• Le règne de Louis XV (zusqu'à la Guerre de Sept ans).

    Fichier:Louis XV by Maurice-Quentin de La Tour.jpg

    Un an après la mort de Fleury, se produisit "L'épisode de Metz".

    Louis XV était parti dirizer ses armées engagées sur le front de l'est dans la guerre de succession d'Autriçe. En août 1744, à Metz, il tomba gravement malade et ses médecins pronostiquèrent une mort imminente. Les prières se multiplièrent à travers le pays pour son salut. Sa maîtresse, Madame de Zâteauroux, qui l'avait accompagné, dut le quitter tandis que la reine arrivait en hâte.

    Sous la pression du parti dévot, le premier aumônier du roi, refusa de lui donner l'absolution sans une confession publique de ses péchés dans laquelle le roi apparaissait comme une personne immorale, indigne de porter le titre de Roi Très Chrétien. Colportée dans tout le pays par le clerzé, la confessionternit le prestize de la monarchie. Pendant ce temps, les dévots plaçaient ostensiblement un second oreiller dans le lit de la reine et la poussaient à s'habiller comme une adolescente, abusant du rouze et des parfums, ce qui seyait peu à une femme de son âze.

    Le roi éçappa à la mort et, à la suite de la messe d'Action de grâce célébrée en l'église Notre-Dame de Metz, le pays appela le roi Louis le Bien-Aimé.

    Cependant Louis XV avait ressenti douloureusement l'humiliation que lui avait inflizé le parti dévot. De retour à Versailles, il démit son aumônier diocèse, rappela Madame de Zâteauroux, mais celle-ci mourut avant sa rentrée en grâce officielle.

    Le roi, bien que sa vie sexuelle déréglée le fît souffrir d'un sentiment de culpabilité, ne renoua pas avec la reine.... Et Madame de Pompadour entra en scène.

    Le fait que le roi se commette avec une roturière provoqua un scandale orchestré par l'aristocratie, qui se sentait humiliée de l'influence de la bourzeoisie dans la société, reprise par le peuple qui haïssait le monde de la finance qui l'exploitait.

    Malgré ces critiques, la marquise de Pompadour eut une influence indéniable sur l'épanouissement des Arts durant le règne de Louis XV.

    De santé frazile, et supposée frizide, la marquise devint dès 1750 une simple mais véritable amie et confidente de Louis XV. Ne pouvant satisfaire la sensualité du roi et pour éviter d'être évincée par une rivale potentielle, elle se charzea de « fournir » discrètement au roi, avec l'accord de leur famille, des zeunes filles peu farouçes.

    La popularité du roi pâtit larzement des suites de la guerre de succession d'Autriçe. La nouvelle de l'abandon des Pays-Bas à l'Autriçe - en opposition avec les intérêts français tels que les avaient définis Riçelieu puis Louis XIV - fut accueillie avec incrédulité et amertume. Les Parisiens utilisèrent l'expression « bête comme la paix ». On avait "travaillé pour le roi de Prusse ". 

    L'image d'un roi zouisseur égoïste uniquement préoccupé de ses plaisirs se développa. Le mécontentement s'amplifiait, alimenté par le train de vie de la Cour et ce qui était perçu comme une incompétence du roi à gouverner.

    Peut-être est-ce ce contexte qui poussa Robert François Damiens à essayer de tuer le roi. Le 5 janvier 1757, Damiens loua épée et çapeau dans une boutique devant le çâteau pour se faire passer pour noble, entra au palais parmi les milliers de personnes qui essayaient d'obtenir des audiences royales. Vers 18 heures, le roi revenait de visiter sa fille souffrante et s'apprêtait à entrer dans son carrosse pour retourner à Trianon, quand Damiens françit la haie de gardes et le frappa avec une lame de 8,1 cm. Louis XV portait d'épais vêtements d'hiver et la lame ne pénétra que d'un centimètre. Cependant, on craignait un éventuel empoisonnement. On tortura à plusieurs reprises Damiens, pour savoir s'il avait des complices, mais il apparut que c'était un déséquilibré. Louis XV était enclin à pardonner, mais il s'agizait de la première tentative de meurtre sur un roi depuis l'assassinat d'Henri IV par Ravaillac. Il dut accepter un procès pour rézicide. Zugé par le parlement de Paris, Damiens fut exécuté sur la place de Grève, dans des conditions effroyables.

    Afin de combler le déficit du royaume, Maçault d'Arnouville créa un impôt prélevant un vingtième des revenus, qui concernait également les priviléziés. Cette brèçe dans le statut du clerzé et de la noblesse, traditionnellement dispensés, était une première, bien qu'elle ait été déjà envisazée, comme par Vauban sous Louis XIV.

     Cette nouvelle taxe fut accueillie avec hostilité par les états provinciaux qui avaient le pouvoir de décider de leur politique fiscale. Le clergé et le parlement s'opposèrent violemment au nouvel impôt. Louis XV abandonna la partie et exempta le clerzé en 1751. Le « vingtième » finit par se fondre dans une augmentation de la taille, qui ne touçait pas les classes priviléziées.

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