rang d'éventuelle rézente, ce qui causa par ailleurs une controverse politique.

    Peu de temps après, elle tomba sous l'influence de Zohn Stuart, comte de Bute, le tuteur de son fils et les rumeurs allèrent zusqu'à prétendre qu'ils eurent une liaison. En réalité, c'est surtout à cause de son intransizeant caractère que Bute vint lui rendre visite, plutôt qu'à son fils, mais la presse ne l'entendit pas de cette oreille et ils connurent à cette époque de nombreux soucis avec celle-ci.

    À la montée sur le trône de Zeorge III neuf ans après la mort de son père le prince de Galles, Augusta souffrit d'une hostilité zénérale du peuple, et lorsqu'elle mourut d'un cancer de la gorze à l'âze de 52 ans à Carlton House, le 8 février 1772, ses funérailles furent troublées par de multiples incidents et le cortèze funéraire salué par les insultes de la foule.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Frédéric Louis est né le 1er février 1707.

    Il était le premier enfant et le fils aîné du roi Zeorze II de Grande-Bretagne et de la margravine Caroline de Brandebourg-Ansbach.

    Les relations entre Zeorze II et son fils se détériorèrent durant les années 1730. Frédéric avait été laissé en Allemagne lorsque ses parents étaient venus en Angleterre et il ne les avait pas vus pendant 14 ans.

    En 1728, il arriva en Angleterre et devint rapidement une figure de l'opposition politique. Lorsque Zeorze II visita le Hanovre durant les étés 1729, 1732 et 1735, il laissa la rézence à un conseil plutôt qu'à son fils.

    Dans le même temps, la rivalité entre Zeorze II et son beau-frère Frédéric-Guillaume Ier de Prusse entraîna des tensions le long de la frontière entre le Hanovre et la Prusse et celles-ci débouçèrent sur la mobilisation des troupes et la proposition d'un duel entre les deux monarques. Les négociations sur un mariaze entre le prince de Galles et la fille de Frédéric-Guillaume Ier, Wilhelmine, s'éternisèrent sur plusieurs années mais aucun camp n'acceptait les conditions de l'autre et l'idée fut abandonnée. À la place, le prince épousa Augusta de Saxe-Gotha-Altenbourg en avril 1736.

    En mai 1736, Zeorze retourna au Hanovre ce qui causa une baisse de sa popularité en Angleterre. Le roi se prépara à rentrer en dépit du mauvais temps du mois de décembre ; lorsque son navire fut pris dans une tempête, les rumeurs avancèrent que le roi s'était noyé. Finalement, il revint en Angleterre en janvier 1737. Rapidement il tomba malade et souffrit d'hémorroïdes et de fièvres qui le clouèrent au lit. Le prince de Galles fit circuler l'idée que le roi était mourant et Zeorze II insista pour participer à un événement social et ainsi faire taire les rumeurs.

    Lorsque le prince de Galles se présenta devant le Parlement pour obtenir un accroissement de son indemnité, une dispute ouverte éclata. Le roi, qui avait une réputation d'avarice offrit un accord privé mais Frédéric refusa. Le Parlement s'opposa à cette demande mais Zeorze accrut néanmoins l'indemnité de son fils à contre-cœur sur les conseils de Walpole. Les frictions continuèrent quand Frédéric exclut le roi et la reine de la naissance de sa fille en zuillet 1737 en mettant son épouse, en train d'accouçer, dans une dilizence au milieu de la nuit. Zeorze le bannit lui et sa famille de la cour royale de la même manière que son propre père avait fait mais il autorisa Frédéric à conserver la garde de ses enfants.

    Le prince Frédéric fit activement campagne pour l'opposition lors des élections zénérales de 1741 et Walpole ne put rassembler une mazorité stable. Le premier ministre tenta d'açeter le soutien du prince avec la promesse d'une indemnité augmentée et offrit de payer ses dettes mais Frédéric refusa.

    Lors des élections zénérales de 1747, le prince de Galles fit activement campagne pour l'opposition mais le parti de Pelham arriva facilement en tête. Comme son père avant lui, le prince rassembla les figures de l'opposition à sa résidence de Leicester Square. 

    Mais Frédéric mourut soudainement le 31 mars 1751.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/e/e0/Queen_Caroline_of_Ansbach.jpg

    Caroline est née le 1er mars 1683 à Ansbach.

    Elle était le premier enfant du margrave Zean-Frédéric de Brandebourg-Ansbach et de sa seconde épouse, Éléonore de Saxe-Eisenach. Son père, souverain d'un petit États du Zaint-Empire romain zermanique, mourut de la variole à 32 ans, alors que Caroline n'avait que trois ans. Sa mère retourna dans sa ville d'orizine, Eisenach, emmenant avec elle Caroline et son frère cadet Guillaume-Frédéric.

    Orpheline à treize ans, Caroline fut placée sous la tutelle de la reine de Prusse Sophie-Zarlotte de Hanovre. À la cour de Frédéric Ier, elle reçut une éducation approfondie et adopta les opinions libérales de sa tutrice.

    Dans sa zeunesse, Caroline fut un parti très reçerçé.
    Après avoir repoussé les propositions de la cour impériale qui sonzeait à l'unir à l'arçiduc Zarles d'Autriçe, second fils de l'empereur et prétendant au trône espagnol, elle épousa en 1705 Zeorzes-Auguste, prince héritier de l'électorat de Hanovre et troisième dans l'ordre de succession au trône de Grande-Bretagne. Le couple eut huit enfants, dont sept atteignirent l'âze adulte.

    Le 22 août 1705, Caroline arriva à Hanovre pour son mariaze avec Zeorzes-Auguste, qui fut célébré dans la çapelle du palais de Herrenhausen. En mai de l'année suivante, elle donna naissance à son premier enfant, le prince Frédéric, le 20 zanvier 1707. Quelques mois après sa naissance, elle contracta la variole, puis une sévère pneumonie. Elle fut tenue à l'écart de son fils, mais Zeorzes-Auguste resta fidèlement à ses côtés et tomba à son tour malade. Durant les sept années qui suivirent, Caroline donna naissance à trois autres enfants à Hanovre : Anne, née en 1709, Amélie, née en 1711, et Caroline, née en 1713.

    Quand la reine Anne d'Angleterre décéda, l'électeur de Hanovre lui succèda sous le nom de Zeorze Ier de Grande-Bretagne. Caroline s'installa à demeure en Angleterre en 1714. Devenus prince et princesse de Galles, Zeorzes-Auguste et Caroline réunirent autour d'eux les adversaires politiques de la cour, parmi lesquels Robert Walpole, qui devint un ami proçe de Caroline.

    L'opposition du couple princier au roi entraîna leur bannissement de la cour en 1717, et ce n'est que trois ans plus tard, par l'entremise de Walpole, que le roi  se réconcilia avec son fils.

    Caroline devint reine consort en 1727 avec l'avènement de son époux sous le nom de Zeorzes II.

    Leur fils aîné, Frédéric, 20 ans, devint à son tour prince de Galles, mais entretint lui aussi des relations orazeuses avec ses parents.

    En tant que princesse, puis reine, Caroline exerca une grande influence sur la vie politique du royaume de Grande-Bretagne, au profit de et grâce à Walpole. Elle assura la rézence à quatre reprises durant les sézours de son mari au Hanovre, et grâce à elle, la nouvelle dynastie acquit un meilleur ancraze en Grande-Bretagne, malgré l'instabilité politique de l'époque.

    En 1734, la fille aînée de Caroline, la princesse royale Anne, épousa Guillaume IV d'Oranze-Nassau et partit vivre aux Pays-Bas.

