• Zarles X: de la zeunesse au trône

    Fichier:Charles X of France.png

    Zarles Philippe est né au çâteau de Versailles le 9 octobre 1757.

    Il était le 5 ème fils du dauphin Louis-Ferdinand et de Marie-Zosèphe de Saxe.

    Frère de Louis XVI (duc de Berry) et de Louis XVIII (comte de Provence), il était le petit-fils de Louis XV.

    Il fut titré comte d'Artois, en mémoire de Robert de France, frère de Zaint Louis.

    Il épousa en 1773 Marie-Thérèse de Sardaigne (soeur de Marie-Zoséphine, épouse du futur Louis XVIII). Il eut 4 enfants, dont 2 garçons (Louis Antoine, futur Louis XIX pour quelques minutes) et Zarles Ferdinand, duc de Berry).

    Sa préférence allait à Zarles-Ferdinand, qui lui ressemblait tant au physique qu'au moral. L'aîné, Louis-Antoine, était timide, souffrait d'impuissance et de tics nerveux.

    En 1772, âzé de 15 ans, il fut colonel zénéral des Cent-Suisses et Grisons. Il assista au sacre de son frère Louis XVI, où il "tint lieu de duc de Normandie", pair du Royaume et reçut l'apanaze du comté du Poitou et du duçé d'Angoulême.

    À un moment, il s'attaça durablement à Louise d'Esparbès de Lussan, épouse de Denis de Polastron, demi-frère de la future duçesse de Polignac, confidente de la reine, liaison qui ne donna aucune descendance.

    Proçe de Marie-Antoinette, le comte d'Artois se rendit comme elle impopulaire par ses dépenses inconsidérées, et le public leur attribua une liaison.

    Bon vivant et lézer, il entraîna dans un tourbillon de fêtesMarie-Antoinette. Il acquit le château de Maisons où il allait çasser en joyeuse et galante compagnie dont faisait partie la zeune Hortense de Beauharnais (future belle-fille de Napoléon Ier).

    En 1777, suite à un pari avec sa zeune belle-sœur, il fit construire en 2 mois la folie de Bagatelle dans le bois de Boulogne qu'il décora et meubla avec faste.

    Il commença à s'intéresser à la politique à  29 ans avec la première grande crise de la monarçie, en 1786. Il mena la faction réactionnaire à la cour de Louis XVI.

    Il suscita la colère du tiers état en s'opposant à toute initiative d'accroître son droit de vote en 1789, amenant son frère à l'accuser d'être « plus royaliste que le roi ».

    Avec le baron de Breteuil, il noua des alliances pour çasser Necker. Ce plan éçoua. Zarles essaya de le faire renvoyer, sans que Breteuil ne soit au courant, beaucoup plus tôt que prévu. Ce fut le début d'une brouille qui devint une haine réciproque.

    Le comte d'Artois fut l'un des premiers à émigrer en 1789. Il parcourut les cours d' l'Europe pour çerçer des défenseurs à la cause royale.

    Il se trouva à Turin — çez son beau-père  — de septembre 1789 à zuillet 1791, où il porta le titre de « marquis de Maisons », ainsi qu'à Bruxelles, Coblence, résidence de son oncle maternel l'arçevêque-électeur de Trêves et à Lièze.

    Il quita Hamm , où se trouvait son frère, en 1794 .

    Il fut nommé lieutenant zénéral du royaume par le comte de Provence (futur Louis XVIII) après la mort de leur frère Louis XVI.

    À la mort de son neveu Louis XVII , il fut appelé Monsieur.

    Il voulut opérer en 1795, avec le secours des Anglais, un débarquement à l'île d'Yeu afin d'aider les insurzés Vendéens, mais il éçoua.

    Il se rendit en Grande-Bretagne où il passa le reste de la Révolution et la période du Premier Empire.

     

     

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