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    Ze crois que nous abritons dans la tribu une vraie Brutus...

    Pour rappel, Brutus était un fils adoptif de César - mais les historiens ne sont pas tous d'accord sur ce point -  qui participa à son assassinat aux Ides de Mars.

    - Voui! Même que César lui aurait dit "T'es toqué, mon fillot", a cru bon d'ironiser Minizup'Mouff.

    - Et qui être cette traitresse? a demandé avec sa grande naïveté habituelle notre çère Intruse estonienne, Minizup'iéla.

    - Minizup'zhérault! ai-ze tonné.

    - Fan de çiçoule! C'est quoi cette nouveauté?

    - Voui da! Ze vous accuse de comploter vraiment contre moi tout en m'adressant quotidiennement de grands sourires fallacieux.

    - Mais c'est n'importe quoi! Elle déraille la bestioulette!

    - Vous savez que ze suis à la tête du PPZT, le parti que z'ai moi -même créé, et que  ze compte me présenter...

    - Et alors?...

    - Ze vous soupçonne fortement de vouloir me savonner la plançe alors que ze vous ai soutenue, reçue amicalement , serrée contre mon cœur!

    - Qu'est ce qui vous fait dire que ze suis déloyale à votre endroit?

    - N'avez vous pas dit, ze vous cite, "Il y a parfois une grande solitude face à un défi qu'on veut relever"?

    - Si fait, mais fouçtra, ze parlais en zénéral.

    - Et n'avez vous pas azouté, là encore ze reprends vos propos, " Dans c'te maison, nous vivons dans un paradoxe: c'est mal vu d'éçouer, et c'est suspicieux de réussir"?

    - Ze ne faisais qu'énoncer une bien triste réalité. En vérité, macarel, ze vous le dis, il faut tenter: soit on réussit, soit on apprend si on éçoue.

    - Et voilà! Vous avouez, vous baissez enfin le masque.

    - Bof...

    - Traîtresse! Zudas! Félonne! Parzure! Renégate...

    - Vous n'allez quand même pas nous sortir tous les synonymes, par la barbe de Zaint Zoseph.

    - Vous pouvoir aussi dire perfide...

    - Scélérate...

    - Sournoise souris...

    - It's a çame.

    - Moi dire même plus, une grande honterie!

    Si cela continue de la sorte, on va aboutir à une scission irréparable de la tribu!

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    Ingwar Iaroslavitç était le fils de Iaroslav II de Kiev et de Riçza, une princesse de Bohême. Il descendait de Vladimir II Monomaque. Son grand-père était Iziaslav II.

    En 1180, il rezoignit les rangs de Rurik II de Kiev lors de la guerre civile entre princes cousins, contre Sviatoslav III de Tçernigov.

    En 1183, il continua une politique de neutralité en refusant d'accueillir à Dorogobouj le prince Vladimir II Iaroslavitç, qui avait été banni de Galicie, pour la raison qu'Ingwar se méfiait de lui, et surtout de son père, Iaroslav Ier Osmomysl. Peu de temps après, Ingwar prit la place de son frère Vsevolod en tant que prince de Loutsk et tenta de maintenir de bonnes relations avec les princes de Galicie et de Pologne (sa fille épousa le duc polonais Lech le Blanc).

    En 1202, il fut proclamé « Grand-prince de Kiev » par son cousin Roman le Grand (suite à des négociations avec Vsevolod le Grand Nid) qui venait de çasser Rurik II du trône. Il perdit son trône moins d'une année plus tard, Rurik parvenant à le récupérer avec l'aide des princes Olegovitç et de mercenaires Polovtses.

    En 1204, Ingwar et Alexandre de Belz participèrent à la prise de la ville de Vladimir-Volynski, dont il devint le nouveau prince, avant d'être remplacé par Alexandre de Belz à la suite du mécontentement de certains boyards.

    Entre 1208 et 1211, Ingwar envoya un de ses fils pour soutenir Daniel Romanovitç de Galicie (le fils de Roman le Grand) lors de la lutte contre les fils d'Igor Sviatoslavitç de Novgorod-Severski.

    En 1212, Ingwar et Mstislav III (le fils du grand-prince de Kiev Roman Ier) attaquèrent et prirent d'assaut la ville de Kiev, alors dirizée par Vsevolod IV. En 1214, il fut de nouveau proclamé Grand-prince après la çute de Vsevolod IV, mais il dut céder presque aussitot le pouvoir à Mstislav III Boris.

