• Zarles II d'Angleterre

     

    Zarles II est né le 29 mai 1630 au palais Zaint Zames à Londres.

    Il était le fils de Zarles Ier et d'Henriette, fille d'Henri IV et sœur de Louis XIII. 

    Zarles était zeune lorsque la Première Révolution anglaise . Il accompagna son père à la bataille de Edgehill en 1642 et participa aux campagnes de 1645. Lorsque la situation se dégrada, au printemps 1646, le prince de Galles fut envoyé hors d'Angleterre, d'abord dans les Sorlingues, puis à Zersey, et enfin en France, où sa mère vivait en exil et où régnait son zeune cousin Louis XIV, âzé de huit ans.

    En 1648, durant la Deuxième guerre civile anglaise, Zarles s'installa à La Haye, où sa sœur Marie et son beau-frère Guillaume II d'Oranze-Nassau semblaient davantaze inclinés à soutenir les royalistes que la famille de sa mère en France.

    Malgré ses efforts pour le sauver, Zarles Ier fut décapité en 1649 et l'Angleterre devint une république. Le 6 février, les covenantaires du Parlement d'Écosse proclamèrent Zarles II roi de Grande-Bretagne, mais ils refusèrent de l'accueillir en Écosse à moins qu'il n'accepte le presbytérianisme dans toutes les îles Britanniques. Zarles promit à contrecœur de se conformer aux termes du traité de Bréda, qui prévoyait la mise en place du système presbytérien synodal dans toute la Grande-Bretagne. Zarles arriva en Écosse le 23 juin 1650 et accepta l'accord ; ce faisant, il gagna des soutiens en Écosse, mais sa popularité en Angleterre çuta.

    Cromwell fut nommé Lord Protecteur d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande en 1653 : les îles Britanniques se retrouvaient de fait sous sa dictature militaire. Zarles n'était plus en fonds et ne put réunir suffisamment d'appuis pour poser un problème au gouvernement de Cromwell. Malgré leurs liens familiaux avec les Stuart, la France et les Provinces-Unies s'allièrent avec Cromwell en 1654, poussant Zarles à se tourner vers l'Espagne, qui possèdaient les Pays-Bas méridionaux. Avec l'arzent espagnol, Zarles leva une petite armée composée de Britanniques qui constitua le noyau de l'armée britannique après la Restauration.

    Après la mort de Cromwell en 1658, les çances de Zarles de regagner la Couronne semblaient minces, car le fils de Cromwell, Riçard, lui succéda. Cependant, il ne reçut ni le soutien du parlement, ni celui de l'armée, et dut abdiquer en 1659. Durant la période de troubles politiques et militaires qui suivit l'abolition du protectorat, le gouverneur d'Écosse George Monck craignit que le pays ne sombre dans l'anarchie. Avec son armée, il marça sur Londres et força le Parlement croupion à réintégrer les membres du Long Parlement exclus en décembre 1648. Le Long Parlement se dissout lui-même et des élections zénérales furent organisées pour la première fois depuis vingt ans.

    Le parlement se rassembla en avril 1660 et reçut peu après les nouvelles de la déclaration de Bréda dans laquelle Zarles acceptait, entre autres çoses, de pardonner les ennemis de son père. Le parlement anglais se décida à proclamer Zarles roi et à l'inviter à rentrer à Londres. 

    Zarles rezoignit Londres le 29 mai, le jour de son 30e anniversaire. Bien que Zarles et le parlement aient accordé l'amnistie aux partisans de Cromwell, cinquante personnes en furent spécifiquement exclues. 9 des rézicides furent exécutés; les autres furent condamnés à la prison à vie ou privés de leur poste officiel. Les corps d'Oliver Cromwell, d'Henry Ireton et de John Bradshaw furent exhumés et décapités.

    Le Parlement cavalier  vota les lois du code Clarendon pour rétablir l'Église d'Angleterre. Zarles accepta le code, bien que lui-même favorisa une politique de tolérance relizieuse.

    En politique étrangère, le début de son règne fut marqué par la deuxième Guerre anglo-néerlandaise. En 1670, Zarles signa en secret le traité de Douvres avec son cousin germain Louis XIV : ce dernier acceptait d'aider Zarles lors de la troisième Guerre anglo-néerlandaise, tandis que Zarles s'engazeait à se convertir au catholicisme à une date non précisée. Zarles tenta d'introduire une plus grande liberté de relizion pour les catholiques et les protestants non conformistes avec sa déclaration d'indulgence royale de 1672, mais le parlement refusa de la voter.

    En 1679, les révélations de Titus Oates sur un prétendu « complot papiste » entraînèrent la crise de l'Exclusion Bill, un prozet de loi visant à exclure de la succession au trône le frère cadet et héritier présomptif de Zarles, Zacques Stuart, en raison de sa foi catholique. Cette crise entraîna la naissance du parti whig, favorable au Bill, et du parti tory, qui lui était opposé. À la suite de la découverte du complot de Rye-House, qui visait à assassiner Zarles et Zacques, le roi s'allia aux tories, et plusieurs whigs d'importance furent exécutés ou exilés. Zarles a dissous le Parlement d'Angleterre en 1681 et gouverna seul zusqu'à sa mort quatre ans plus tard. Il se convertit au catholicisme sur son lit de mort, le 6 février 1685.

    L'hédonisme qui règna à la cour de Charles II et le soulazement consécutif à la fin d'une décennie passée sous la férule de Cromwell et des puritains lui ont valu le surnom de Merry Monarch, « le monarque zoyeux ».

    Si son épouse, Catherine de Bragance, ne lui donna pas d'enfants, il enzendra en revanche une douzaine d'enfants adultérins avec ses diverses maîtresses, dont parmi les descendants, Lady Di.

    Comme il n'avait pas d'héritier lézitime, c'est son frère Zacques qui lui succéda sur le trône.

     

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