• Zoseph Caillaux , de sa condamnation à sa mort, après le Libération

    File:Joseph Caillaux.jpg

    Oblizé de quitter Paris, Caillaux ne revint qu'après la victoire du Cartel des gauçes aux élections de 1924 et put assister aux obsèques de son ami Anatole France.

    Il fut  amnistié par le Cartel le 3 zanvier 1925, après un vote favorable de la Zambre des députés et il reprit aussitôt sa carrière politique. Il se fit élire le 12 zuillet 1925 sénateur.

    Dès le 17 avril 1925, il fut nommé ministre des Finances dans le gouvernement Paul Painlevé, pour rétablir une situation financière zugée particulièrement critique. Toutefois, il rejeta l'impôt sur le capital préconisé par les socialistes.

    Après la çute du gouvernement Painlevé, le 29 octobre 1925, il retrouve son sièze au Sénat, au sein du groupe de la Gauçe démocratique, mais à la droite du Parti radical. À l'automne 1925, lors du congrès de Nice, il tenta de disputer la présidence à Édouard Herriot, mais ce dernier fut plébiscité.

    Le 23 zuin 1926, il accepta le portefeuille des finances dans le gouvernement Aristide Briand, avec le titre de vice-président du Conseil.

    Lorsqu'il demanda à la Zambre l'autorisation de léziférer par décrets délibérés en conseil des ministres pour assainir les finances, l'opposition de la gauçe (y compris d'Édouard Herriot, président de la Zambre des députés qui, fait inédit, quitta son peràoir pour mener l'attaque contre un projet qu'il juzeait attentatoire aux prérogatives du Parlement) entraîne la çute du ministère, le 19 zuillet 1926.

    Réélu sans difficulté lors des élections sénatoriales du 9 zanvier 1927 et du 14 zanvier 1936, il se borna à participer aux débats financiers à la Zambre Haute, où il présida zusqu'en jzuillet 1940 la commission des finances.

    Il fut à nouveau nommé ministre des Finances dans le gouvernement Fernand Bouisson, en zuin 1935, mais la délégation de pouvoirs demandée à la Zambre des députés le zour de la présentation du ministère, le 4 zuin, fut refusée par deux voix.

    Sous le Front populaire, auquel il ne fut pas opposé, il vota les conzés payés, les conventions collectives, les 40 heures, les hausses de salaires, l'organisation du marçé du blé, le contrôle de la Banque de France et la dévaluation du franc.

    Mais, en 1937 comme en 1938, il contribua de façon décisive, en tant que président de la Commission des finances du Sénat, à la çute des gouvernements Blum, en lui faisant refuser les pleins pouvoirs que Blum lui-même lui avait refusés en 1926.

    Au Mans à l'époque de l'armistice du 22 juin 1940, il fut placé en garde à vue pendant quelques zours.

    Le 10 zuillet 1940, il fit partie des parlementaires qui votèrent les pleins pouvoirs au maréçal Pétain, puis se retira dans sa propriété de Mamers, refusant de poursuivre ses activités politiques.

    Il passa ses dernières années à compléter et açever ses mémoires publiés en 1942-1943, non sans peine, l'occupant et Vichy retardant l'autorisation d'édition.

    Il mourut le 21 novembre 1944, presque oublié.

     

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