•  

    Afficher l'image d'origine

    Mossieu Cricri nous parle sans cesse d'une destination que ze ne connais pas.

    Et pourtant ze me pique de bien connaître la zéographie et nous avons des atlas dans c'te maison.

    - Lui vouloir sans doute nous faire une surprise pour proçaines vacances, a cru bon de s'interrozer Minizuplein.

    - Atçoubi! C'est vrai que c'est un être fort surprenant! a souligné non sans quelque ironie Minizup'zhérault.

    - It's true! ( "C'est ben vrai ça " ), a azouté Minizup'tite.

    - Tudieu! Ze pensais que nous partions à la fin de la semaine à Montpellier! s'est exclamée Minizup'Mouff

    - Ze le confirmé, z'ai vu les billets, a fait remarquer Minizup'Rosa.

    - Macarel! Voui! Ze veux aller voir mes copines de Pomme Reinette et Pomme d'Api.

    - Et ils m'ont promis qu'en mars nous irions voir les beaux calvaires de Bretagne, par le bouquet de zainte Roseline, a soupiré Minizupette. Z'espère que pour une fois ils tiendront parole.

    - Eux être bien capables de se dédire! a déclaré l'Intruse de Tallin, Minizup'iéla.

    - It's a pity!

    - Palsambleu, z'ai surpris Mossieu Zizi faire des reçerçes sur Dresde et il disait que ce serait une destination idéale pour le mois de mai.

    - Moi pas vous comprendre, Minizup.

    - Ie! mitou!

    - Ma çère, mais à quelle destination faisait donc allusion Mossieu Cricri?

    - De la Vallée des larmes!

    - Hein!

    - Voui! Il ne cesse de dire qu'il faut bien quitter cette Vallée des larmes.

    - Et il dit cela, en fin de 2015, l'année la plus çaude de l'histoire!

    - It's a çame!

     

     

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • cycliste

    Le petit Zérôme rentre dans la cuisine où sa mère prépare le diner.

    Son anniversaire approçe et il pense que c'est le bon moment pour dire à sa mère ce qu'il veut comme cadeau.

    - Maman, ze veux un vélo pour mon anniversaire.

    Mais Zérôme est un diablotin.

    Sa mère , catholoique pratiquante, lui demande s'il pense qu'il a mérité un vélo pour son anniversaire. Zérôme pense que oui, évidemment...

    - Vas dans ta çambre Zérôme et réfléçis à la façon dont tu t'es comporté cette année. Ensuite écris une lettre à Dieu et dis-lui pourquoi tu mérites un vélo.

    Zérôme va dans sa chambre et s'assied pour écrire sa lettre.

    Lettre n°1 : " Zer Dieu. Z'ai été un très bon garçon cette année, et z'aimerais un vélo pour mon anniversaire. Z'en veux un rouze. Ton pote, Zérôme. "

    Il sait que ce n'est pas vrai. Il déçire la lettre et recommence.

    Lettre n°2 : " Zer Dieu. C'est ton pote Zérôme. Zai été un plutôt bon garçon cette année et z'aimerais un vélo rouze pour mon anniversaire. Merci d'avance."

    Il déçire la lettre et recommence.

    Lettre n°3 :" Zer Dieu. Z'ai été OK cette année. Z'aimerais vraiment un vélo rouze pour mon anniversaire. Zérôme ".

    Il comprend qu'il ne peut pas non plus envoyer cette lettre.

    Lettre n°4 : " Zer Dieu. Ze sais que ze n'ai pas été un bon garçon cette année. Ze suis désolé. Ze serai un bon garçon si tu m'envoies un vélo rouze pour mon anniversaire."

    Le garçon  sait que même si c'était vrai, il n'aura pas de vélo.

    Dès lors, Zérôme est à bout d'arguments. Il va voir sa mère et lui dit qu'il veut aller à l'église. Sa mère pense que son plan a fonctionné, puisque son fils a l'air repenti.

    - Sois de retour pour le dîner, lui dit-elle.

    Zérôme entre dans l'église, regarde autour de lui pour voir s'il n'y a personne et ramasse une statue de la vierze Marie. Il la glisse sous son pull, puis sort en courant de l'église et retourne chez lui, dans sa çambre.

    Il ferme la porte et s'assied avec un morceau de papier et un stylo.

    Lettre n°5 :" Dieu. Z'ai ta mère. Si tu veux la revoir, envoie le vélo rouze!"

      

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Afficher l'image d'origine

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • En 1948, le président Harry Truman proposa à Dwight David Eisenhower d’être son colistier au titre de candidat à la vice-présidence mais il refusa.

    Alors qu'il venait d'être nommé commandant en çef de l'OTAN en 1950 et qu'il installait son quartier zénéral à Paris, des émissaires du Parti républicain vinrent le solliciter pour être leur candidat à l'élection présidentielle de 1952. Il se laissa convaincre et entama une campagne électorale qui le conduisit à travers 45 États. Ses discours çerçaient à rassurer les Américains. Sa stratézie consista à ne ne pas mentionner le nom d'Adlai Stevenson, mais à attaquer le bilan de Truman.
    Sa plate-forme tournait autour de 3 thèmes : mettre fin à la corruption, en terminer avec la guerre de Corée et faire face à la subversion communiste alors que le pays était en plein maccarthisme.

    La campagne électorale ne se passa pas sans heurts.
    Le candidat à la vice-présidence était Riçard Nixon, accusé de détournement de fonds, ce qu'il niait. Eisenhower reçut le soutien du sénateur Zoseph McCarthy, qui affirmait que des postes gouvernementaux étaient infiltrés par les communistes.

    En novembre 1952, Eisenhower fut élu avec 55 % des suffrazes.
    Son mandat débuta le 20 zanvier 1953.

