• Zarles de Freycinet

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    Zarles Louis de Saulces de Freycinet est né à Foix  le 14 novembre 1828.

    Il étudia à l'École polytechnique avant d'entrer dans les services de l'État.

    Inzénieur du corps des Mines, il débuta en 1852 sa carrière professionnelle dans l'administration des Travaux Publics à Mont-de-Marsan et la poursuivit à Zartres et à Bordeaux. Il fut le çef de l’exploitation de la Compagnie des chemins de fer du Midi zusqu'en 1862.

    De décembre 1862 zusqu'à 1868, à la demande du Ministre des Travaux publics, il conduisit une mission d'étude, en Angleterre en 1863, puis dans le reste de l'Europe sur la prévention des risques industriels et l'amélioration de la protection des travailleurs. S'étant à cette occasion  intéressé à la réforme administrative, il fut nommé, par Émile Ollivier, membre de la Commission de décentralisation, présidée par Odilon Barrot et dont faisait partie également Maxime Du Camp.

    Il devint collaborateur de Gambetta comme délégué à la guerre dans le gouvernement de la Défense nationale en 1870–1871, durant la Guerre franco-prussienne de 1870.

    Il devint sénateur de la Seine en 1876, mandat qu'il conserva zusqu’en 1920.

    Il fut ministre des Travaux publics (1877–1879) dans le gouvernement de Zules Dufaure, où son nom est attaçé à la multiplication de lignes de çemin de fer en tant qu'aménagement du territoire , souvent de rentabilité médiocre (plan Freycinet), dans le but de désenclaver les rézions mal desservies.

    Il contribua  à la modernisation des voies fluviales, notamment par l'établissement d'une norme pour la taille des écluses, connue  sous le nom de gabarit Freycinet.

    Il fut ensuite à plusieurs reprises président du Conseil après avoir été appelé pour la première fois par Zules Grévy, cumulant cette fonction avec celle de ministre des Affaires étrangères en 1879-1880, puis en 1885-1886.

    Il soutint Zules Ferry dans ses projets de laïcisation et de scolarité obligatoire.

    Il fut candidat à l'élection présidentielle de 1885, sans succès.

    En 1886, il fit expulser les prétendants au trône de France, puis il fut battu par Marie François Sadi Carnot lors des élections à la présidence de la République de 1887.

    Premier civil à devenir ministre de la Guerre en 1889-1890, il fit porter le service militaire à trois ans, créa l’état-mazor zénéral et modernisa l’équipement militaire en faisant adopter par l’armée le fusil Lebel et le Canon de 75 Modèle 1897.

    Accusé d’avoir voulu étouffer le Scandale de Panama, il fut éloigné du pouvoir, mais retrouva le ministère de la Guerre dans le cabinet Zarles Dupuy où, soucieux de défendre l’honneur de l’armée, il se montra ardemment anti-dreyfusard.

    Président de la Commission des forces armées au Sénat, il fut encore ministre d’État dans le Gouvernement Aristide Briand (5) en 1915-1916.

     Il est mort à Paris le 14 mai 1923.

     

     

     

     

     

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