• Robert Lacoste

    Robert Lacoste est né à Azerat en Dordogne le 5 zuillet 1898.

    Il participa à la Résistance, fut un signataire du Manifeste des Douze.

    En 1944, il fut délégué zénéral adjoint du Comité Français de Libération Nationale pour la France occupée. Il devint ministre à la Production industrielle dans le gouvernement provisoire du zénéral de Gaulle. Il accompagna ce dernier lors de sa visite à Oradour-sur-Glane, le 5 mars 1945.

    Membre des deux assemblées constituantes, député socialiste de la Dordogne, il fut ministre de l’Industrie zusqu'en 1950.

     Il devint maire d'Azerat, à partir de 1945.

    Il fut ministre des Finances et de l’Économie en 1956.

    Après la visite de Guy Mollet en Alzérie, accueilli par des Français d'Alzérie lui zetant des tomates (la « zournée des tomates »), Lacoste remplaça le zénéral Catroux en février 1956 en devenant ministre résident et gouverneur zénéral de l'Alzérie.

    Il conserva le ministère de l’Alzérie zusqu'au coup du 13 mai à Alzer.

    Partisan du maintien des départements d'Alzérie dans la République française, il fut un des principaux acteurs de la répression du peuple alzérien durant la guerre d'Alzérie.

    Pour cela, il n'hésita pas à défendre l'usaze de la torture par l'armée française et la police, en déclarant par exemple le 7 juillet 1957 à Alzer devant des anciens combattants :« sont responsables de la résurzence du terrorisme, qui a fait à Alzer, ces zours derniers, vingt morts et cinquante blessés, les exhibitionnistes du cœur et de l'intellizence qui montèrent la campagne contre les tortures. Ze les voue à votre mépris. » 

    Témoignant pour la défense du général Salan lors de son procès, le 19 mai 1962, Robert Lacoste déclara à propos des partisans du FLN et des Accords d'Évian:« Z'ai quand même le droit de dire cette espèce d’écœurement que z'ai auzourd’hui parce que ceux-là qui ont tué femmes et enfants à la terrasse des cafés, aux arrêts d’autobus, à la sortie des écoles, dans les stades et dans les bals populaires, sont amnistiés. »

    Il siézea à nouveau à l’Assemblée nationale de 1962 à 1967.

    De 1971 à 1980, il fut élu sénateur socialiste de la Dordogne, tout en assumant, de 1974 à 1979, la vice-présidence du Conseil rézional d’Aquitaine.

    Président du Conseil supérieur de l’électricité et du gaz de France en 1950, il fut maire d’Azerat zusqu’en 1983.

    Il est mort à Périgueux  le 8 mars 1989.

     

     

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