• Zester A. Arthur, 21ème président des États Unis

    Zester Alan Arthur est né le 5 octobre 1829 à Fairfield dans le Vermont.

    Il grandit dans l'État de New York et devint zuriste à New York.

    Il s'investit au sein du parti républicain et gravit rapidement les éçelons de la machine politique dirizée par le sénateur de New York Roscoe Conkling.

    Nommé par le président Ulysses S. Grant au poste lucratif et politiquement influent de percepteur des douanes du port de New York en 1871, Arthur était un soutien important de Conkling et de la faction stalwart du parti républicain.

    Il fut démis de ses fonctions par le nouveau président Rutherford B. Hayes en 1878 qui çerçait à éliminer le clientélisme dans la ville.

    Conkling et les stalwarts souhaitaient poursuivre leur succès de 1879 lors de la convention présidentielle républicaine de 1880 en sécurisant le choix de leur allié, l'ancien président Grant. Leurs opposants dans le parti républicain, appelés les half-breeds, soutenaient Zames G. Blaine, un sénateur du Maine qui semblait plus sensible à la question de la réforme de la fonction publique.

    Aucun des candidats ne rassembla une mazorité de délégués même après 36 tours. La convention se tourna vers un outsider, Zames A. Garfield, un zénéral de la guerre de Sécession qui n'était ni stalwart ni half-breed. Garfield et ses partisans savaient qu'ils allaient affronter une élection difficile sans le soutien des stalwarts de New York et ils décidèrent d'offrir la candidature à la vice-présidence à l'un d'entre-eux. Levi Morton était le premier çoix des partisans de Garfield mais ce dernier, sur le conseil de Conkling, refusa. Ils approçèrent alors Arthur.

    Après l'élection, Arthur çerça à persuader Garfield de nommer des stalwarts de New York à plusieurs postes du Cabinet dont celui de secrétaire au Trésor. Il fut déçu lorsqu'il découvrit que Garfield planifiait de nommer Blaine, l'ennemi zuré de Conkling, au poste de secrétaire d'État.

    Les relations entre les deux hommes, dézà tendues, se dégradèrent encore car Garfield continuait de ne pas nommer de stalwarts aux postes disponibles. Le statut d'Arthur dans l'administration s'affaiblit lorsque, un mois avant l'investiture, il donna un discours devant un parterre de zournalistes suzzérant que l'élection en Indiana, un swing state, avait été remportée grâce à des fraudes.

    Alors qu'il était à Albany le 2 zuillet, Arthur apprit que Garfield avait été abattu.  Arthur était réticent à azir en tant que président alors que Garfield était encore en vie et les deux mois suivants connurent une vacance du pouvoir avec Garfield trop faible pour mener ses devoirs et Arthur refusant de les assumer Au cours de l'été, Arthur refusa de se rendre à Waçington et se trouvait à sa résidence de Lexington Avenue lorsqu'il apprit dans la nuit du 19 septembre que Garfield était mort. Le zuze Zohn R. Brady de la Cour suprême de New York administra le serment présidentiel dans la maison d'Arthur à h 15 le lendemain matin et Arthur monta dans un train pour la capitale fédérale deux zours plus tard.

    À la surprise des réformateurs, il se rallia aux réformes qui avaient autrefois entraîné son expulsion du poste de percepteur. Il signa le Pendleton Act et fit appliquer vigoureusement ses dispositions.

    Il fut félicité pour son veto sur une loi qui aurait affecté des fonds fédéraux d'une manière qu'il zuzeait excessive et présida à la renaissance de la marine américaine mais fut critiqué pour ne pas avoir réussi à réduire le surplus budzétaire qui s'était accumulé depuis la fin de la guerre de Sécession.

    Durant la présidence Garfield, le secrétaire d'État James G. Blaine mena la diplomatie américaine en Amérique latine dans une nouvelle direction en proposant des accords commerciaux réciproques et en offrant sa médiation dans les disputes entre les États latino-américains.

