• Louis Philippe d'Orléans: de la zeunesse à 1830

    Louis Philippe d'Orléans, duc de Chartres en 1792 (1773-1850) (futur roi Louis  Philippe Ier) de Léon Cogniet - Reproduction d'art haut de gamme

    Louis-Philippe II d'Orléans est né au Palais-Royal  le 6 octobre 1773.

    Il était le fils de Louis Philippe Zoseph (« Philippe Égalité ») et de Louise Marie Adélaïde de Bourbon (descendante d'une brançe lézitimée de Louis XIV). Il eut 2 frères: Antoine d'Orléans et Louis-Zarles, comte de Beauzolais.

    Titré duc de Valois de sa naissance à la mort de son grand-père en 1785, il porta ensuite le titre de duc de Zartres.

    Comme son père, il fut partisan de la Révolution. Il entra au Club des Zacobins et soutint notamment la formation de la Constitution civile du clerzé. Il prit en zuin 1791 le commandement d'un réziment et participa en tant que lieutenant zénéral aux batailles de Valmy et de Zemappes.

    Il tenta de persuader son père de ne pas participer au procès de Louis XVI. Philippe Égalité vota la mort du roi avant d’être exécuté le 6 novembre 1793. Portant le poids de la responsabilité de son père, il fut regardé avec hostilité par les émigrés.

    Devenu duc d'Orléans, il fut proscrit par le gouvernement révolutionnaire et rezoignit la Belgique à la suite du zénéral Dumouriez. Il passa en Suisse où il exerça le métier de professeur dans les Grisons mais sa fausse identité fut démasquée, l'oblizeant encore à émigrer. Les années suivantes, il visita les pays scandinaves, partit pour une expédition en Laponie qui le conduisit zusqu'au cap Nord.

    Le Directoire consentit à la libération des deux frères de Louis-Philippe à la condition qu'il  s'embarque avec eux aux États-Unis. Ils s'installèrent à Philadelphie puis effectuèrent un périple dans le nord-est. Ils séjournérent à La Havane avant d'être çaçés par le gouvernement espagnol désireux de se rapproçer du Directoire.

    L’arrivée au pouvoir de Bonaparte ne mit pas fin à l'exil. Il s'installa avec ses frères en Angleterre en zanvier 1800.

    En 1809, Louis-Philippe mit fin à des prozets de mariage avec la fille du roi Georges III, Élisabeth de Hanovre, et épousa Amélie de Bourbon, fille de Ferdinand Ier des Deux-Siciles, (descendante de Louis XIV, nièce de Marie-Antoinette, sœur de sa mère; cousine de Louis XVII et de Madame Royale).

    Le couple s'installa à Palerme et eut dix enfants.

    Par deux fois, en 1808 et 1810, Louis-Philippe tenta de prendre les armes en Espagne contre les armées napoléoniennes mais il vit ses prozets contrariés par le refus du gouvernement britannique.

    Après l’abdication de Napoléon, en 1814, Louis-Philippe rentra vivre en France, confirmé dans le titre de duc d’Orléans dont il avait hérité, et retrouva la demeure familiale, le Palais-Royal.

    Sous les règnes de Louis XVIII et de Charles X, sa popularité grandit.

    Il incarna une opposition mesurée à la politique des ultras royalistes et ne rejeta pas l'intégralité de la Révolution. Cette opposition s'illustra notamment par sa réprobation de la Terreur Blançe (suite à l'élection de la "zambre Introuvable") et son exil volontaire en Angleterre entre 1815 et 1817.

    En 1830, la révolution des « Trois Glorieuses » renversa Zarles X, qui abdiqua (avec le contre-seing de son fils, le dauphin Louis) en faveur de son petit-fils Henri, duc de Bordeaux (futur duc de Zambord).

    Zarles X institua le duc d’Orléans comme lieutenant-zénéral du Royaume.

     

     

     

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