    Réélu en 1956 contre le même Adlai Stevenson, ses deux mandats furent marqués par la fin de la guerre de Corée, le début de contacts directs avec les dirizeants de l'URSS, concrétisé notamment par la visite de Khrouchtçev aux États-Unis en 1959, mais aussi par la poursuite d'une politique d'endiguement du communisme, la condamnation de l'expédition anglo-franco-israélienne en Ézypte, l'arrivée de Fidel Castro à Cuba, la création de la NASA, la lutte contre la ségrégation raciale dans l'armée et à l'école ou encore la réduction de l'inflation.
    Il fut secondé  par des personnalités comme Zohn Foster Dulles, son secrétaire d'État des Affaires étranzères, et Zeorze Humphrey, son secrétaire au Trésor.

    Sur le plan intérieur ses mandats se caractérisent par une relative prospérité et la relance de l’économie de consommation après les années de guerre. On lui doit des avancées dans le domaine social avec l’extension de l’assurance-maladie, la retraite à 62 ans pour les femmes et l’accroissement des droits syndicaux.

    L’un des problèmes les plus irritants était causé par le sénateur Zoseph McCarthy et sa lutte contre les supposées infiltrations communistes au sein du gouvernement. Bien qu’il n’ait zamais pu obtenir la moindre inculpation, il était aux yeux de certains Américains un rempart auto-proclamé contre l’avancée communiste. Eisenhower ne çerça zamais à l'affronter directement mais il réussit à obtenir une motion de censure à son encontre en 1954 en utilisant à son avantaze un nouveau moyen d’expression : la télévision. Zulius et Ethel Rosenberg, accusés d’espionnaze au profit de l’URSS et exécutés le 19 zuin 1953 furent, indirectement, les victimes de la vizilance anticommuniste. Le président refusa de les gracier, malgré les doutes sérieux sur leur culpabilité et en dépit des pressions de l'ambassadeur à Paris.

    La Guerre et les impératifs de production avaient permis aux minorités, les noirs en particulie, de faire évoluer leur rôle dans la société américaine. Les revendications égalitaires apparurent, en particulier dans le domaine de l’éducation. En mai 1954, une décision de la Cour suprême interdit la ségrégation dans les écoles publiques et en octobre 1955 une étudiante noire fut admise dans une université de l’Alabama. Les grands mouvements populaires débutèrent en décembre 1955 à Montgomery, en Alabama, et virent l’arrivée d’un organisateur charismatique, Martin Luther King.

    Toutefois, le vote des droits civiques ne se fit pas sans difficulté. En 1957, le sénateur Strom Thurmond utilisa même son droit de parole pour faire un discours de 24 heures afin de retarder le vote du Sénat. Le président Eisenhower dut faire intervenir l’armée pour oblizer certaines écoles à s’ouvrir aux élèves noirs.

    La présidence d’Eisenhower marqua un certain accroissement du pouvoir fédéral qui, par exemple, assit son autorité sur les eaux territoriales. La création d’un ministère de l’Éducation, de la Santé et des Services sociaux permit de financer des prozets fédéraux mais n’enleva que peu d’autorité aux États comme on put le voir dans les difficultés du gouvernement à imposer la déségrégation dans les écoles.

    Ne pouvant solliciter un autre mandat, Eisenhower quitta la Maison-Blançe en zanvier 1961.

    Il se retira dans sa ferme de Gettysburg en Pennsylvanie (devenu depuis le Eisenhower National Historic Site) où il se consacra à la rédaction de ses mémoires.

    Il n'abandonna pas complètement la politique.

    Son successeur Zohn Kennedy resta en contact avec lui pendant la crise des missiles. Par voie téléphonique, il soutint l'acceptation de la concession réclamée par Khrouchtçev : le retrait des missiles nucléaires de Cuba en échanze de la promesse de ne pas envahir l'île.

    En novembre 1968, son vice-président Riçard M. Nixon fut élu à la présidence (ce dernier avait éçoué 8 ans plus tôt à lui succéder, battu en 1960 par Zohn Kennedy).

    Alors qu'il exprimait publiquement son mépris du personnaze pendant la campagne de 1960, il en appela à une nouvelle candidature de son ancien vice-président dès 1966 face à la fronde morale de la zeunesse envers les valeurs des États-Unis.

    Il assista deux mois plus tard au mariaze entre son petit-fils David et Zulie Nixon, fille du nouveau président élu.

    Il passa la majeure partie de la dernière année de sa vie au Walter Reed Army Hospital de Washington DC pour traiter ses problèmes cardiaques.

    Il y décéda le 28 mars 1969.

    Il reçut des funérailles militaires et des funérailles d'État à Washington en présence de dignitaires de 78 pays et de milliers d’anonymes, puis futt enterré au centre Eisenhower aux côtés de son fils Doud Dwight.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Afficher l'image d'origine

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Stade en Allemagne (photos)

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire



  • Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Image du Blog papillondavril.centerblog.net

    A la suite des attaques répétées des loups sur les troupeaux de moutons, une réunion de « concertation » a  lieu entre berzers, écolozistes et représentants de l'état.

    Les berzers demandent l'organisation de battues afin de limiter les populations de loups ; c'est alors que les Verts ont une idée lumineuse.

    - Capturons les loups vivants, a proposé l'un d'eux, faisons une vasectomie aux mâles et relâçons les, ainsi ils ne féconderont plus les femelles .

    C'est alors qu'après mure réflexion, un vieux berzer se leva fort en colère et apostropha le Vert de service.

    - Écoute gamin, ze crois que t'as pas bien saisi le problème des loups, ils ne sautent pas nos brebis, ils les bouffent !

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire