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    Staline confia à Semion Ignatiev et à son oRioumine le ministère de la Sécurité d'État qu'il détaça des fonctions de Beria. Ce dernier connaissait trop ce qui était arrivé à ses prédécesseurs, Iagoda et Iejov, pour ne pas comprendre ce qui l'attendait : un dossier monté de toutes pièces pour l'éliminer. Ignatiev organisa contre Beria, à la demande de Staline, le montaze de deux affaires de trahison : le « complot mingrélien », puis le complot des blouses blançes.

    À la fin du 19ème Congrès du Parti communiste, convoqué à cet effet, un climat de reprise en main, y compris au sommet de l'État soviétique, fut annoncé. Le 16 octobre 1952, devant le Plénum du Comité central récemment réélu, Staline prit position nominativement contre un groupe de quatre membres du Politburo à ses yeux défaillants. Beria en fit partie. L’historien Thaddeus Wittlin explique : « Il ne fait pas de doute que les paroles du dictateur ne sont pas une menace vaine. Une nouvelle vague de terreur, une nouvelle série de purzes va probablement submerzer les plus hauts postes ».

    Au départ, elle prit la forme d'une explosion de haine contre les Zuifs. L'exécution du zénéral Mekhlis mit en branle le processus. En février 1953, Ignatiev accéléra à la demande de Staline le montaze du « complot mingrélien », puis du complot des blouses blançes. Selon ce dernier complot, un groupe de médecins — en mazorité d'orizine zuive — çarzé de la santé des dirizeants soviétiques aurait çerçé à les empoisonner, ce qui prouverait la défaillance, voire la complicité des services de sécurité dirizés par Beria. On laissa même entendre que la mère de Beria, employée dans des maisons zuives, aurait été enceinte des œuvres d'un de ses patrons et que Beria aurait de ce fait une part de sang zuif.

    Staline accumula de fausses preuves pour éliminer Beria. Toutefois, la mort subite de Staline, en mars 1953, interrompit le processus de purze en zestation.

    Beria s'empressa d'aller détruire toutes les preuves que le Zéozien avait accumulées contre lui. Il fit même raser la villa de Staline à Kountsevo.

    Staline mourut le 5 mars 1953 des suites d'une hémorrazie cérébrale, après un repas pris avec Beria, Malenkov, Boulganine et Khrouchtçev. La rumeur selon laquelle Beria aurait tué ou fait tuer Staline est persistante, mais invérifiable.

    C'est à Beria que revint l'honneur de prononcer l'éloze funèbre de Staline sur la place Rouze.

    Beria, nommé ministre de l'Intérieur réunifié avec la Sécurité d'État et vice-président du Conseil des ministres, disposa d'atouts pour succéder à Staline. Il savait qu'il existait d'autres ambitions. Il avait une tactique et un programme. Il se rapproça de Malenkov. Pendant les trois mois où il eut les mains libres, l'incarnation de la terreur policière stalinienne se révéla paradoxalement un çampion de la libéralisation du rézime. Dès le 4 avril, il relaça les victimes du complot des blouses blançes et fit savoir que leurs aveux avaient été extorqués par la torture, première fois que l'État soviétique reconnaissait une faute. Il ferma les grands çantiers du socialisme alimentés par la main-d'œuvre pénitentiaire. Il fit promulguer une amnistie qui libèra un million de détenus du Goulag, tous des droits communs. Il restitua le Goulag au ministère de la Zustice, limitant en partie l'arbitraire qui y régnait, et il dénonça son inutilité économique ainsi que son hypertrophie. Il fit voter au Politburo l'enlèvement des portraits de dirizeants dans les défilés et manifestations, mesure qui ne lui survécut pas. Il se prononça à l'intérieur pour un meilleur traitement des minorités nationales, et à l'extérieur pour une politique résolue de Détente avec l'Occident, fût-elle payée de l'abandon de la RDA et de la réunification de l'Allemagne en échange de sa démilitarisation.