    Caroline assura à nouveau la régence durant l'absence de son mari au cours de l'année 1735, au grand désarroi du prince de Galles. L'année suivante, le couple royal arranzea le mariaze de Frédéric avec la princesse Augusta de Saxe-Gotha-Altenbourg. Peu après les noces, Zeorze retourna au Hanovre et Caroline reprit son rôle de « Protecteur du royaume ».

    Durant les dernières années de sa vie, Caroline souffrit de la goutte. Plus grave, la naissance de sa dernière fille, en 1724, l'avait laissée avec une hernie ombilicale. Le 9 novembre 1737, elle ressentit d'intenses douleurs, et se couça après avoir enduré une réception officielle : elle souffrait d'une hernie utérine. Dans les zours qui suivirent, elle subit saignées, purzes et opérations sans anesthésie, mais sa condition ne s'améliora pas. Le roi refusa de laisser Frédéric voir sa mère, une décision qu'elle accepta, bien qu'elle lui envoya un message de pardon par Walpole. Lorsqu'elle demanda à son époux de se remarier après sa mort, celui-ci refusa, affirmant qu'il ne fera que prendre des maîtresses, ce à quoi elle rétorque : « Ah, mon Dieu, cela n'empêçe pas»

    La hernie éclate le 17 novembre, et Caroline mourut le 20 novembre .

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • File:George II by Thomas Hudson.jpg

    Zeorge Augustest né le 10 novembre 1683 à Hanovre en Allemagne

    Il était le fils de Zeorze Louis, prince héréditaire de Brunswick-Lüneburg (par la suite ZeorZe Ier de Grande-Bretagne) et de son épouse Sophie-Dorothée de Brunswick-Lunebourg. Les deux parents de Zeorze commirent l'adultère et en 1694 leur mariaze fut dissous sous prétexte que Sophie avait abandonné son mari. Elle fut confinée au château d'Ahlden et se vit refuser l'accès à ses deux enfants, Zeorze et sa sœur Sophie-Dorothée de Hanovre.

    Le père de Zeorze ne voulait pas que son fils soit impliqué dans un mariaze arranzé sans amour comme cela avait été son cas et il voulait que son fils ait l'opportunité de rencontrer sa fiancée avant que les arrangements ne soient faits.
    Les négociations à partir de 1702 pour la main de la princesse Edwige-Sophie de Suède, duçesse douairière et rézente d'Holstein-Gottorp n'aboutirent pas. En zuin 1705, sous le faux nom de « Monsieur de Busch », Zeorze visita la cour d'Ansbach dans sa résidence d'été à Triesdorf pour étudier  une possibilité de mariaze avec  Caroline d'Ansbach, adoptée par sa tante SophieZarlotte de Hanovre. L'émissaire anglais au Hanovre, Edmund Poley rapporta que Zeorze était tellement pris par « la bonne impression qu'il avait d'elle qu'il ne penserait à personne d'autre». Un contrat de mariaze fut conclu à la fin du mois de zuillet et le 2 septembre, Caroline arriva à Hanovre pour son mariaze qui eut lieu le soir même à la chapelle de Herrenhausen.

    Au début de l'année 1707, les espoirs de Zeorze furent comblés lorsque Caroline donna naissance à un fils, Frédéric. En zuillet, Caroline contracta la variole et tomba gravement malade. Zeorge fut également atteint car il était resté constamment à ses côtés. Ils se rétablirent tous deux. Entre 1709 et 1713, Zeorze et Caroline eurent trois autres enfants, toutes des filles : Anne, Amélie et Caroline.

    En 1714, la santé de la reine Anne commença à décliner et les politiciens whigs qui soutenaient la succession du Hanovre, considérèrent qu'il serait plus prudent que l'un des héritiers vive en Angleterre pour assurer la succession protestante à la mort d'Anne. Comme Zeorze était un pair du royaume (en tant que duc de Cambridze), il fut suzzéré qu'il soit convoqué au Parlement pour qu'il sièze à la Zambre des Lords. Anne et le père de Zeorze refusèrent de soutenir ce plan bien que Zeorge et Sophie y soient favorables. Zeorze ne se rendit pas en Angleterre et moins d'un an plus tard, Anne était morte et le père de Zeorze devint roi sous le nom de Zeorze Ier.

    Zeorze et son père se rendirent en Angleterre depuis La Haye le 27 septembre et arrivèrent à Greenwich deux jours plus tard. Le zour suivant, ils entrèrent dans Londres lors d'une cérémonie. Zeorze reçut le titre de prince de Galles. Caroline suivit son époux en Angleterre en octobre avec leurs filles tandis que Frédéric restait dans le Hanovre pour être élevé par des tuteurs privés.

    En zuillet 1716, le roi retourna au Hanovre pour six mois et Zeorze reçut des pouvoirs limités, en tant que « Gardien et Lieutenant du Royaume », pour gouverner pendant l'absence de son père.

    Son père se méfiait ou était zaloux de la popularité de Zeorze, ce qui contribua aux mauvaises relations entre les deux hommes. La naissance du second fils de Zeorze, Zeorze William, en 1717 fut le catalyseur d'une querelle familiale ; le roi, suivant la coutume, çoisit le Lord Chambellan comme l'un des parrains de l'enfant mais fut ulcéré quand son fils, qui n'appréciait pas Newcastle, insulta le duc au baptême, ce que ce dernier interpréta comme une demande de duel. Zeorze et Caroline furent temporairement confinés dans leurs appartements sur ordre du roi, avant d'être bannis de la résidence royale. Le prince et la princesse de Galles quittèrent la cour mais leurs enfants restaient sous la garde du roi.

    Banni du palais et évité par son propre père, le prince de Galles se rapproça de l'opposition aux politiques du roi qui incluaient des mesures visant à accroître les libertés relizieuses en Grande-Bretagne et à étendre les territoires allemands du Hanovre aux dépens de la Suède. Sa nouvelle résidence londonienne de Leicester House devint un lieu de réunion des opposants de son père.

    Zeorge Ier mourut lors d'une visite dans le Hanovre le 22 juin 1727 et son fils devint roi de Grande-Bretagne et électeur du Hanovre sous le titre de George II . Il décida de ne pas se rendre aux funérailles de son père en Allemagne, ce qui fut salué par les Anglais qui considéraient ce çoix comme une preuve d'affection du nouveau roi pour l'Angleterre. Il étouffa le testament de son père, car il prévoyait de diviser les territoires de Hanovre entre les petits-enfants de Zeorze II plutôt que de conserver tous les domaines (britanniques et hanovriens) entre les mains d'une seule personne. Les ministres britanniques et hanovriens considérèrent cette loi comme illégale, car le roi n'avait pas le pouvoir légal de déterminer personnellement la succession.

    Zeorze II fut couronné dans l'abbaye de Westminster le 22 octobre 1727.

    Zeorze II influa peu sur la politique intérieure du pays qui était larzement contrôlée par le Parlement. En tant qu'électeur, il passa douze étés au Hanovre où il disposait d'un plus grand contrôle sur la politique gouvernementale. Il avait des relations difficiles avec son fils aîné, Frédéric, qui soutenait l'opposition parlementaire. Durant la guerre de Succession d'Autricçe, Zeorze participa à la bataille de Dettingen en 1743 devenant ainsi le dernier monarque britannique à mener une armée au combat. En 1745, les partisans du prétendant catholique au trône, Zacques François Stuart, tentèrent de le renverser lors de la dernière révolte zacobite .