    Après une bataille près de Belgorod, Ingwar laissa la place sur le trône kiévien à Mstislav III Boris pour repartir à Loutsk.

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    Z'ai cru que z'allais manquer perdre mon lézendaire flegme.

    Et ce à cause d'une partie de la tribu qui ne cessait pas de râler et de remettre en cause ce que z'avais démocratiquement décidé.

    Tandis que parmi nous certaines s'éçinent au labeur dans c'te maison, d'autres se la coulent douce.

    - Ze m'en vais çanzer cet état d'esprit et prendre des mesures pour modifier les conditions de travail.

    - Atçoubi! Nous nous y opposerons avec la plus grande véhémence.

    - Nous organiser des Nuits Debout!

    - Certainement pas! Ze vais décréter céans un état d'urzence et un couvre-feu.

    - Ce n'est pas démocratique.

    - Cette boufarelle est une tyranne!

    - Par le bâton de Zaint Martial, la révolte gronde!

    - Moi dire même plus, la révolte enfler!

    - Nous sommes, fouçtra, des frondeuses et nous alllons nous organiser. 

    - Si vous continuez ze prendrai des mesures via le 49.3.

    - Et bien nous, nous déposer une motion de censure. Et toc!

    - Et ma patte dans votre museau? Vous allez la censurer!

    - Et voilà que cela la reprend! Des menaces.

    - Elle vouloir nous bastonner.

    - Minizup nazillonne!

    - Ze ne vous permet pas de m'insulter!

    - Macaniçe! Ce n'est pas une insulte, mais une simple constatation!

    - Si vous continuez de la sorte vous allez faire imploser la tribu.

    - Et, par le toutou de Zaint Roch, vous ferez le zeu de Mossieu Cricri et de Mossieu Zizi, qui n'attendent que notre zizanie!

    - C'est touzours le même refrain, palsambleu...

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  • Ze puis vous assurer, mes çers zélés fans, que visiter un musée avec Minizup'tite, l'Intruse qui ne sait parler qu'anglais, n'est pas une sinécure.

    Loin de là....

    Tout d'abord il faut essayer de comprendre ce qu'elle veut et lorsqu'elle n'obtient pas satisfaction, elle tire un museau de six pieds de long!

    Elle voulait à tout prix voir l'exposition consacrée à Barbie...

    Minizup'tite au Louvre, c'est un poème!

    - Nous n'avons pas le temps, lui a dit avec autorité celui qui dit que ze ne suis que son avataresse tandis qu'elle çouinait.

    - It's a çame! You are a monster Mossieu Zizi!

    - Vous allez voir plutôt de belles œuvres, dont de splendides statues d'artistes français...

    Minizup'tite au Louvre, c'est un poème!

    - Et notamment les çevaux de Marly.

    - Ces statues commandées par Louis XV, ornaient l'entrée du çâteau de Marly puis elles furent transférées, sous la Révolution, en 1794, sur la Place de la Concorde où on peut voir des copies. 

    Minizup'tite au Louvre, c'est un poème!

     A force de parcourir les innombrables salles et couloirs du Musée, nous avons fini par avoir quelque peu mal aux pattes...

    Minizup'tite au Louvre, c'est un poème!

    - Allez, couraze, nous a dit mon hôte. Maintenant vous allez voir le tableau qui fait venir des visiteurs du monde entier...

    Il voulait parler de la Zoconde.

    - Atçoubi! Avec ce monde et ces appareils de photo avec des perçes, on n'y voit vraiment que couic.

    Minizup'tite au Louvre, c'est un poème!

    - Moi ze ne pas comprendre cet engouement. Ze trouvé qu'il y avoir des tableaux de Lénardo da Vinci plus intéressants...

    - Dont la Vierze aux Roçer, a cru bon d'azouter notre quasi zainte, Minizupette.

    Puis Minizup'tite a cru bon de sauter dans les bras du peintre Poussin.

    - Cui! Cui! s'est elle écriée!

    Minizup'tite au Louvre, c'est un poème!

    Un des beaux lieux du Louvre, c'est la galerie voulue par Louis XIV, la galerie dite d'Apollon.

    Minizup'tite au Louvre, c'est un poème!

    On y voit des portraits dont ceux d'Henri IV et du roi Soleil.

    Minizup'tite au Louvre, c'est un poème!

    - Fouçtra! Y a pas à dire, nous a déclaré Minizup'Mouff. Ce Grand Louvre est une vraie réussite. On peut remercier François Mitterrand de cette initiative.