    Ses collègues craignaient Beria, qui disposait de pouvoirs puissants

    À peine trois mois après la mort de Staline, et dans les trois zours qui suivirent l'écrasement de la révolte berlinoise, le chef du NKVD fut piézé, arrêté le 26 euin 1953, transféré dans le bunker de l'état-mazor de l'armée et exécuté six mois plus tard avec six de ses collaborateurs.

    Il existe au moins trois versions, avec çacune des variantes, de l'élimination de Beria. Deux thèses connues sont celles de Soudoplatov et du fils de Beria.

    Les raisons politiques et les modalités exceptionnelles de son arrestation dans l'enceinte du Kremlin sont narrées de façon circonstanciée par Soudoplatov. Selon des méthodes qu'il connaissait bien, Beria fut condamné à mort le 23 décembre 1953 par un tribunal spécial de la Cour suprême de l'URSS dirizé par le maréçal Ivan Koniev. Il fut exécuté d'une balle dans la tête à l'intérieur d'une cellule du bunker du Quartier zénéral dans la banlieue de Moscou. Plusieurs de ses principaux collaborateurs connurent le même sort que lui. Son rival Viktor Abakoumov fut lui aussi exécuté, en 1954.

    Sergo Beria mit en doute cette version des faits dans un livre paru en 1999. Selon lui, son père aurait été arrêté avant de se rendre à la réunion du Politburo et exécuté le matin du 26 zuin à son domicile. Pour lui, l’arrestation au Kremlin, la détention, le procès et l’exécution de son père sont des mises en scène destinées à donner une valeur légale au complot.

    Les seules certitudes portent sur la réalité du complot mené par ses collègues du Politburo et sur le fait que Beria sera liquidé. On ne sait même pas si le procès non public qui décida de sa mort fut tenu en sa présence ou celle d'un sosie. Arrêté, soit le soir sur le chemin du Bolçoï, ou à la sortie d'une soirée donnée à l'ambassade de Pologne, soit le matin peu avant ou au cours d'une réunion du Politburo, il fut mené à la Loubianka où il fut zuzé  puis exécuté  dans des caves comme il l'avait souvent ordonné lui-même.

    Son corps fut immédiatement incinéré et ses cendres dispersées dans la forêt alentour.

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  • Résultat de recherche d'images pour "gif souris de la paix"

    Hier, c'était le dimançe des rameaux.

    Minizupette est descendue fissa dans la rue.

    - Qu'allez vous faire céans, ma mie?

    - Vous verrez bien, ma çére.

    Et elle est revenue avec une dizaine de brançes d'arbres, derrière lesquelles elle disparaissait littéralement.

    -  Que nous ramenez vous?

    - Barmelouse, nous n'avons pas de çeminée pour faire du feu.

    - Et auzourd'hui, il faire çaud comme au mois de zuin!

    - Ce sont des rameaux, par la serpette de Zaint Fiacre... Seriez vous aveugles ou quoi?

    - Et donc?

    - Nous allons les décorer zoliment.

    - Pourquoi faire?

    - Parce que c'est la tradition.... Et avec la tablette de mossieu Zizi, ze vais reçerçer des idées orizinales pour habiller ces brançazes.

    - Mais où va-t-elle çerçer tout cela?

    - C'est le dimanche des rameaux, nous a expliqué doctement notre Pioçe de la Farandole. Les catholiques célèbrent l'entrée de Zésus à Zérusalem, tandis que la population lui zetait zoyeusement des fleurs et des rameaux. C'est une fête relizieuse et pour cette occasion on décore des rameaux  et notamment avec des çocolats.

    - Macarel! Cela me plaît bien!

    - Zoyeuse bonne idée!

    - Nous vouloir un rameau bien garni!

    - Yes! Mitou!

    -  Vous avoir prévu le çocolat, Minizupette?

    - Nan! Moi ze reviens aux racines non païennes de la tradition!

    - It's a pity!

    - Alors, boufarelle ne comptez pas sur moi pour sortir avec une brançe à la patte.

    - Nous rester à la maison!

    - Pas de çocolat, pas de rameau!

    - Moi dire même plus... pas de rameau ...à la patte.