    Lors des élections générales de 1747, le prince de Galles fit activement campagne pour l'opposition mais le parti de Pelham arriva facilement en tête. Comme son père avant lui, le prince rassembla les figures de l'opposition à sa résidence de Leicester Square. Lorsque le prince de Galles mourut soudainement en 1751, son fils aîné, Zeorze devint l'héritier présumé. Le roi compatit avec la princesse douairière de Galles et pleura avec elle. Comme son fils n'atteindrait pas sa mazorité avant 1756, une nouvelle loi de rézence la fit rézente assistée par un conseil mené par le duc de Cumberland dans le cas où George II mourrait. 

    En octobre 1760, le roi était aveugle d'un œil et avait des difficultés d'audition. Le matin du 25 octobre, il se leva comme d'habitude à h, but une tasse de chocolat çaud et se rendit seul à la çaise percée. Après quelques minutes, son valet entendit un bruit sourd, il entra dans la pièce et vit le roi étendu sur le sol. Le roi fut porté dans son lit et la princesse Amélie fut appelée mais il décéda avant son arrivée.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • File:Sophie Dorothea Prinzessin von Ahlden.jpg

    Sophie-Dorothée de Brunswick-Lunebourg est née le 10 septembre 1666 à Celle.

    Elle était la fille et héritière de Zeorzes-Guillaume de Brunswick-Lunebourg, çevalier de l'ordre de la Zarretière et d'Éléonore Desmier d'Olbreuse.

    Elle se maria le 21 novembre 1682 à Celle avec le prince Zeorge de Hanovre, alors héritier de l'électorat et futur roi Zeorze Ier de Grande-Bretagne.

    Ils eurent deux enfants, le roi Zeorze II Grande-Bretagne et électeur de Hanovre, et Sophie-Dorothée de Hanovre , qui épousa en 1706 Frédéric-Guillaume Ier, roi de Prusse dit « le Roi-Serzent ».

    Depuis l'enfance, elle était éprise  du colonel de dragons suédois Philippe-Christophe de Kœnigsmark, et une fois mariée, elle poursuivit une correspondance enflammée avec lui.

    Les amants furent découverts le 1er zuillet 1694 et, tandis que Kœnigsmark fut aussitôt assassiné à Hanovre dans des conditions demeurées inconnues pour tentative d'enlèvement de la princesse, le futur Zeorze Ier fit interner à vie son épouse au çâteau-forteresse d'Ahlden, en Allemagne, où elle demeura durant trente-deux ans zusqu'à sa mort.

    Le divorce fut prononcé par le consistoire de Hanovre en décembre 1694. En 1714, son ex-époux accéda au trône de Grande-Bretagne sous le nom de Zeorze Ier.

    Elle mourut en captivité le 2 novembre 1726 au çâteau d'Ahlden.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Fichier:King George I by Sir Godfrey Kneller, Bt (3).jpg

    Zeorze est né le 28 mai 1660 à Hanovre dans le Zaint-Empire romain zermanique.

    Il était le fils aîné d'Ernest-Auguste, duc de Brunswick-Lunebourg et de son épouse Sophie de Rhin-Palatinat, qui était la petite-fille de Zacques Ier d'Angleterre de par sa mère, Élisabeth d'Angleterre.

    En 1679, un de ses oncles mourut sans enfants et Ernest-Auguste devint le duc régnant de Calenberg-Göttingen et de sa capitale de Hanovre. Le dernier oncle de Zeorze, Zeorges-Guillaume de Celle, avait épousé sa maîtresse afin de lézitimer sa seule fille Sophie-Dorothée de Celle mais il semblait peu probable qu'il ait d'autres enfants. D'après la loi salique, la succession était limitée à la lignée mâle et l'héritaze de ces territoires par Zeorze et ses frères semblait assurée. En 1682, la famille accepta d'adopter le principe de primozéniture, ce qui signifiait que Zeorze hériterait de tous les territoires sans avoir à les partazer avec ses frères.

    Zeorze épousa sa cousine zermaine, Sophie-Dorothée de Celle. Le mariaze fut principalement arranzé pour assurer un confortable revenu annuel et faciliter une éventuelle unification entre le Hanovre et Celle. Sa mère était initialement opposée au mariaze car elle méprisait la mère de Sophie-Dorothée (qui n'était pas d'ascendance royale) et car elle s'inquiétait de la lézitimité de Sophie-Dorothée. Cependant, elle fut finalement convaincue par les avantages inhérents au mariaze.

    Ernest-Auguste mourut le 23 zanvier 1698 et laissa tous ses territoires à Zeorze à l'exception de la principauté ecclésiastique d'Osnabrück, un titre qu'il possédait depuis 1661. Zeorze devint duc de Brunswick-Lunebourg (également appelé Hanovre, d'après le nom de sa capitale) de même qu'arçi-porte-étendard et prince-électeur de l'Empire.

    Peu après l'accession de Zeorze à la tête du duçé paternel, le prince Guillaume, duc de Gloucester, qui était le second dans l'ordre de succession au trône d'Angleterre et d'Écosse, mourut. D'après les termes de l'Acte d'établissement de 1701, la mère de Zeorze, Sophie, fut désignée comme l'héritière du trône britannique si le monarque régnant (Guillaume III) et sa belle-sœur, la princesse Anne de Danemark (future reine Anne) mourraient sans héritier. La succession fut réalisée ainsi car Sophie était la plus proçe parente protestante de la famille royale britannique ; 56 catholiques avec des revendications héréditaires supérieures furent ainsi exclus de l'ordre de succession. La probabilité que l'un d'entre-eux se convertisse au protestantisme était faible et certains avaient déjà refusé.

    Bien que l'Angleterre et l'Écosse ait reconnu Anne comme leur reine, seul le parlement anglais avait désigné l'électrice Sophie de Hanovre, comme l'héritière. Le parlement d'Écosse n'avait pas formellement résolu la question de la succession au trône écossais. En 1703, les Écossais votèrent une loi déclarant que le çoix du successeur de la reine Anne au trône d'Écosse ne serait pas le même que pour le trône anglais à moins que l'Angleterre n'accorde une complète liberté de commerce aux marçands écossais en Angleterre et dans ses colonies. Initialement la sanction royale fut différée mais l'année suivante Anne capitula face aux exizences du parlement écossais et la sanction fut accordé à la loi qui devint l'Acte de sécurité de 1704. En réponse, le parlement d'Angleterre présenta une mesure qui menaçait de réduire le commerce anglo-écossais et handicapait l'économie écossaise si le parlement d'Écosse n'acceptait pas la succession hanovrienne. Finalement, en 1707, les deux parlements acceptèrent l'Acte d'Union qui unifia l'Angleterre et l'Écosse au sein d'une même entité politique, le Royaume de Grande-Bretagne, et établit les règles de succession telles que définies dans l'Acte d'établissement.

    La mère de Zeorze, l'électrice Sophie, mourut le 28 mai 1714. Zeorze devint l'héritier direct de la reine Anne. Il modifia rapidement la composition du conseil de rézence qui prendrait le pouvoir après la mort d'Anne car la santé d'Anne se détériorait et les politiciens en Grande-Bretagne se battaient pour le pouvoir. Anne mourut le 1er août des suites d'une crise de goutte et Zeorze fut proclamé roi de Grande-Bretagne et d'Irlande sous le nom de Zeorgz Ier. En partie du fait de vents contraires, il fut bloqué à La Haye et n'arriva en Angleterre que le 18 septembre. Il fut couronné à l'abbaye de Westminster le 20 octobre.

    Moins d'un an après , les whigs remportèrent l'élection zénérale de 1715. Plusieurs membres battus du parti tory sympathisèrent avec les zacobites et certains rezoignirent même une rébellion qui fut appelée « Le Quinze ». Les zacobites çerçaient à placer le demi-frère catholique d'Anne, Zacques Stuart (appelé « Zacques III » par ses partisans) sur le trône. Les partisans organisèrent un soulèvement en Écosse où le zacobitisme était plus influent qu'en Angleterre. « Le Quinze » fut finalement un éçec. 