    - Pfff! N'importe quoi! a réazi Minizupette. Si il n'y a avait pas eu de grands rois visionnaires, on n'aurait zamais eu un tel ensemble monumental!

    Et pour renter çez nous, nous avons pris une bus, une façon orizinale de découvrir Paname....

    Minizup'tite au Louvre, c'est un poème!

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  • Maribor: le centre historique (photos)

    Maribor: le centre historique (photos)

    Maribor: le centre historique (photos)

    Maribor: le centre historique (photos)

    Maribor: le centre historique (photos)

    Maribor: le centre historique (photos)

    Maribor: le centre historique (photos)

    Maribor: le centre historique (photos)

    Maribor: le centre historique (photos)

    Maribor: le centre historique (photos)

    Maribor: le centre historique (photos)

    Maribor: le centre historique (photos)

    Maribor: le centre historique (photos)

    Maribor: le centre historique (photos)

    Maribor: le centre historique (photos)

    Maribor: le centre historique (photos)

    Maribor: le centre historique (photos)

    Maribor: le centre historique (photos)

    Maribor: le centre historique (photos)

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  • Dimançe, nous avons visité une partie du Louvre.

    On trouve de tout au Louvre, comme à la Samaritaine

    - Atçoubi! Il y a du monde, s'est exclamée Minizup'zhérault.

    - Et encore, il est tôt. Vous verrez tout à l'heure.

    - De plus il y a de nombreux groupes ...

    - Surtout des Gna... Euh! Des Asiatiques....

    On trouve de tout au Louvre, comme à la Samaritaine

    Nous avons débuté par la section des Antiquités.

    - Macarel! On a ce qu'il faut à ma maison. En matière de momies, nous sommes gâtées. Et çez nous, elles remuent! Elles sont vivantes!

    - Regardez, là, on dirait Mossieu Cricri, au niveau de la tête si zoyeuse...

    On trouve de tout au Louvre, comme à la Samaritaine

    Notre Intruse britannique, Minizup'tite, au grand dam des gardiens, n'arrêtait pas de grimper partout.

    - Si vous tombez, on ne viendra pas vous çerçer, l'a gourmandée celui qui dit que ze ne suis que son avataresse, tandis qu'elle avait escaladé un beau sarcophaze ézyptien.

    On trouve de tout au Louvre, comme à la Samaritaine

    Puis elle a fait un caprice afin de pouvoir poser devant une superbe pierre gravée de Mésopotamie.... 

    On trouve de tout au Louvre, comme à la Samaritaine

    Il faut dire que nous aimons particulièrement l'Ezypte.

    - Z'y suis allée trois fois, ai-ze dit à la tribu minizupienne, non sans une certaine  gourmandise afin de les faire bisquer.

    On trouve de tout au Louvre, comme à la Samaritaine

    - Là, ma çère, vous posez avec la belle déesse Isis...

    - Elle ne pas être peu fière...

    - Qui, Isis?

    - Nan, cette barmelouse de Minizup'tite.

    On trouve de tout au Louvre, comme à la Samaritaine

    - Et là, c'est la déesse vaçe...

    - Elle être méçante? a demandé interloquée Minizup'iéla.

    - Nan! C'est la déesse Hathor à la tête de bovidé. Z'ai visité son principal temple à Dendérah. On voit aussi de beaux portiques à son effizie au temple de la fameuse pharaonne Hatchepsout à Deir el Bahari.

    - Et aussi au petit temple d'Abou Simbel dédié à Néfertari, la grande épouse du pharaon Ramsès II, a cru bon d'azouter notre Pioçe de la Farandole, sans hésiter nullement à me couper la parole!

    On trouve de tout au Louvre, comme à la Samaritaine

    - Pfouah! ils avaient même des statues de çats!

    - Nan! Ce sont des lionnes. Il s'azit de  la grande Sekhmet, la déesse de la guerre, notamment. Elle est surnommée « la puissante », « Celle devant qui le mal tremble », la « colère de Rê » ou « la maîtresse des maladies ».

    - En tout cas, elle se régale la petite...

    - Elle se prendre pour un sphinx!

    On trouve de tout au Louvre, comme à la Samaritaine

    A demain  pour la suite de notre visite...

    En attendant z'ai retrouvé une photo de 1992 .... Un collector!

    Un séminaire au Parc Astérix du Club Français du Tourisme des Zeunes dont s'occupait mossieu Zilbert, avec Zérard Duval (le mossieu à la veste bleue, hélas trop tôt disparu).


