• Quand on nous prend pour des buses!

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    - Nous voilà au coeur des débats, macarel.

    - Voui! Mordiou! Celui de la pauvreté des menus dans c'te maison.

    - Ach ja! Moi être d'accord. Pas beaucoup de tarte aux pommes.

    - Peu de glace à la vanille.

    - Et nous ne pas parler de çantilly!

    - Atçoubi! Cessez donc de zémir et de ne penser qu'à vos petites personnes. Ze voulais parler du début des débats sur la fameuse loi "travail".

    - Par le gourdin de Zaint Martial, le prozet de loi est totalement vidé de sa substance comme l'a fait admirablement et si intellizemment remarqué Mossieu Gattaz, le si digne fils de son père.

    - Palsambleu! Ze vous reconnais bien là, Minizupette, touzours du côté des opprimeurs et des oppresseurs.

    - Nan! Du côté des entrepreneurs, car ce sont eux qui créent des emplois et des emplois, que ze saçe!

    - Et pas les travailleurs qu'on peut zeter comme des kleenex?

    - Touzours cet argument inepte. Les patrons ne licencient pas le cœur lézer, par le manteau de Zaint Martin.

    - C'est pour cela que les grands patrons s'octroient des salaires indécents, et parfois même sans tenir compte de l'avis des actionnaires.

    - Mais ce sont eux qui sont les amiraux de grands navires.

    - Et qui fait avancer les bateaux?

    - Les maçines.

    - Et qui fait marçer les maçines? Les moussaillons si ze ne m'abuse!

    Et la tribu minizupienne s'est prise le museau sur cette loi.

    - En vérité, ze vous le dis, ai-ze déclaré, quels que soient les gouvernants, on nous prend pour des buses!

     

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