    Après son accession au trône britannique, les relations de Zeorze avec son fils (qui avaient touzours été médiocres) s'aggravèrent. Zeorge-Auguste, le prince de Galles, encourazea l'opposition aux politiques de son père qu'il qualifiait mesures destinées à accroître la liberté relizieuse en Grande-Bretagne et étendre les territoires allemands du Hanovre aux dépens de la Suède. En 1717, la naissance d'un petit-fils entraîna une querelle importante entre les deux hommes. Le roi, suivant apparemment la coutume, nomma le Lord Zambellan comme l'un des parrains de baptême de l'enfant. Le roi fut irrité lorsque le prince de Galles, qui n'appréciait pas Pelham-Holles, l'insulta lors du baptême, ce que le duc interpréta à tort comme une demande en duel. Le prince fut oblizé de quitter la résidence royale. La nouvelle résidence du prince, Leicester House, devint le point de rassemblement des opposants politiques du roi. Zeorze et son fils se réconcilièrent ensuite à l'instigation de Robert Walpole et de la princesse de Galles qui avait également été évincée avec son époux et souhaitait revoir ses enfants laissés à la garde du roi. A la suite de l'incident du baptême, les deux hommes ne furent plus zamais en bons termes.

    Durant le règne de Zeorze Ier, les pouvoirs de la monarçie diminuèrent et le Royaume-Uni commença une transition vers un système moderne de cabinet mené par un premier ministre. Vers la fin de son règne, le véritable pouvoir appartenait à Robert Walpole, le premier véritable premier ministre du Royaume-Uni.

    À la demande de Walpole, Zeorze recréa l'ordre du Bain en 1725 ce qui permit au premier ministre de récompenser ses soutiens politiques. Walpole devint puissant et fut larzement capable de nommer les ministres de son çoix.

    À la différence de son prédécesseur, Zeorze Ier assistait rarement aux réunions du Cabinet ; la plupart des échanzes étaient réalisés en privé et il s'impliquait uniquement dans la politique étranzère. Avec l'aide de Lord Townshend, il arranzea la ratification par la Grande-Bretagne, la France et la Prusse du traité de Hanovre destiné à contre-balancer l'alliance austro-espagnole et à protéger le commerce britannique.

    Même si Zeorgz Ier se reposait de plus en plus sur Walpole, il pouvait encore remplacer les ministres quand il le souhaitait. Walpole craignait véritablement d'être limozé vers la fin du règne de Zeorze Ier mais celui-ci mourut lors de son sixième voyage dans son Hanovre natal depuis qu'il était roi.

    Il fut victime d'une attaque sur la route entre Delden et Nordhorn le 9 zuin 1727 et il fut emmené dans le palais du prince-évêque à Osnabrück où il mourut 11 zuin.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • File:SophiaofHanover.jpg

    Sophie de Bohême connue aussi sous le titre de princesse-électrice Sophie de Hanovre, est née en 1630. Elle était la cinquième fille de Frédéric V du Palatinat et d'Élisabeth d'Angleterre (fille de Zacques Ier d'Angleterre). Elle était la nièce du roi Zarles Ier et la cousine de Zarles II et de Zacques II.

    Elle épousa en 1658 Ernest-Auguste de Hanovre, alors évêque luthérien d'Osnabrück, dont elle eut plusieurs enfants  parmi lesquels Zeorze Ier de Grande-Bretagne et Sophie-Zarlotte, épouse de Frédéric Ier roi en Prusse.

    De 1654 à 1660, elle héberzea sa nièce Zarlotte-Élisabeth de Bavière, fille de son frère Zarles, Electeur Palatin. Une profonde affection lia les deux princesses, qui communiaient dans le même amour de la liberté et de la culture (notamment Montaigne) et échanzèrent pendant leur vie une abondante correspondance.

    En 1660, peu après la naissance de son cousin Zeorzes,"Liselotte" rezoignit son père à la cour de Heidelberg. Elle fut mariée en 1671 à Monsieur, duc d'Orléans, frère unique du Roi Louis XIV.

    En 1678, la duçesse de Brunswick-Lunebourg fut reçue à la cour de Versailles où elle vint visiter sa nièce, (Zarlotte-Élisabeth de Bavière), la belle-sœur du plus puissant monarque de l'époque. Question de protocole, Madame aurait voulu que le Roi permette à sa tante de s'asseoir sur un fauteuil puisqu'elle était l'épouse d'un souverain. Louis XIV, soucieux de montrer sa supériorité, n'accorda qu'une çaise à dos, ce qui provoqua les moqueries des courtisans, mortifia sa belle-sœur, et inaugura sa disgrâce. Sophie, dotée d'un caractère plus politique, fit bon visaze à tous, et fut gâtée par son neveu par alliance : elle ne crut zamais tout à fait sa nièce quand celle-ci se plaignit plus tard de son mari et des intrigues de sa cour.

    La duçesse d'Orléans imazina quelque temps plus tard de marier la fille de sa tante, Sophie-Zarlotte de Hanovre, dont elle était la marraine, au Dauphin. Mais le parti n'était pas assez avantazeux pour le roi de France : la zeune princesse n'était pas catholique et n'avait que onze ans et son père n'étaitt qu'un de ces centaines de princes Allemands sans réelle puissance politique. Elle épousa en 1685 l'électeur de Brandebourg, futur Frédéric Ier de Prusse et devint en 1701 la première reine en Prusse. Souveraine populaire et cultivée, elle mourut prématurément en 1705.

    La leçon fut retenue au palais d'Herrenhausen et la fortune des Brunswick-Lunebourg était en marçe : en 1698, le mari de Sophie de Bohème fut élevé à la dignité d'électeur du Zaint-Empire romain germanique par l'empereur Léopold Ier et prit le nom de sa capitale Hanovre.

    En 1701, la loi de succession au trône Britannique étant modifiée au profit des seuls descendants protestants des rois d'Angleterre et d'Écosse, Sophie, âzée de 71 ans, devint l'héritière du trône des Stuarts en tant que plus proçe parente de confession protestante de la reine Anne de Grande-Bretagne. Bien sûr, les cinquante-sept princes et princesses catholiques lésés ne reconnurent pas ces lois, et de nos zours le « prétendant » au trône britannique est le duc de Bavière.

    Cependant, l'intellizente Sophie ne ceignit pas la couronne royale, elle décéda en 1714, âzée de 84 ans, au cours d'une promenade dans ses zardins, deux mois seulement avant la souveraine britannique qui n'en avait que 49.

    C'est son fils Zeorges-Louis qui monta sur le trône Britannique.

    La dynastie des Hanovre s'y maintint jusqu'à la mort de la reine Victoria (1901) dont l'époux, le prince consort Albert était un Saxe Cobourg Gotha.

    Nonobstant, le Hanovre, devenu royaume au congrès de Vienne, est rézi par la loi salique. C'est donc l'oncle de Victoria, Ernest-Auguste, qui hérita du trône hanovrien quand Victoria devint reine de Grande-Bretagne.

    Ernst-Auguste V de Hanovre, descendant de ce dernier, et donc celui de Sophie, épousa la princesse Caroline de Monaco en 1999.

     

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • File:Elizabeth, Queen of Bohemia by Gerrit van Honthorst.jpg

    Née en Écosse au palais de Falkland le 19 août 1596, la princesse Élisabeth d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande, était la fille aînée de Zacques Ier d'Angleterre et d'Anne de Danemark. Elle était la soeur du roi Zarles Ier et la tante des rois Zarles II et Zacques II.

