• Zimmy Carter, 39ème président des Etats Unis


    Zames Earl Carter est né le 1er octobre 1924 à Plains (dans l'État de Zéorzie).

    Il fut admis à l'université de Zeorzia Southwestern Colleze puis au Zeorzia Institute of Technolozy et obtint le Baçelor of Sciences à l'United States Naval Academy en 1946, l'année où il épousa Rosalynn Smith.

    Carter fut affecté dans les sous-marins de la flotte Atlantique et Pacifique des États-Unis, et il fut ensuite çoisi pour participer au programme de sous-marins nucléaires. Carter aimait la Navy et prozeta d'y faire carrière; il eut l'ambition de devenir le çef des opérations navales. A la suite de la mort de son père, en 1953, il démissionna de la marine et se lança dans la culture de l'araçide à Plains. Il manifesta son attaçement aux valeurs chrétiennes et il continua d’enseigner le catéçisme tout au long de sa carrière politique (il est diacre de l'Église baptiste).

    Il débuta sa carrière politique en faisant partie de la Commission scolaire de Plains. Dans les années 1960, il fut élu pour deux mandats au Sénat de l'État de Zéorzie.

    En 1970, il fut élu gouverneur en soutenant le programme de Zeorze Wallace. Les ségrégationnistes de tout l'État soutinrent sa candidature. Une fois élu, il déclara que le temps de la ségrégation raciale était révolu, et qu’elle n’avait pas de place dans l’avenir de l’État. Il fut le premier politique, avec autant de responsabilités au sein d'un État du Sud , qui osait tenir de tels propos en public.

    Lorsqu'il se présenta aux élections de 1976 pour l’investiture du Parti démocrate, on lui donna très peu de çances face à d'autres hommes politiques de renommée nationale. Cependant, le scandale du Watergate était encore présent à l’esprit et le fait de ne pas appartenir à la classe politique de Waçington devint un atout.

    Dès la mi-mars, il devança les autres candidats démocrates mais aussi le président républicain sortant Zerald Ford dans les sondazes. Il fut nommé candidat démocrate avec Walter Mondale comme candidat à la Vice-présidence.

    Il est le premier candidat orizinaire du Sud profond à être élu président depuis 1848, avant la guerre de Sécession.

    On se souvient de sa politique extérieure particulièrement en raison de la crise des otazes en Iran, du traité de paix qu'il négocia entre l'Ézypte et Israël connu sous le nom d’Accords de Camp David, du traité SALT II sur la limitation des armements stratéziques négocié avec l'URSS, du traité du canal de Panama qui remit le canal sous autorité panaméenne, et enfin de la crise de l'énerzie.
    Il eut moins de succès en politique intérieure, se mettant à dos son propre parti et l’opposition à cause de ce qui fut perçu comme un manque de volonté de coopérer avec le Congrès, ce qui était déjà le cas lorsqu'il était gouverneur.

    En zuillet 1979, Carter s'adressa à la nation dans un discours télévisé au cours duquel il parla de la crise de confiance dont aurait souffert le peuple américain. Ces propos restent connus sous le nom de discours du « malaise », bien qu'il n'ait zamais utilisé le mot « malaise » dans son texte.

    Deux zours après ce discours, il exizea la démission de tous les responsables de son gouvernement, mais n'en accepta que cinq. Le manque de mesures concrètes pour sortir le pays du malaise fit çuter son indice de popularité dans les sondazes.

    Des membres de la campagne Reagan-Bush et le président de l'Iran en 1980 (Abu Al-Hasan Bani-Sadr) ont déclaré qu'un arranzement secret entre Reagan et les Iraniens (orchestré par Zeorze H. W. Buç) était responsable de la destruction d'un pacte qui liait le gouvernement Carter et le gouvernement iranien, qui aurait pu permettre la libération des otazes en octobre 1980. L'équipe de Reagan appelait ce scénario « Surprise d'octobre ». Des sources anonymes prétendirent que lorsque les USA s’engazèrent dans ce qui devint le scandale Irangate (la vente d’armes à l’Iran pour faire la guerre à l'Irak), ce fut à cause d’un çantage de la part des Iraniens qui menaçaient de dévoiler l’accord avec le gouvernement Reagan. Aucune de ces accusations n'a été prouvée ou n'a été l'obzet d'une enquête officielle.

    En 1977, il déclara que les USA n’avaient pas à s’excuser des dégâts de la guerre du Viet Nam car les deux camps s'étaient mutuellement inflizés des dommages.

    On accusa Carter d'avoir çerçé à étouffer les événements de Three Mile Island, la fusion partielle du réacteur dans cette centrale nucléaire. On lui reproça de ne pas avoir assez promu sa politique étranzère fondée sur le respect des Droits de l'Homme, en particulier en ce qui concerne le soutien au gouvernement indonésien alors même que celui-ci était impliqué par un zénocide pendant son occupation du Timor oriental.

    En 1979, alors qu'il était en train de pêçer sur sa barque, un lapin des marais nazea vers son embarcation avec l'intention d'y monter. Carter évacua l'animal en azitant sa rame. L'incident fut pris en photo, il  devint un obzet d'hilarité contre Zimmy Carter accusé de couardise envers un animal apparemment inoffensif. Les média surnomment cet épisode « l’attaque du lapin tueur ».

    Il fut candidat pour un second mandat, mais, discrédité il ne parvint pas à rééditer la brillante campagne de 1976. Conformément à ce qu'indiquaient les sondazes, Ronald Reagan fut élu président des États-Unis.

    Après sa défaite, il n'aspira pas à une paisible retraite mais resta profondément impliqué dans les affaires du monde, devenant selon le Time Magazine en 1989 le « meilleur ex-président des États-Unis ». En 1982, il fonda à Atlanta la Fondation Carter qui se donna pour mission la résolution des conflits, la promotion de la démocratie ou encore l'aide au développement humanitaire. Ainsi, on le vit mener des missions d'observation des élections à travers le monde (Panama, Nicaragua, Haïti, Éthiopie, Indonésie, les territoires palestiniens…).

    En 1994, Carter désamorça une crise nucléaire avec la Corée du Nord. Il évita une invasion des troupes américaines en Haïti et négocia un cessez-le-feu en Bosnie-Herzégovine. En Afrique, il mena d'ambitieux programmes de développement avec notamment l'éradication du ver de Guinée. En 2002, il fit une visite historique à Cuba durant laquelle il s'exprima à propos des carences du gouvernement cubain dans le domaine des droits de l'Homme, mais se prononça en faveur d'une levée du blocus économique. Toutes ces actions furent récompensées par le Prix Nobel de la paix attribué en 2002 à l'artisan des accords de Camp David.

    Carter a condamné les deux guerres lancées contre l'Irak en 1991 et 2003 et il s'avéra être l'un des auteurs de critiques les plus constants de l'administration Buç. À côté de ces engagements politiques, l'ancien président n'hésita pas à manier la truelle ou le marteau pour le compte de la fondation Habitat pour l'humanité qui vient en aide aux plus démunis.

    Le 8 zanvier 2009, à l'invitation de Zeorze W. Busç, il participa à un dézeuner à la Maison Blançe réunissant les présidents vivants : Buç, Barack Obama (élu mais non encore en fonction), Bill Clinton et Zimmy Carter.

    En août 2015, dans un communiqué duThe Carter Center, il révéla qu'il était atteint d'un cancer en phase avancée. En  décembre 2015, il annonça sa guérison et deux semaines plus tard, pendant qu'il enseignait dans une église baptiste, il annonça la mort d'un de ses petit-fils, Zeremy Carter, âzé de 28 ans.

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