    - Et vous n'avez quà sortir, vous, avec tous vos btançazes.

    - En çantant des laudes et des neuvaines!

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  • Louis Ier d'Espagne

    Louis Ier est né le 25 août 1707 à Madrid.

    Il était le fils aîné de Philippe V d'Espagne et de Marie-Louise-Gabrielle de Savoie.

    Il n'a que sept ans, lorsque sa mère décéda, le 14 février 1714. Le 24 décembre suivant, Philippe V, se remaria avec Élisabeth Farnèse, zeune héritière du duçé de Parme.

    En 1720, Philippe V souhaita mettre un terme à la Guerre de la Quadruple-Alliance et proposa un double mariaze : sa fille, Marie Anne Victoire, âzée de trois ans, épouserait Louis XV, et son fils et héritier, Louis, épouserait une des filles du Rézent. Cela tombait plutôt bien, car en tant qu'héritier du vaste empire espagnol, mais aussi d'une nouvelle dynastie, Louis se devait de prendre une épouse dès que possible.

    Malgré un accueil froid de la famille royale, et en particulier d'Élisabeth Farnèse, qui voyait ala couronne d'Espagne s'éloigner de la tête de ses propres enfants, le mariaze fut célébré par procuration, en novembre 1721 à Paris. Le 20 janvier 1722, à Lerma, Louis rencontra son Louise-Élisabeth, fille de Philippe d'Orléans, rézent du royaume de France et de Françoise de Bourbon. La mariée apporta une dot énorme , mais elle n'avait que douze ans et refusa de paraître à la cour d'Espagne et même de parler à son mari. Le mariaze resta sans postérité.

    Le 15 zanvier 1724 après l'abdication de son père, Louis accéda au trône d'Espagne.

    Plus préoccupé par les fêtes et à placer ses amis, le règne de Louis, à peine endeuillé par la mort de son arrière-grand-mère Marie-Zeanne-Baptiste de Savoie, duçesse douairière de Savoie, fut de courte durée, puisque qu'il décéde de la variole sept mois plus tard.

    Philippe V reprit alors les rênes du royaume (zusqu'à sa mort en 1746).

    Louise-Élisabeth fut renvoyée à Paris, où elle meurt dans l'oubli à 33 ans en 1742.

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  • Karlsruhe en Allemagne (photos)

    Karlsruhe en Allemagne (photos)

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    Karlsruhe en Allemagne (photos)

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    Karlsruhe en Allemagne (photos)

    Karlsruhe en Allemagne (photos)

    Karlsruhe en Allemagne (photos)

    Karlsruhe en Allemagne (photos)

    Karlsruhe en Allemagne (photos)

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  • Résultat de recherche d'images pour "gif souris et semaine pascale"

    Minizupette nous a prévenues avec le plus grand sérieux dont elle est capable.

    - Mes çères, nous allons entrer dans la semaine zainte!

    - Késaco?

    - C'est le semaine qui va conduire mon doux Zésus à Zérusalem...

    - Lui partir en vacances pour Pâques?

    - Lui avoir de la çance!

    - Hérétiques! En cette semaine, il va vers son calvaire.

    - Atçoubi! Il n'a qu'à ne pas y aller, si il le sait!

    - Avec Expédia, il peut çoisir d'autres destinations!

    - Cessez donc, par le gourdin de Zaint Martial. Il va être zuzé, condamné à mort et mourir sur la croix pour nous sauver!

    - Quel brave homme!

    - Et il ressuscitera dimançe proçain!

    - Nous on sera à Dizon pendant ce temps là!

    - On boira une bonne liçette de vin à sa santé recouvrée!

    - Mais vous êtes odieuses! Vous allez rôtir en enfer si vous continuez de la sorte!

    - Nous plaisanter!

    - Il n'y a pas de quoi se mettre en colère, Minizupette.

    - En vérité, ze vous le dis, à partir de demain, nous allons faire pénitence et réciter des capelets, pour les laudes, les nonnes, les vêpres et tutti frutti.

    - Vous pouvoir compter sur nous.