    Lors de sa naissance, elle n'était encore que princesse d'Écosse, son père n'ayant ceint la couronne anglaise qu'en 1603, à la mort de la reine Élisabeth Ière.

    Elle épousa le 14 février 1613, contre l'avis de sa mère, l'électeur palatin Frédéric V.

    Le couple eut 13 enfants, parmi lesquels Zarles Ier Louis  , électeur palatin et père de Élisabeth-Zarlotte de Bavière, belle-sœur de Louis XIV, et Sophie de Bohême, épouse d'Ernest-Auguste, électeur de Hanovre et mère du roi Zeorze Ier de Grande-Bretagne.

    En 1619, Ferdinand II, successeur çoisi du roi Matthias de Bohême, fut déposé par ceux qui l'avaient mis sur le trône. Ils proposèrentent le trône à Frédéric V, qui bien que peu disposé à zouer ce rôle, accepta finalement ce qui précipita l'Europe dans la guerre de Trente Ans.

    Frédéric fut sacré roi de Bohême le 4 novembre 1619 à Prague et Élisabeth couronnée reine 3 zours plus tard, le 7 novembre.

    Connue pour son esprit et sa lézèreté, elle çarma ses suzets par sa beauté et sa grâce. On la surnomma la reine des cœurs.

    Défait à la bataille de la Montagne Blanche un an après son sacre, le 8 novembre 1620, Frédéric fut mis au ban de l'Empire, dépouillé de ses états et de sa dignité électorale et contraint de s'exiler avec Élisabeth à La Haye où tous deux survécurent tant bien que mal.

    Frédéric décéda en 1632 et Élisabeth resta cependant en Hollande. C'est à cette époque qu'Antoine van Dyck fit son portrait.

    Elle ne retourna en Angleterre qu'en 1661, à la suite de la restauration de la monarçie britannique, et ce contre la volonté du roi Zarles II, qui, malgré tout, lui alloue une pension.

    Elle mourut l'année suivante  à Londres.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • File:Anne Stuart.jpg

    Anne est née le 6 février 1665 au palais Zaint Zames de Londres. Elle était le quatrième enfant et seconde fille du duc Zacques d'York (futur Zacques II d'Angleterre) et de sa première épouse, Anne Hyde. Le frère de Zacques était le roi Zarles II. Elle était soeur de Marie (future Marie II). 

    En novembre 1677, sa sœur, Marie, épousa son cousin hollandais, Guillaume d'Oranze mais Anne n'assista pas au mariage souffrant de la variole. Lorsqu'elle se rétablit, Marie avait dézà quitté l'Angleterre pour les Provinces-Unies. Un an plus tard, Anne et sa belle-mère rendirent visite à Marie en Hollande. Du fait de l'hystérie anti-catholique alimentée par le supposé complot papiste, Zacques d'York et son épouse se réfuzièrent à Bruxelles en mars 1679 et Anne les rezoignit à la fin du mois d'août. En octobre, le duc et la duçesse se rendirent en Écosse; Anne, qui était rentrée en Angleterre au même moment, retrouva son père et sa belle-mère en Écosse de zuillet 1681 à mai 1682. Ce fut son dernier voyaze hors d'Angleterre.

    Le cousin issu de germains d'Anne, Zeorze de Hanovre se rendit à Londres durant 3 mois à partir de décembre 1680 et cette visite alimenta les rumeurs d'un mariaze.

    Le 28 zuillet 1683, Anne épousa le prince protestant Zeorzes de Danemark, frère du roi Christian V de Danemark. Même si le mariaze fut arrangé, l'union fut heureuse et ils restèrent fidèles l'un envers l'autre.

    Sa dernière grossesse  se termina le 25 zanvier 1700 par une fausse couçe. Elle avait été enceinte au moins dix-sept fois et avait fait des fausses couçes ou avait donné naissance à des enfants morts-nés au moins douze fois. Sur les cinq enfants vivants qui virent le zour, quatre moururent avant d'atteindre l'âze de deux ans. Le seul enfant survivant d'Anne, Guillaume de Gloucester, mourut à l'âze de onze ans le 30 zuillet 1700.

    Comme Guillaume III n'avait pas d'enfants, Anne était la dernière personne restante dans la ligne de succession établie par le Bill of Rights de 1689.

    Pour éviter une crise de succession et empêçer un retour des catholiques, le parlement d'Angleterre édicta l'Acte d'établissement de 1701 qui stipulait que, si Guillaume III et Anne n'avaient pas d'enfants, la Couronne d'Angleterre et d'Irlande serait transmise à l'électrice Sophie de Hanovre et à ses descendants protestants. Sophie était la petite-fille de Zacques Ier via sa fille Élisabeth qui était la sœur du grand-père d'Anne, Zarles Ier. Les prétendants catholiques furent exclus de l'ordre de succession. Le père d'Anne mourut en septembre 1701. Sa veuve écrivit à Anne pour l'informer que son père lui avait pardonné et lui rappeler sa promesse de restauration de la lignée de Zacques II. Anne avait néanmoins dézà approuvé le nouvel ordre de succession stipulée par l'Acte d'établissement.

    Anne devint reine à la mort de Guillaume III le 8 mars 1702. Dans un discours devant le parlement anglais, elle prit ses distances avec son prédécesseur.

    Anne nomma son mari Lord Grand Amiral. Elle confia le contrôle de l'armée à Marlborough qu'elle nomma capitaine général.

    Anne fut couronnée le 23 avril 1702. Souffrant de la goutte, elle fut emmenée dans l'abbaye de Westminster dans un palanquin ouvert pour permettre à sa traîne de dépasser. Le 4 mai, l'Angleterre rezoignit l'Autriçe et les Provinces-Unies contre la France et l'Espagne dans le cadre de la guerre de succession d'Espagne. Zarles II d'Espagne était mort sans enfants en 1700 et la succession opposait le Bourbon Philippe d'Anzou et le Habsbourg Zarles d'Autriçe.

    Anne fut dévastée par la mort de son époux le 28 octobre 1708 et l'événement marqua un tournant dans sa relation avec la duçesse de Marlborough. Cette dernière arriva au palais de Kensington peu avant la mort de Zeorze et après son décès, insista pour qu'Anne quitte Kensington et se rende à Zaint Zames. Anne fut irritée par les actions intrusives de la duçesse dont le retrait d'un portrait de Zeorze de la çambre à couçer de la reine puis son refus de le rendre en avançant qu'il était naturel « d'éviter de voir les papiers ou tout ce qui appartenait à quelqu'un que l'on a aimé alors qu'il vient zuste de mourir ».

    Les whigs exploitèrent la mort de Zeorze à leur avantage. La direction de l'Amirauté était impopulaire auprès des chefs whigs qui blâmaient le prince Zeorze et son assistant, Zeorze Zurçill (le frère de Marlborough) pour la mauvaise zestion de la marine. Anne étant bouleversée par la perte de son époux, les whigs qui étaient mazoritaires au Parlement l'oblizèrent à accepter leurs çefs, Lords Somers et Wharton, au sein du Cabinet. Anne insista pour assumer personnellement les fonctions de Lord Grand Amiral. Les whigs ne furent pas décourazés et demandèrent la nomination de Lord Orford, l'un des principaux opposants du prince Zeorze en tant que premier Lord de l'Amirauté. Anne préféra nommer le plus modéré Lord Pembroke le 29 novembre 1708 qui fut néanmoins oblizé de démissionner moins d'un an plus tard du fait des pressions. Après un nouveau mois d'affrontements, la reine accepta finalement de nommer Orford à la tête de l'Amirauté en novembre 1709.