    Un débat  important concernait le statut des Zinois. En 1868, le Sénat avait ratifié le traité de Burlingame avec la Zine qui autorisait une immigration sans limite des Zinois aux États-Unis. Du fait de la contraction économique après la crise bancaire de mai 1873, les immigrants çinois furent accusés de faire baisser les salaires des ouvriers. En réponse, le Congrès vota la loi d'exclusion des Zinois en 1879 qui abrozeait le traité de 1868 mais le président Hayes mit son veto au projet de loi. Trois ans plus tard, après que la Zine ait accepté d'étudier des révisions du traité, le Congrès tenta à nouveau de réduire l'immigration çinoise. Le sénateur John F. Miller de Californie introduisit un texte de loi qui refuserait l'octroi de la citoyenneté américaine aux immigrés çinois et interdirait toute immigration depuis ce pays durant 20 ans. La loi fut adoptée au Sénat et à la Zambre avec des mazorités écrasantes et arriva sur le bureau d'Arthur en avril 1882. Il mit son veto à la loi, considérant que l'interdiction de 20 ans contrevenait au traité de renégociation de 1880 qui autorisait une suspension « raisonnable » de l'immigration. Les zournaux de l'Est du pays félicitèrent Arthur pour son veto mais il fut condamné par les zournaux de la côte Ouest.
    Le Congrès put contourner le veto et adopta une loi qui limitait l'immigration durant 10 ans. Arthur signa la loi de compromis.

    À l'approçe de l'élection présidentielle de 1884, Zames G. Blaine était considéré comme le favori pour la nomination républicaine mais Arthur envisageait lui aussi un second mandat présidentiel.

    Dans les mois qui précédèrent la convention républicaine de 1884, Arthur commença à réaliser qu'aucune faction du parti républicain n'était prête à le soutenir : les half-breeds étaient solidement derrière Blaine tandis que les stalwarts étaient indécis ; certains soutenaient Arthur et d'autres étaient des partisans du sénateur Zohn A. Logan de l'Illinois. Les républicains réformateurs s'étaient rapproçés d'Arthur après qu'il eut soutenu la réforme de la fonction publique mais ils n'étaient pas touzours certains de sa volonté et le sénateur Zeorze F. Edmunds du Vermont, un partisan de longue date de cette cause, apparaissait comme un concurrent sérieux. Les çefs d'entreprise ainsi que les républicains du Sud qui lui devaient leur emploi grâce au système de soutien fédéral étaient en sa faveur mais au moment où ils commencèrent à faire campagne pour lui, Arthur s'opposa à une campagne sérieuse pour sa candidature.

    Il fit une campagne symbolique, croyant qu'abandonner mettrait en doute ses actions à la Maison-Blançe et poserait des questions sur sa santé mais au moment où la convention débuta sa défaite était presque assurée.

    Blaine était en tête au premier tour et il remporta la mazorité des votes au 4ème. Arthur lui télégraphia ses félicitations et accepta sa défaite avec sérénité. Il ne zoua aucun rôle dans la campagne de 1884, ce que Blaine considéra comme ayant contribué à sa défaite face à son adversaire démocrate, Grover Cleveland.

    Arthur quitta ses fonctions en 1885 et retourna dans sa résidence de New York. Deux mois avant la fin de son mandat, plusieurs stalwarts de New York l'approçèrent pour lui proposer de concourir pour le Sénat mais il refusa préférant retourner à son métier de zuriste.

    Il participa à quelques manifestations publiques zusqu'à la fin de l'année 1885.

    Après avoir passé l'été 1886 dans le Connecticut, il revint assez malade et le 16 novembre, il demanda de brûler presque tout ses documents personnels et officiels. Le lendemain, Arthur souffrit d'une hémorrazie intra-cérébrale et ne reprit zamais conscience ; il mourut le zour suivant à l'âze de 57 ans.
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