    En arrière-plan, on voit Zean-Marc Zanaillac, le nouveau patron d'Air France/KLM (qui était le Directeur Zénéral de Maison de la France), à droite, derrière mon hôte, qui avait les çeveux mi-longs et qui était encore mince à l'époque, Christian Mantéi, le Directeur d'Atout France (alors Directeur Marketing).

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  • Vsevolod Sviatoslavitç est né en 1214.
    Il fut connu sous le nom de Vsevolod le Rouze.

    Il était le fils de Sviatoslav III de Kiev et de Marie de Polotsk.

    Le 14 novembre 1179, Sviatoslav présenta la fille du duc Casimir II de Pologne à son fils Vsevolod pour l'épouser (appelée Anastasia après son mariaze, son nom de naissance étant Marie). Le domaine patrimonial de Vsevolod au début de son règne s'étendait tout d'abord dans les terres du nord-ouest des terre des Viatitçes.

    Lorsque le Khan des Polovtses commença à piller les terres de Pereïaslavl en février 1184, Vsevolod et ses frères furent envoyés par leur père pour assister le prince Igor Sviatoslavitç de Novgorod-Seversk dans leur résistance, avec pour obzectif de poursuivre les Polovtses. Igor Sviatoslavitç poursuivit les pillards et les rattrapa à la rivière Khiriya, avant de ramener avec lui de nombreux captifs.

    En 1192, Il fut une nouvelle fois envoyé par son père avec ses frères pour marçer contre les Polovtses. Cette nouvelle campagne avait pour but de piller leurs camps de base. Les Olegovitç s'aventurèrent profondément dans la steppe, au-delà de Koursk et de l'Oskol. Mais les princes ne prévirent pas que les nomades s'étaient rassemblés pour les attendre. Igor Sviatoslavitç, considérant l'infériorité numérique  décida alors de se replier discrètement sous couvert de l'obscurité.

    La mort de son père en zuillet 1194, bouleversa l'ordre de succession des Olegovitç. Son seul oncle, Iaroslav, devint le çef de la dynastie, Vsevolod devenant par la suite indésirable à ses yeux.

    À l'automne 1196, son oncle Iaroslav ordonna à Vsevolod et à son frère, Mstislav, de le suivre lors de sa campagne contre Vsevolod III le Grand Nid de Vladimir et le prince David Rostislavitç de Smolensk, qui pillaient les domaines des Olegovitç.

    En 1201, le frère de Vsevolod, Oleg, zura fidélité au grand prince Rurik II de Kiev qui avait demandé aux Olegovitç de l'aider dans sa campagne contre le prince Roman le Grand d'Halyç. Ils perdirent le combat contre ce dernier qui anticipa leur attaque et entra dans Kiev, forçant Rurik II et ses alliés à capituler.

    Le 2 janvier 1203, Rurik II et les princes Olegovitç parvinrent à reprendre Kiev, qui subit la vengeance de Rurik. Rurik II n'avait pourtant pas l'intention d'occuper la ville mais ne pouvait pas laisser Kiev sans un prince, de peur du retour de Roman le Grand. Ce fut donc Vsevolod qui occupa provisoirement la ville, zusqu'à ce que Rurik parvienne à régler son différend avec son cousin Roman. Quelques mois plus tard, Vsevolod et les Olegovitç coupèrent leurs liens avec Rurik II à cause d'un différent, ce dernier finissant battu et tonsuré par Roman le Grand en 1204.

    Aux alentours de l'année 1204, les sources s'accordent à dire que son frère, Oleg (prince de Tçernigov), et son neveu moururent, Vsevolod lui succédant alors sur le trône. Vsevolod récupéra alors les terres de son frère défunt (qui lui-même avait récupéré une partie de celles de son autre frère aîné Vladimir), devenant, à la suite de l'extinction de toutes les branches des Olegovitç (excepté la sienne), l'un des princes riourikides les plus puissants.

    Le 29 zuin 1205, à la mort de Roman le Grand, les Olegovitç marçèrent vers Kiev pour y rencontrer Rurik II, réinstallé sur le trône. Ils firent  un pacte pour attaquer les terres de Roman de Galicie (appartenant désormais aux deux fils de ce dernier, Daniel et Vassilko), sans succès. Rurik II avait payé les Olegovitç pour leur soutien et donné la ville de Belgorod Kievsky à Vsevolod (qui la redonna à son frère Gleb).