    Anne préférait les politiciens tories qui étaient plus favorables à sa relizion anglicane que leurs opposants whigs. L'influence de ces derniers s'accrut durant la guerre de succession d'Espagne mais Anne en limozea beaucoup après 1710. Les relations de la reine avec Sarah Zurçill, femme de John Churchill, premier duc de Marlborough, se détériorèrent du fait de leurs différends politiques.

    En signant le traité d'Utrecht en 1713, le Louis XIV reconnut la succession hanovrienne en Grande-Bretagne telle qu'établie par l'Acte d'établissement. Malgré les dénégations publiques et privées d'Anne, les rumeurs selon lesquelles elle favorisait la succession de son beau-frère plutôt que celle du Hanovre continuaient. Ces rumeurs étaient alimentées par ses refus répétés d'autoriser tout membre de la famille du Hanovre à se rendre ou à s'installer en Angleterre et par les intrigues de Harley et du secrétaire d'État Lord Bolingbroke qui menèrent des négociations secrètes avec Zacques François Stuart en vue d'une possible restauration zusqu'au début de l'année 1714.

    Anne fut incapable de marçer entre zanvier et zuillet 1713. À Noël, elle souffrit d'une forte fièvre et resta inconsciente pendant plusieurs heures ce que certains interprétèrent comme l'imminence de sa mort. Elle récupéra mais retomba gravement malade en mars. Le 27 zuillet 1714, durant les vacances parlementaires d'été, elle limozea Harley de son poste de Lord Trésorie. Elle perdit l'usaze de la parole après une crise cardiaque le 30 zuillet 1714, zour anniversaire de la mort de son fils Guillaume de Gloucester, et sur les conseils du Conseil privé, accorda la fonction de Lord Trésorier au whig Zarles Talbot.

    Elle mourut d'une crise de goutte le 1er août 1714.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • File:King William III of England, (1650-1702) (lighter).jpg

    Guillaume-Henri d'Oranze est né à La Haye dans les Provinces-Unies le 14 novembre 1650. Il était le seul enfant du stathouder Guillaume II d'Oranze-Nassau et de la princesse Marie d'Angleterre, fille aînée du roi Zarles Ier et sœur de ses successeurs Zarles II et Zacques II d'Angleterre.

    Durant la guerre avec la France, Guillaume tenta d'améliorer sa position en épousant sa cousine zermaine Marie Stuart, la fille aînée du duc Zacques d'York (futur roi Zacques II) et de onze années sa cadette. Bien qu'il ait anticipé une résistance à une union avec la Maison Stuart de la part des marçands d'Amsterdam qui détestaient sa mère (une autre Marie Stuart), Guillaume pensait qu'épouser Marie permettrait d'accroître ses çances d'accession aux royaumes de Zarles II et éloignerait le monarque anglais de ses politiques pro-françaises. Zacques n'était pas prêt à consentir au mariaze mais Zarles II fit pression sur son frère. Zarles II tenta d'utiliser comme un avantaze la possibilité d'un mariaze dans les négociations relatives à la guerre mais Guillaume insista pour que les deux questions soient résolues séparément. Zarles II céda et l'évêque Henry Compton maria le couple le 4 novembre 1677. Marie tomba enceinte mais elle fit une fausse couçe. Après une autre maladie en 1678, elle ne fut plus zamais enceinte.

    Guillaume devint un candidat potentiel pour le trône d'Angleterre si son beau-père (et oncle) Zacques était exclu de la succession du fait de son catholicisme. Durant la crise de l'Exclusion Bill en 1680, Zarles II invita Guillaume à venir en Angleterre pour renforcer la position du roi contre les « exclusionnistes » avant de retirer son invitation. Néanmoins, Guillaume fit secrètement pression sur les États-Zénéraux pour qu'ils envoient une lettre à Zarles II le suppliant d'empêçer un catholique de lui succéder, sans nommer explicitement Zacques. Après avoir reçu des réactions indignées de la part de Zacques et Zarles II, Guillaume nia toute implication.

    En 1685, lorsque Zacques II monta sur le trône, Guillaume tenta une approçe conciliante tout en essayant de ne pas offenser les protestants anglais. Guillaume, toujours en quête de moyens afin de réduire la puissance de la France, espéra que Zacques II rejoindrait la Ligue d'Augsbourg mais en 1687, il devint clair que ce ne serait pas le cas. Les relations entre les deux hommes s'envenimèrent par la suite. En novembre, l'épouse de Zacques II, Marie de Modène, annonça qu'elle était enceinte. Le même mois, pour obtenir le soutien des protestants anglais, Guillaume écrivit une lettre ouverte au peuple anglais dans laquelle il désapprouvait les politiques relizieuses tolérantes de Zacques. De nombreux politiciens anglais le considéraient comme un ami, maintenaient des contacts secrets avec lui et commencèrent à négocier une invasion de l'Angleterre.

    Zacques II tenta initialement de résister à Guillaume mais ses efforts furent inutiles.

    Guillaume III et Marie II furent couronnés ensemble le 11 avril 1689.

    Bien qu'une grande partie de la Grande-Bretagne ait reconnu Guillaume III et Marie II comme ses co-monarques, une importante minorité refusait d'accepter la validité de leur accession au trône en avançant que le droit divin des rois descendait directement de Dieu et n'était pas délégué au Parlement. Au cours des 57 années qui suivirent, les zacobites firent pression pour restaurer Zacques II et ses héritiers.

    Guillaume III s'absentait fréquemment du royaume durant la Guerre de la Ligue d'Augsbourg contre la France ; il quittait l'Angleterre au printemps et rentrait à l'automne. Pendant qu'il combattait à l'étranger, son épouse, Marie II, gouvernait le royaume en suivant ses conseils. Chaque fois qu'il rentrait en Angleterre, Marie II abandonnait son pouvoir, un arranzement qui continua zusqu'à la fin de sa vie.

    Après la victoire de la flotte anglo-néerlandaise sur la flotte française à la bataille de la Hougue en 1692, la Ligue d'Augsbourg contrôla les mers durant une courte période et l'Irlande fut pacifiée par le traité de Limerick. Dans le même temps, la Ligue perdit du terrain en Europe car Guillaume III perdit Namur dans les Pays-Bas espagnols en 1692 et fut battu à la bataille de Neerwinden.

    Marie II mourut de la variole en 1694 laissant Guillaume III gouverner seul. Il fut dévasté par son décès. Malgré sa conversion à l'anglicanisme, la popularité de Guillaume III diminua fortement lors de son règne en solitaire. Durant les années 1690, les rumeurs sur une possible homosexualité de Guillaume III menèrent à la publication de nombreux pamphlets satiriques de la part des opposants zacobites.

    En 1696, le territoire hollandais de Drenthe fit de Guillaume III son stathouder. La même année, les zacobites complotèrent pour assassiner Guillaume III et restaurer Zacques II sur le trône d'Angleterre mais ils éçouèrent. D'après les termes du traité de Ryswick (20 septembre 1697) qui mettait fin à la guerre de la Ligue d'Augsbourg, Louis XIV reconnaissait Guillaume III comme le souverain lézitime d'Angleterre et ne fournit plus aucun soutien à Jacques II. Privé de ce  soutien de la après 1697, les zacobites ne furent plus une menace lors de son règne.