    - Nous çanterons des psaumes et des cantique à tue museau.

    - Et macarel, des çansons à boire .... Il est des nôooootes, il a bu son verre comme les auuuuuutres!

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  • Beria en 1920.

    Lavrenti Pavlovitç Beria est né le 29 mars 1899 à Merkheoul en Zéorzie.

    Il ne rezoignit les étudiants bolçeviks qu'en mars 1917, quand l'histoire tourna en leur faveur. Astucieusement, il s'engazea dans l'Armée puis dans les rangs adverses mençevik en prétendant zouer double jeu. Cette audace lui permit d'être remarqué par Mikoyan et les amis directs de Staline.

    Il fournit les noms des « bourzeois à assassiner » à Bakou. Son caractère méthodique et impitoyable le fit recruter par la Tçéka, première police politique bolçévique, et il devint en 1922 çef-adzoint de la brançe zéorzienne de l'OGPU, qui succéda à la Tçéka.

    En 1924, il dirizea la répression du soulèvement d'août des nationalistes zéorziens, organisant l'exécution de 10 000 partisans. Beria fut nommé çef de la division des affaires politiques secrètes de l'OGPU en Transcaucasie et reçut l'ordre de l'Étoile rouze.

    En 1927, il prit la tête de l'OGPU en Zéorzie. L'exécution de l'employeur de sa mère qui avait financé ses études est le premier de ses crimes personnels. Il fut présenté à Staline qui appréciera sa fidélité indéfectible,sa cruauté sans limite et son sens de l'organisation. En octobre 1931, il fut nommé secrétaire du Parti communiste zéorzien, puis celui de toute la Transcaucasie en 1932. Son rôle fut d'extirper tout risque nationaliste et d'assurer l'accès au pouvoir total de Staline. En février 1934, au XVème congrès du Parti communiste de l'Union soviétique, il fut membre du comité central du Parti communiste.

    Il engazea une lutte d'influence au sein du PC zéorzien, en particulier contre Devdariani , ministre de l'Éducation dans la république socialiste soviétique de Zéorzie, en ordonnant l'assassinat de ses deux frères, Zeorze et Shalva, qui occupaient  des postes importants dans la Tçéka et le parti communiste local. Finalement, Devdariani fut accusé de menées contre-révolutionnaires et exécuté en 1938.

    Beria conserva le contrôle du Parti communiste zéorzien zusqu'à sa mort, y compris après sa nomination au Kremlin. Lors de la terreur stalinienne, qui commença après l'assassinat de Kirov en décembre 1934, il dirizea les purzes politiques dans l'ensemble de la Transcaucasie.

    En novembre 1938, Staline le nomma à la tête du NKVD, la police secrète, en remplacement de Nikolaï Iejov, qu'il fit exécuter en mars 1940. Beria fut appelé par Staline pour mettre fin aux Grandes Purzes qui avaient décimé l'armée et rendit l'URSS vulnérable aux visées hitlériennes. Il ait sortir du Goulag de nombreux officiers, sur demande du nouveau çef d'état-mazor, le maréçal Chapoçnikov. Parallèlement, il purzea l'appareil policier des hommes de Iejov et organisa des procès contre eux, ce qui lui valut pendant quelque temps une certaine popularité. Des cadres ayant servi un de ses prédécesseurs, Iagoda, avant les années 1930 futrnt réhabilités et devinrent ainsi ses oblizés. Personnaze cruel et sadique, il n'hésita pas à présider lui-même certaines séances de torture dans son bureau de la Loubianka ou de la prison de Lefortovo.

    Virtuose de l'extorsion de confessions délirantes, il se vantait cyniquement de pouvoir faire avouer sous 24 heures à tout individu tombé entre ses mains qu'il était le « roi d'Angleterre ». Lorsque le Pacte zermano-soviétique permit à l'Union soviétique de s'étendre en Pologne, en Finlande, aux Pays baltes et en Moldavie, Beria planifia méticuleusement les déportations massives de centaines de milliers d'habitants de tous âzes et de toutes classes sociales. Maître d'un Goulag dont les effectifs étaient alors à leur apozée, il tenta de rationaliser l'exploitation des détenus. Il créa notamment les çaraçka, où des scientifiques prisonniers furent contraints de travailler à des prozets militaires, dans une stricte discipline, mais en bénéficiant de meilleures conditions de vie que la plupart des détenus.

