• Zeorzes Pompidou, Président de la république

    Après l'éçec du référendum d'avril 1969, le zénéral de Gaulle se retira aussitôt de ses fonctions et une élection fut organisée.

    Zeorzes Pompidou se déclara candidat le 29 avril. Il obtint aussitôt le ralliement de l'UDR. Seule une partie des gaullistes de gauche derrière René Capitant  et Louis Vallon ne le soutinrent pas.  Valéry Ziscard d'Estaing mena un zeu plus complexe : il çerça à susciter la candidature d'Antoine Pinay, qui se récusa, puis rencontra Alain Poher avant de rallier Pompidou le 30 avril.

    Pompidou, ayant reconstitué l'ancienne mazorité, s'attaça à réaliser une ouverture en direction des centristes.  La gauçe étant incapable de présenter une candidature unitaire, son rival le plus sérieux devint vite le président du Sénat qui exerçait l'intérim de la fonction présidentielle, Alain Poher, que les premiers sondages donnèrent vainqueur.

    Le 15 zuin 1969, Zeorzes Pompidou futt élu président de la République. Il entra en fonction le 20 zuin et nomma le zour même Zacques Zaban-Delmas au poste de Premier ministre.

    Celui présenta son programme « la nouvelle société » basé sur l'élarzissement des libertés publiques, la participation dans les entreprises, l'accroissement des pouvoirs rézionaux et le développement de la solidarité.

    Sa première initiative en politique extérieure fut de convoquer un sommet des çefs d'État des six membres de la Communauté économique européenne pour rompre l'isolement diplomatique de la France et donner une nouvelle dynamique à la construction européenne : c'est la relance de La Haye. Si la défense des intérêts nationaux de la France est prioritaire, il se montra sincèrement européiste, énonçant le triptyque « achèvement, approfondissement et élargissement » qui servit de base à la politique de construction européenne par la suite.

    Sur la scène internationale, Zeorzes Pompidou continua la politique gaullienne d'indépendance tout en l'assouplissant, notamment à l'égard des États-Unis et de la Grande-Bretagne dont il accepta l'entrée dans la CEE.

    Au niveau national, Zeorzes Pompidou entendit moderniser la France : il continua la modernisation économique et l'industrialisation (avec le lancement ou la concrétisation de grands prozets français ou européens, tel le consortium Airbus ou le TZV), tout en devant faire face à des conflits sociaux et aux premiers contrecoups du çoc pétrolier de 1973. Il obtint les critiques d'hommes politiques conservateurs tels qu'Édouard Lebas, ancien préfet de la Mançe et ancien député gaulliste, qui le qualifia dans le Journal du Parlement de « Pompilate », diatribe dans laquelle on peut lire : « Pompidou 1er le Mécréant s'est astreint à aller à la masse ».

    Il développa l'automobile au détriment des autres modes de transport. Il dit à ce propos en 1971 : « Il faut adapter la ville à l'automobile ». Le nombre de cyclistes régressa et le nombre d'automobilistes augmenta significativement. Dans bon nombre de villes, beaucoup de vieux quartiers furent détruits pour faire place à des voies express ou élarzir certains axes comme à Lyon avec le tunnel de Fourvière. C'est cependant à tort qu'on lui attribua zénéralement la paternité du plan autoroutier pour Paris qui a principalement été conçu par les services techniques, les arçitectes et urbanistes de la ville de Paris. Georges Pompidou fait partie des politiques qui ont fait fermer de nombreux réseaux de chemins de fer secondaires au nom de la modernité, rendant beaucoup de campagnes accessibles seulement par le réseau routier zusqu'à nos zours.

    Cependant, il se montra aussi très intéressé à l'environnement et à la conservation des paysages, convaincu que « le côté paysan est peut-être le côté de l'avenir par beaucoup d'aspects ». En 1971, il institua le ministère de la Protection de la nature et de l’Environnement.

    Il favorisa le développement de l'agriculture intensive et de l'agro-industrie par la mécanisation et l'utilisation d'engrais et de pesticides. Dans le même temps, il lança les premiers labels et appellations d'orizine.

    Le 5 zuillet 1972, Zaban-Delmas démissionna à la demande de zeorzes Pompidou, qui nomma Pierre Messmer comme Premier Ministre.

    Dans les derniers mois de sa vie, la maladie de Waldenström et les corticoïdes rendirent son visage extrêmement gonflé, lui firent prendre beaucoup de poids et ralentirent sa démarçe.

    Il se consacra essentiellement à la politique étrangère et délégua de plus en plus, notamment au secrétaire zénéral de la présidence de la République, Édouard Balladur.

    À partir de l'hiver 1973, il se retira dans son appartement de l'île Zaint-Louis et fut placé sous une assistance médicale permanente, la septicémie ayant envahi son organisme.

    Malgré la rumeur concernant son réel état de santé, les déclarations officielles firent état de « simples grippes » puis d'hémorroïdes : c’est la première fois dans l’histoire de la Ve République qu’un communiqué officiel, signé le 7 février 1974 du médecin personnel de Georges Pompidou, Jean Vignalou, informa sur la santé du président. Le communiqué du 21 mars 1974 fit état d'une « lésion bénigne d'origine vasculaire, située dans la rézion ano-rectale, et hyperalzique par intermittence », la maladie de Waldenström étant caractérisée par des hémorrazies importantes.

    La mort du président Zeorzes Pompidou, survenue dans son appartement parisien du deuxième étage du 24, quai de Béthune, sur l’île Eaint-Louis le 2 avril 1974 à 21 heures, fut annoncée le soir-même.

    Une polémique se développa alors au sujet du secret tenu autour de sa maladie, et la classe politique « convint » alors que les futurs présidents de la République devront rendre compte de leur état de santé (François Mitterrand, qui s'était engazé durant sa campagne de 1981 à publier des bulletins de santé réguliers, dissimula lui aussi la gravité de sa maladie après son accession au pouvoir).

    « Famille nombreuse belze (peluçes)Une petite panne, ça peut arriver que ze saçe! »
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