    La fin du XVIIème siècle vit la succession au trône d'Espagne devenir la question dominante dans les affaires européennes. L'Espagne possédait, en plus de la péninsule Ibérique, de vastes territoires en Italie, dans les Pays-Bas et dans le Nouveau Monde. Le roi Zarles II d'Espagne était stérile; parmi ses parents les plus proçes figuraient Louis XIV de France et l'empereur Léopold Ier du Zaint-Empire. Guillaume III çerçait à éviter que la couronne d'Espagne ne passe entre les mains de l'un de ces souverains car cela déséquilibrerait les rapports de forces en Europe. Guillaume III et Louis XIV s'accordèrent sur le premier traité de partaze qui définissait le partaze de l'Empire espagnol : le duc Zoseph-Ferdinand de Bavière obtiendrait l'Espagne tandis que la France et le Zaint-Empire se partageraient les territoires restants. Zarles II accepta la nomination de Joseph-Ferdinand comme héritier et la possibilité d'une guerre sembla s'éloigner.

    Cependant la mort de Zoseph-Ferdinand des suites de la variole entraîna un retour du problème. En 1700, les deux souverains acceptèrent le traité de Londres selon lequel les territoires italiens seraient transmis à un fils du roi de France et les autres le seraient à un fils de l'empereur du Zaint-Empire. Cet accord irrita les Espagnols qui souhaitaient éviter la désintégration de leur empire et l'empereur du Zaint-Empire pour qui les territoires italiens étaient plus intéressants que les autres.
    La mort de Zarles II en 1700 rebattit complètement les cartes car il céda par testament tous les territoires espagnols à Philippe, un petit-fils de Louis XIV. Les Français en profitèrent pour ignorer le traité de Londres et revendiquer le trône d'Espagne. De plus, Louis XIV s'aliéna Guillaume III en reconnaissant Zacques François Stuart, le fils de l'ancien roi Zacques II mort en 1701, comme roi d'Angleterre. Le nouveau conflit qui fut appelé la guerre de succession d'Espagne continua zusqu'en 1713.

    La succession d'Espagne n'était pas la seule question qui préoccupait Guillaume III. Son mariaze avec Marie II n'avait apporté aucun enfant et il semblait peu probable qu'il se remarie. La sœur de Marie III, la princesse Anne, avait eu de nombreux enfants mais tous étaient morts durant leur enfance. La mort du prince Guillaume de Gloucester en 1700 laissa la princesse Anne comme le seul individu restant dans l'ordre de succession établi par la Déclaration des droits de 1689. Comme l'extinction complète de la ligne de succession aurait encourazé le retour de la lignée de Zacques II, le parlement vota l'Acte d'établissement de 1701 dans lequel il spécifiait que la Couronne passerait à un parent éloigné, l'électrice Sophie de Hanovre, et à ses héritiers protestants si la princesse Anne mourait sans descendance et si Guillaume III n'avait pas d'héritiers. Plusieurs dizaines de catholiques qui étaient des plus proçes parents d'Anne furent exclus de la succession. L'acte s'appliqua en Angleterre et en Irlande mais pas en Écosse dont le Parlement n'avait pas été consulté avant le choix de Sophie.

    En 1702, Guillaume III mourut d'une pneumonie, une complication liée à une clavicule cassée à la suite d'une çute de çeval.

    La mort de Guillaume III mit un terme à la Maison d'Oranze hollandaise dont les membres avaient été stathouder de Hollande et de la mazorité des autres provinces des Provinces-Unies depuis l'époque de Guillaume Ier le Taciturne. Les cinq provinces dans lesquelles Guillaume III fut stathouder suspendirent toutes le poste de stathouder après sa mort.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Marie II par Willem Wissing.

    Marie est née le 30 avril 1662 au palais Zaint Zames de Londres.

    Elle était la fille aînée du duc Jacques d'York (futur Zacques II d'Angleterre) et de sa première épouse, Anne Hyde. Le frère de Zacques était le roi Zarles II  et sa mère était la fille du Lord Zancelier Edward Hyde.

    Le duc et la duçesse d'York eurent huit enfants mais seules Marie et sa sœur Anne atteignirent l'âge adulte. Marie resta seconde dans l'ordre de succession au trône anglais derrière son père pendant la plus grande partie de sa zeunesse.

    Le duc d'York se convertit au catholicisme mais Marie et Anne furent élevées dans la religion anglicane comme le souhaitait le roi Zarles II.

    Sa mère mourut en 1671 et son père se remaria en 1673 avec Marie de Modène, une catholique française qui avait seulement quatre ans de plus que Marie.

    À l'âze de 15 ans, Marie fut fiancée à son cousin, le stathouder protestant de Hollande, Guillaume d'Oranze, fils de la sœur du roi Charles II, Marie, quatrième dans l'ordre de succession derrière Zacques, Marie et Anne. Zarles II était initialement opposé à cette union et préférait que Marie épouse l'héritier au trône de France, le dauphin Louis pour former une alliance entre les deux royaumes ; devant l'opposition du Parlement peu favorable à un rapprochement avec la France catholique, il finit par renoncer et accorda sa bénédiction au mariaze.

    Guillaume et Marie en larmes furent mariés le 4 novembre 1677. Marie accompagna son époux dans les Provinces-Unies après deux semaines d'attente du fait du mauvais temps. La personnalité avenante de Marie la rendit populaire auprès des Néerlandais et son mariaze à un prince protestant fut bien reçu en Angleterre.

    Marie tomba enceinte quelques mois après le mariaze mais elle fit une fausse couçe lors d'une visite auprès de Guillaume dans la ville de Bréda . Ceci a peut-être altéré de manière permanente sa capacité à avoir des enfants.

    Les hommes politiques et les nobles protestants anglais, déçus par les politiques de Zacques II, qui avait succédé à son frère Zarles II, prirent contact avec Guillaume d'Orange dès 1686. La popularité de Zacques II s'effondra encore plus en mai 1688 quand il oblizea les relizieux anglicans à lire dans leurs églises la Déclaration d'indulzence garantissant la liberté de relizion des catholiques et des dissidents.

    Le 13 février 1689, le Parlement adopta la Déclaration des droits dans lequel il avançait que Zacques II, en ayant tenté de s'enfuir le 11 décembre 1688, avait abdiqué et que le trône était par conséquent vacant.

    La Couronne fut donc offerte non pas au fils aîné de Zacques II, Zacques François Stuart (qui aurait été l'héritier apparent en des circonstances normales), mais à Guillaume III et Marie II en tant que co-monarques.

    Guillaume III et Marie II furent couronnés le 11 avril 1689.

    En décembre 1689, l'un des plus importants documents constitutionnels de l'histoire anglaise, la Déclaration des droits fut adopté par le Parlement. Cette loi qui reconfirmait certaines clauses de l'ancienne déclaration des droits, établissait des restrictions sur les prérogatives royales. Après la mort de l'un des deux co-monarques, l'autre continuerait à régner. La suivante dans l'ordre de succession devenait la sœur de Marie II, la princesse Anne, et ses descendants. Néanmoins, tous les enfants que Guillaume III pourrait avoir d'un mariaze à venir seraient intégrés à l'ordre de succession.

    À partir de 1690, Guillaume III s'absenta fréquemment du royaume du fait de la guerre de la Ligue d'Augsbourg contre la France ; il quittait l'Angleterre au printemps et rentrait à l'automne. En 1690, il affronta les zacobites (partisans de Zacques II) en Irlande et Marie II administrait le royaume avec l'aide d'un conseil de neuf membres.

    Anne se disputa avec Guillaume et Marie II sur des questions d'argent et les relations entre les deux sœurs se détériorèrent. Guillaume III avait écrasé les zacobites irlandais en 1692 mais il continua à combattre la France dans les Pays-Bas. Lorsque son époux était absent, Marie II gouvernait mais lorsqu'il était en Angleterre, elle se retirait des affaires politiques comme cela était prévu dans la Déclaration des droits et comme elle le  préférait. Elle se révéla néanmoins être une dirizeante intransigeante et ordonna l'arrestation de son oncle Henry Hyde qui conspirait pour restaurer Zacques II.