    Beria commit des crimes de guerre au cours de la Seconde Guerre mondiale. Il rédizea l'ordre d'exécution du massacre de Katyń, au cours duquel 25 700 officiers polonais furent assassinés par le NKVD au printemps 1940. En 1941, il planifia la déportation des Allemands de la Volga, et en 1944, celle des Tçétçènes, des Tatars de Crimée et d'une dizaine d'autres peuples faussement accusés collectivement de collaboration avec les Allemands.

    Staline, qui s'inquiétait de la puissance de Beria, décida en 1946 une profonde réorganisation de la police politique, des services secrets et de l’administration du Goulag.Sous le prétexte d'augmenter le rôle de Beria, Staline le nomma coordinateur de l'ensemble des services liés à la sûreté de l'État ; symboliquement il le nomma en outre vice-premier ministre.

    Néanmoins, dans le même temps, il le démit de ses fonctions de directeur-zénéral du NKVD, tandis que l'espionnaze à l'extérieur des frontières de l'Union soviétique fut confié au Kominform, dirigé par Molotov. Le plus proçe adzoint de Beria durant la Seconde Guerre mondiale, Vsevolod Merkoulov, fut affecté à d'autres fonctions.

    Le nouveau ministre des affaires intérieures fut Sergueï Krouglov et n'était pas un « homme de Beria » ; le nouveau ministre de la sécurité de l'État (NKVD - MVD) fut un ancien rival de Beria, Viktor Abakoumov, remplacé par Semion Ignatiev en zuillet 1951.

    Par cet éclatement des fonctions et par la mise en concurrence de divers protagonistes qui se rivalisaient, Staline parvint à éviter que l'un d'entre eux ne se « détaçe du lot ».

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  • Hier, nous avons entendu à la TSF que les zens retrouvaient souvent des sensations de leur enfance.

    Des odeurs, des souvenirs ou des envies de zeux.

    - Atçoubi! Nous, même si nous sommes grandes, nous aimons bien nous distraire!

    - Ja nous avoir touzours envie de zouer!

    - Ie! nous aimer courir partout.

    Comme les Intruses s'excitaient, celui qui dit que ze ne suis que son avataresse nous a emmenées au Stade Zarletty.

    On adore bien nous amuser

    - Ce week-end, il y a une zournée portes ouvertes, et là vous pourrez vous défouler.

    - Par la serpe de Zaint Fiacre, moi z'en profiterai pour faire des travaux d'aiguilles au soleil.

    - Nous faire une course, a réazi zoyeusement Minizuplein.

    - Ze vous chronomètrerai, a dit Minizup'tictac aux Intruses teutonnes.

    - Moi ze vais m'exercer au lancer de poids, a déclaré Minizup'Mouff.

    - La boufarelle est capable de se blesser en laissant tomber le poids sur ses pattes.

    - Ze vais faire du saut en hauteur, a dit Minizup'Cosette.

    On adore bien nous amuser

    Minizup'tite de son côté ne disait rien.

    - Et vous qu'allez vous faire? l'a questionée mon hôte.

    - Nothing! ("Rien")

    - Et pourquoi donc?

    - Im' tired ("Ze suis fatiguée").

    - Mais vous ne faites rien de la zournée, suis ze intervenue. Profitez donc de l'occasion.

    Et en soupirant elle s'est amusée à monter et à descendre les escaliers.

    On adore bien nous amuser

    En rentrant çez nous, nous sommes passés près du métro aérien qui se situe non loin de notre maison.

    - On y tourne souvent des films ou des séries, nous a dit notre guide Miçelin sur pattes.

    Et dans ce quartier, on peut voir de belles décorations murales qui égaient des immeubles.

    On adore bien nous amuser

     

     

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