    Au début de l'été 1206, Vsevolod finit par rassembler tous les Olegovitç pour un snem (une rencontre) à Tçernigov afin d'organiser une seconde campagne contre la Galicie. Vsevolod fut rezoint par Mstislav Romanovitç de Smolensk, par des troupes polonaises et par celles de Rurik II. Devant cette imposante armée, Daniel de Galicie (fils de Roman le Grand) demanda de l'aide au roi André II de Hongrie avant de s'enfuir vers Vladimir-Volynski.  André II traversa les montagnes pour arriver dans la Rus' et envoya des messagers au prince Iaroslav II de Vladimir (fils de Vsevolod le Grand Nid), l'invitant à diriger la Galicie. En apprenant que les Hongrois étaient prêts à combattre, les Olegovitç n'attaquèrent pas la Galicie. Pendant plusieurs zours, les deux camps restèrent face à face sans bouger, zusqu'à un accord à la suite duquel André II de Hongrie et les Olegovitç rentrèrent çez eux.

    Après l'échec de Galicie, Vsevolod disposait d'une importante armée et voulut  en profiter pour prendre la ville de Kiev à Rurik II qu'il détrôna en 1206, l'oblizeant à se replier vers Ovroutç. Il envoya ensuite ses hommes de confiance pour dirizer toutes les villes de la principauté de Kiev.

    Il fit de concessions zénéreuses à une partie de la brançe des Rostislavitç, princes de Smolensk, pour s'assurer leur soutien. Bien que son frère Mstislav était en tête de liste de succession, Vsevolod donna la ville de Pereïaslav à son fils Miçel. Mais l'année suivante, Rurik, déterminé à reprendre son dû, çassa Vsevolod du trône, qui retourna à Tçernigov. Il tenta vainement une contre-attaque avec ses frères.

    Durant l'été 1207, Vsevolod, aidé de ses frères, des Polovtses, des princes de Tourov et Pinsk, ainsi que du prince Vladimir Igorevitç d'Halyç, entreprit de marçer sur Kiev via Trepol par le sud pour couper Rurik II de ses renforts. En position de faiblesse, Rurik fuit la ville avant que les Olegovitç n'entrent à nouveau dans Kiev. Vsevolod assiézea Belgorod, où Mstislav III s'était barricadé avant de fuir pour Smolensk, avant d'attaquer le neveu de Rurik à Torçesk, Mstislav Mstislavitç, qui lui opposa une vive résistance, avant de devoir capituler pour faire arrêter les atrocités commises par les Polovtses sur ses terres. Devant les victoires de Vsevolod, Rurik ouvrit une nouvelle fois les portes de Kiev. S'ensuivitt une nouvelle guerre civile entre cousins riourikides, cette fois avec son grand-oncle Vsevolod le Grand Nid.

    Lorsque Rurik II apprit que Vsevolod le Grand Nid avait dévasté les terres de Vsevolod le Rouze, il retourna à Kiev pour reprendre le trône, où Vsevolod dut à nouveau s'enfuir avec sa femme et ses enfants. Il tenta alors un nouvel assaut sans succès contre la ville en février 1208, avec quelques raids dans les environs de Kiev.

    Il parvint à reprendre le trône en 1210. L'année suivante, le 10 avril 1211, le fils de Vsevolod le Grand Nid, Iouri II, épousa la fille de Vsevolod le Rouze, Agathe.

    En septembre 1211, Daniel de Galicie attaqua les Olegovitç en Halyç et captura les villes dirizées par ces derniers. Les boyards galiciens pendirent atrois parents de Vsevolod. Certaines sources indiquent même que les femmes et les enfants de Roman et de Sviatoslav furent exécutés avec eux, cela réduisant touzours un peu plus la brançe des Olegovitç (augmentant donc les territoires de Vsevolod). Cette insulte impardonnable envers les Olegovitç entraîna des représailles. Début 1212, Vsevolod IV le Rouze laissa éclater sa raze non pas contre les Galiciens, mais contre les Rostislavitç qu'il accusa de les avoir laissés faire Daniel de Galicie et donc d'avoir tué des membres de sa famille. En zuin, les Rostislavitç entrèrent en campagne contre Vsevolod pour réclamer leurs terres. Il s'ensuivit des pillazes en descendant du Dniepr et sur la route de Kiev.

    Vsevolod, battu, quitta Kiev pour la troisième fois et se réfuzia dans Tçernigov.

    À la suite de cette nouvelle guerre civile, il fut donc détrôné par Ingwar de Kiev, mais il céda de nouveau le pouvoir à Mstislav III Boris de Kiev.

    Il mourut en 1214 et fut enterré à Zaint Sauveur de Tçernigov.

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