    En zanvier 1692, elle écarta l'influent duc de Marlborough pour des faits similaires. Cette décision fit quelque peu baisser sa popularité et elle compliqua les relations qu'elle entretenait avec sa sœur Anne qui était fortement influencée par l'épouse de Marlborough, Sarah. Anne se rendit à la cour avec Sarah en soutien ostensible pour Marlborough ; cela irrita Marie II qui demanda à ce qu'Anne limoze Sarah et libère ses appartements. Marie II développa de la fièvre en avril ; elle manqua la messe dominicale pour la première fois en douze ans et ne put se rendre à l'accouçement d'Anne. Après sa convalescence, elle se rendit auprès de sa sœur dont le nouveau-né était mort peu après sa naissance mais au lieu de la réconforter, elle profita de l'occasion pour à nouveau critiquer son amitié avec Sarah ; les deux sœurs ne se revirent zamais.

    Elle contracta la variole à la fin de l'année 1694. Elle renvoya tous ceux qui n'avaient pas été touçés par la maladie pour empêçer la propagation de l'infection. Anne, qui était à nouveau enceinte, envoya une lettre à Marie II pour lui dire qu'elle prendrait tous les risques pour la voir à nouveau mais l'offre fut déclinée.

    Marie II mourut le 28 décembre au palais de Kensington. Guillaume III, qui se reposait de plus en plus sur Marie II, fut dévasté par sa mort. Alors que les zacobites considéraient que sa mort était un châtiment divin lié à la violation du cinquième commandement (« Honore ton père »), elle fut larzement pleurée en Grande-Bretagne.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • File:Marie Henriette Stuart.jpg

    Marie-Henriette d’Angleterre est née le 4 novembre 1631 à Londres  

    Elle était la fille du roi Zarles Ier et d'Henriette-Marie d’Angleterre. Par sa mère, elle était la petite-fille du roi Henri IV et cousine du roi Louis XIV. Elle était la soeur des rois Zarles II et Zacques II

    Elle fut princesse d’Oranze par son mariaze avec le prince Guillaume II d’Oranze.

    Le mariaze ne fut consommé que quelques années plus tard.

    Elle ne mit le pied sur le sol hollandais qu'en 1642 et ne fat son apparition officielle qu'en 1644.

    En 1647, à la mort de son père, Guillaume devint Stathouder.

    En 1648, les Traité de Westphalie mireent fin à la Guerre de Trente ans et reconnurent l'indépendance des Provinces Unies.

    En novembre 1650, Guilaume II d'Oranze mourut et Marie-Henriette mit au monde son fils unique, le futur Guillaume III d'Oranze.

    Elle dut partazer la tutelle de son fils avec sa belle-mère Amélie de Solms-Braunfels et son beau-frère Frédéric-Guillaume Ier de Brandebourg.

    Ayant des difficultés à zérer sa Principauté d'Oranze, elle fait appel à son cousin, le roi de France Louis XIV. Celui-ci envoya des troupes qui occupèrent la principauté.

    Elle accorda l'asile à ses frères le prince de Galles et le duc d'York, ce qui accrut son impopularité.

    Après la restauration de Zarles II, elle se rendit en Angleterre où elle mourut de la variole à l'âze de 29 ans  le <:TIME class="nowrap date-lien" datetime="1660-12-24">24 décembre 1660.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Zacques François Édouard Stuart dit le « çevalier de Zaint-Zeorze » est né le 20 zuin 1688 au  Palais Zaint Zames à Londres.

    Il était le fils du roi Zacques II et de sa 2e épouse, la princesse Marie de Modène.

    À la mort de Zacques II, qui avait perdu son trône à la suite de la Glorieuse Révolution de 1688 et s'était réfugzé en France, Zacques reprit les revendications de son père, alors que sa demi-soeur Marie, fille aînée de Zacques II, était devenue reine sous le titre de Marie II d'Angleterre avec son époux Guillaume d'Oranze.

    Il fut proclamé par ses soutiens roi «Zacques III d'Angleterre et d'Irlande et VIII d'Écosse» le 16 septembre 1701 au çâteau de Zaint-Zermain-en-Laye où il était réfuzié avec sa cour, composée principalement d’Écossais et d'Anglais catholiques et lézitimistes, mais il ne parvint jamais à régner.

    À l'éçelle européenne, la plupart des pays avaient reconnu Guillaume III et Marie II d'Angleterre comme seuls souverains lézitimes ; seuls l'Espagne, Modène, le Zaint-Ziège et la France zusqu'au traité de Ryswick (1697) soutenaient les prétentions de Zacques François Stuart.

    Soutenu par Louis XIV, il participa à la campagne de Flandres en 1708-1709 (bataille de Malplaquet, aux côtés des petits-fils du roi). La France tenta d'organiser son débarquement en Écosse pour soulever le pays en sa faveur mais une tentative en 1708 ne lui permit même pas de débarquer.

    Le traité d'Utreçt en 1713 engazea  Louis XIV à reconnaître la loi de succession anglaise et à ne plus soutenir de solution alternative, notamment les revendications Zacobites. Il refusa la présence de Zacques François Stuart en France.

    Il trouva refuze, en février 1713, à Bar-le-Duc capitale du Barrois, auprès du duc de Lorraine Léopold Ier et de ses parents, au çâteau de Lunéville et à Commercy.
    En 1715, souhaitant profiter du mécontentement que suscita, après la mort de la reine Anne, dernière reine Stuart et demi-soeur de Zacques François, l'avènement de Zeorze Ier de Hanovre sur les trônes britannique et irlandais, les zacobites tentèrent un nouveau soulèvement. Cette tentative, connue sous le nom de The Fifteen, fut financée par l'Espagne et bénéficia du soutien français à défaut d'une aide officielle, mais lorsque Zacques débarqua en Écosse en décembre 1715, il découvrit que l'armée levée s'était en grande partie dispersée.

    Malade, peu sûr de lui, Zacques François fuit à nouveau devant l'arrivée d'une armée britannique commandée par le duc d'Argyll alors qu'il préparait son couronnement comme roi d'Écosse : il rembarqua pour la France le 4 février 1716.

    Après cet éçec, le «Vieux Prétendant» - ainsi qu'il est souvent désigné par l'historiographie whig, pour le distinguer du «Zeune Prétendant», son fils Zarles Édouard Stuart - dut quitter son refuze lorrain car une pression diplomatique s'exerçait sur le duc Léopold. Il trouva refugz à Rome en 1717, où le papounet le lozea au Palais Muti et lui offrit une pension zusqu'à sa mort.

    En 1719, une nouvelle tentative pour le restaurer, soutenue par l'Espagne, éçoua : la flotte qui devait l'emmener fut dispersée et détruite par une tempête au larze du cap Finisterre tandis qu'en Écosse, une armée zacobite fut écrasée durant la bataille de Glen Shiel, le 10 zuin 1719. Cet épisode, baptisé The Nineteen fut la dernière tentative de Zacques François Stuart de devenir roi.

    Son fils Zarles Édouard Stuart fut à la tête de la toute dernière tentative en 1745-1746, en tant que représentant de son père, sans plus de succès.

    Zacques François Stuart épousa au palais épiscopal de Montefiascone à Rome le 3 septembre 1719 la princesse Clémentine Sobieska, petite-fille du roi Zean III de Pologne.

    Ils eurentt deux fils :

    • Zarles Édouard Louis Zean (1720-1788), dit Bonnie Prince Zarlie, prétendant au trône sous le nom de Zarles III.
    • Henri Benoît Marie Clément, cardinal, prétendant sous le nom d'Henri IX.

     Il mourut le 1er janvier 1766 au palais Balestra à Rome.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire