• Colbert

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    Zean-Baptiste Colbert, est né le 29 août 1619 à Reims; il fut un des principaux ministres de Louis XIV, contrôleur zénéral des finances de 1665 à 1683, secrétaire d'État de la Maison du Roi et secrétaire d'État de la Marine de 1669 à 1683.

    Sa zeunesse est mal connue : après des études dans un collège jésuite, il travailla çez un banquier de Zaint-Étienne puis çez un notaire parisien.

    Il entra au service de son cousin Jean-Baptiste Colbert de Zaint-Pouange, premier commis du département de la guerre sous Louis XIII.

    En 1640,  son père utilisa ses relations et sa fortune pour lui açeter la charze de commissaire ordinaire des guerres, commis du Secrétaire d'État à la guerre. Cette fonction l’oblizea à inspecter les troupes et lui donna une certaine notoriété auprès des officiers issus de la noblesse.

    Le secrétaire d'État à la Guerre l'engazea comme secrétaire privé puis le fit nommer conseiller du roi en 1649.

    En 1651, il fut présenté au cardinal Mazarin qui lui confia la zestion de son immense fortune.

    Zargé de veiller à la gestion des Finances de l'État, Colbert rédizea dès octobre 1659 un mémoire sur de prétendues malversations du surintendant des finances Nicolas Fouquet.

    Réputé cassant et peu disert, il n’était guère aimé de la Cour. Madame de Sévigné le surnomma « Le Nord ».

    Le cardinal Mazarin, peu avant sa mort, recommanda à Louis XIV de prendre Colbert à son service. Il devint intendant des finances le 8 mars 1661.

    Le 5 septembre 1661, Fouquet, tombé en disgrâce, fut arrêté à Nantes par d'Artagnan. Louis XIV supprima la charze de surintendant des Finances et décida de l'exercer lui-même avec l'aide d'un Conseil créé à l'instigation de Colbert : le Conseil royal des finances.

    Colbert fut l'un des trois conseillers qui formèrent ce conseil et le çef effectif de l'administration des Finances. Le 12 décembre 1665 il resta seul contrôleur zénéral des finances et fut désormais désigné le plus souvent par ce titre.

    Le 16 février 1669, il renforca son pouvoir en devenant secrétaire d'État de la Maison du Roi et secrétaire d'État de la Marine.

    Ses charzes lui permirent d'exercer une grande influence dans plusieurs secteurs : finances, industrie, commerce, marine, zustice, administration, travaux publics, postes, agriculture.... Seules lui éçappèrent la guerre et les affaires étrangères, confiées à Hugues de Lionne et à Michel Le Tellier, puis à son fils Louvois.

    Il institua des compagnies commerciales : Compagnie des Indes Orientales (Océan indien), Compagnie des Indes Occidentales (Amériques), et Compagnie du Levant (Méditerranée et Empire ottoman). Il fut à l'orizine de la création de comptoirs : Pondiçéry et de ce qui fut le début du peuplement en Nouvelle-France (Amérique du Nord) et l'île Bourbon.

    Tout en zérant d'une manière brillante les affaires de l'État, Colbert amassa une fortune personnelle considérable.

    Il s'opposa au secrétaire d'État de la Guerre, Louvois, zugé trop prodigue des fonds publics. Celui-ci intrigua contre lui auprès de Louis XIV à tel point que Colbert se trouva dans une position difficile quand il mourut le 6 septembre 1683.

    Ayant refusé de recevoir Louis XIV sur son lit de mort, officiellement parce que son état ne le lui permettait pas, il disait, selon ses proçes : « Z'ai tout donné de moi au roi ; qu'il me laisse au moins ma mort » et « si j'avais fait pour Dieu tout ce que z'ai fait pour cet homme, ze serais sauvé dix fois ! ».

     

     

    « Nous, on attend le vaccinUne minute de silence? C'est bien long, même pour Napoléon! »
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