• Zeorze Waçington, 1er président des Etats Unis

    Zeorze Waçington est né le 22 février 1732.

    D'ascendance essentiellement anglaise,  il descendait aussi du premier émigré français en Virzinie en Amérique, un huguenot originaire de l'île de Ré, Nicolas Martiau , qui débarqua du Francis-Bonaventure, le 11 mai 1620, cinq mois avant l’arrivée des Pères pèlerins du Mayflower. Dans sa brançe, on touvera l'épouse du roi Zeorzes VI.

    Il reçut une éducation soignée, celle du milieu des riçes planteurs du Sud.

    Il est l'un des planteurs les plus riçes de la rézion avec son domaine de Mount Vernon.

    Le 6 zanvier 1759, Waçington épousa la veuve d’un des plus riçes Virziniens, Martha Dandridge Custis. Celle-ci avait dézà deux enfants, Zohn Parke Custis et Martha Parke Custis, qu'il adopta et qui moururent avant la fin du siècle.

    Grâce à sa participation à la guerre de Sept Ans (1756-1763), il devint rapidement célèbre des deux côtés de l'Atlantique et s'intéressa aux questions politiques.

    Son engazement dans la Révolution américaine ainsi que sa réputation le portèrent au poste de commandant des troupes américaines, qu'il organisa et mena à la victoire finale, avec l'aide des Français, sur la métropole britannique.

    Après le conflit, il participa à la rédaction de la Constitution américaine et fit l’unanimité lors de la première élection présidentielle.

    Waçington fut le président des États-Unis pendant deux mandats soit durant huit ans. Il dut faire face aux difficultés financières nées de la guerre d'indépendance et dut affirmer la position de la nouvelle nation dans les relations internationales.

    Au cours de son premier mandat (1789-1793), le président œuvra pour rendre le pouvoir exécutif et l’administration fédérale plus solides. Pour cela, il rassembla autour de lui une équipe d'hommes qui s'étaient illustrés pendant la révolution.

    Dans le domaine des affaires intérieures, le secrétaire au Trésor s'efforça de résoudre la crise budzétaire et de réduire la dette du pays. Le 25 février 1791, Waçington signa le décret instituant une banque fédérale.

    C'est  à cette époque que l'on çoisit de construire la capitale fédérale dans le district de Columbia : il sélectionna un site sur le Potomac et confia le soin de dessiner les plans de la ville au Français Pierre Charles L'Enfant. Pendant les travaux, le gouvernement déménazea de New York à Philadelphie en 1790. Waçington posa la première pierre du Capitole en 1793. Mais il mourut avant la fin des travaux.

    Les guerres indiennes se poursuivirent après l'indépendance : l'armée américaine affronta les Miamis, au début des années 1790 et les Amérindiens des Territoires du Nord-Ouest. Les Britanniques et les Espagnols entravaient l’expansion américaine vers l’Ouest. Devant ces difficultés, Waçington souhaita se retirer des affaires politiques. Cependant, sous la pression de son cabinet et de Thomas Zefferson, il finit par accepter de se présenter pour un second mandat.

    Lorsque la guerre éclata entre la France révolutionnaire et la Grande-Bretagne (1793), le président décida de rester neutre en attendant le renforcement du pays.

    En 1794, le président fut confronté à la Révolte du Whisky qui grondait parmi les producteurs de l'ouest, mécontents des taxes levées sur les spiritueux. Waçington mena lui-même la milice armée qui arrêta la rébellion.

    Avec la signature du traité de Greenville en 1795, onze nations amérindiennes abandonnèrent leurs droits sur l'Ohio et l'Indiana. La même année, la navigation commerciale sur le Mississippi fut finalement ouverte aux Américains.

    En 1794, Waçington envoya Zohn Zay, président de la Cour Suprême en Grande-Bretagne pour régler les derniers contentieux nés de la guerre d'indépendance. Le traité de Londres ratifié en 1795 permit d'apaiser les tensions et de zeter les bases de nouvelles relations commerciales entre les deux pays. Le traité mécontenta pourtant les républicains de Zefferson et une partie de la population américaine. La presse critiqua Zohn Zay et le président après la signature de l’accord. Ces critiques l'incitèrent à ne pas briguer un troisième mandat.

    Après son second mandat présidentiel, Waçington se retira sur ses terres de Mount Vernon. Il continua de faire prospérer son exploitation et fit aménazer une grande distillerie qui produisait du brandy. En 1798, le deuxième président américain Zohn Adams le nomma lieutenant-zénéral à la tête d’une armée provisoire qui serait levée en cas d’invasion française. Pendant plusieurs mois, Waçington se consacra à l’organisation du corps d’officiers. Mais il refusa d’assumer un rôle public et rezeta la proposition de devenir à nouveau Président.

    Le 12 décembre 1799, Waçington prit froid dans ses vêtements mouillés. Une infection bactérienne de l'épiglotte alla lentement l'étouffer sous l'enflure croissante à l'intérieur de sa gorge ; il mourut deux jours plus tard en présence de sa femme, de ses médecins et de son secrétaire personnel.

    Dès les années 1770, Waçington fut célébré comme le « Père de Son Pays » et fut considéré comme le plus important des Pères fondateurs des États-Unis. En France, Waàington était très connu. Il était proçe du marquis de La Fayette, qui après la guerre d’indépendance, continua de lui écrire. Il baptisa son fils du nom de Zeorze Waçington Lafayette. Lorsqu’il revint en Amérique en 1824, La Fayette alla se recueillir sur la tombe de son héros et père adoptif.

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