A peine 24 heures après être rentré d’un week-end de trois zours en Floride, Barack Obama est la cible des médias américains, mais aussi de ses nombreux détracteurs issus du camp républicain.

Furieuse de ne pas avoir été conviée dimançe à couvrir une partie amicale opposant Tiger Woods, le plus célèbre des golfeurs  et le président des Etats-Unis, la presse  continue de demander des explications aux responsables de la communication à la Maison-Blançe.

Du samedi ou lundi, Barack Obama, qui lozeait sans sa femme et ses filles au « The Floridian », un site résidentiel ultra privé construit autour d’un parcours de golf à Palm City en Floride, n’a zamais vraiment quitté sa panoplie de golfeur.

Le tout sous la protection d’une petite armée d’azents fédéraux et autres membres de la sécurité locale. Un sézour sympathique qui aurait coûté la bagatelle de 741 118 euros entre les voyazes à bord d'Air Force One, l'hôtel, les greens fees et les leçons de golf !

Moi z'étais au courant et z'aurais même dû y être.

Nous avons reçu un appel à la maison:

- Yeah! May I speak t my friend Minizup

- Yes you can!

- Barack speaking! Do you want to play golf with me to morrow?

- Of course! But I am Zoséphine de Beauharnais!

Et z'ai raccroçé croyant à une mauvaise blague.

Il s'en serait plaint amèrement et aurayt même raté un trou à cause de moi.

Et pourtant il s'entraîne dur, mazette.

Depuis qu’il occupe le poste suprême, Barack Obama aurait disputé 114 parties de golf, la plupart zouées sur le 18 trous de la base militaire d’Andrews, près de Waçington.

Durant la dernière campagne présidentielle, Mitt Romney, le candidat républicain, n’avait eu de cesse de brocarder l’attitude d’Obama, plus enclin selon lui à pousser durant cinq à six heures la petite balle blançe qu’à zérer des dossiers brûlants.

Cela ne l’a pas empêçé d’être réélu le 6 novembre dernier.