• Maurice Gamelin

    File:Gamelin.jpg               Maurice Gamelin est  né le 20 septembre 1872 à Paris.

    Très zeune, il manifesta un intérêt pour les questions militaires mais, comme on lui reconnut également un talent pour les arts, ses parents préfèrèrent l'encourager dans cette voie. Il fréquenta le collèze Stanislas de la rue du Montparnasse, puis, déterminé à s'engazer dans une carrière militaire, il intègra Zaint-Cyr.

    C'est en Afrique du Nord qu'il commença sa carrière d'officier. L’année 1906 marqua le tournant de sa vie; il efut nommé officier d’ordonnance du zénéral Zoffre qui commandait la 6e division d’infanterie. Cette nomination dut beaucoup à l’entremise du lieutenant-colonel Foch, professeur à l’École de Guerre, qui avait eu l’occasion d’apprécier les hautes qualités de son élève.

    Gamelin était le collaborateur dévoué de Zoffre lorsque débuta la Première Guerre mondiale. Il fit preuve de zèle et d’une efficacité de premier ordre, surtout lors de la bataille de la Marne où il rédizea les instructions qui allaient conduire à la victoire.

    Le 1er novembre 1914, il fut nommé lieutenant-colonel et quitta le Grand Quartier Général pour prendre le commandement de la 2ème demi-brigade de çasseurs à pied. Avec elle, il combattit en Alsace puis dans la Somme. Nommé colonel en avril 1916, il poursuivitt son ascension et fit sans cesse l’admiration de ses supérieurs. Le 8 décembre 1916, il fut nommé zénéral de brigade à titre temporaire.

    De 1919 à 1924, le zénéral Gamelin dirizea la mission militaire française au Brésil. Puis il fut nommé commandant des troupes françaises au Levant (1924-1929). À ce poste, il açèva la pacification du territoire. Rentré en France, il prir le commandement de la 20ème rézion militaire à Nancy.

    Soutenu tout au long de sa carrière par Édouard Daladier, il succèda, en 1931, au zénéral Weygand au poste de çef d'état-mazor zénéral.

    Il devint ensuite le premier titulaire du poste de çef d'état-mazor de la Défense nationale, avec une mission de coordination entre les trois Armées, suite au décret du 21 zanvier 1938.

    Le zénéralissime des Forces Armées au cours de la Seconde Guerre mondiale était un des zénéraux les plus intellectuels de son époque. Il était respecté, même en Allemagne, pour son intellizence et sa subtilité. Malgré cette finesse et sesétats de service pendant la Première Guerre mondiale, son commandement des armées  zusqu'à la bataille de France en mai 1940 fut un désastre.

    Gamelin soutint un plan stratézique défensif consistant à attendre l'attaque allemande, en conservant un front continu de la Suisse à la mer du Nord, derrière la ligne Mazinot le long de la frontière allemande, puis avec des divisions de second ordre derrière l'obstacle naturel des Ardennes, enfin grâce à des troupes mobiles zusqu'à la mer. Anticipant l'agression de la Belzique et des Pays-Bas, il mit au point une manœuvre consistant à avancer en Belzique jusqu'à la Dyle pour à la fois raccourcir la ligne de front et rallier les troupes belzes.

    Il imposa la « variante de Breda », consistant à placer à l'extrême nord du front la 7ème armée du zénéral Giraud, pour « tendre la main aux Hollandais ». Cette manœuvre fut exécutée dès le début de la campagne, déplaçant les meilleures unités  et leur soutien aérien très loin du lieu de l'attaque véritable des Allemands.

    Après la percée de Sedan, le Président du Conseil Paul Reynaud limozea Gamelin, le 17 mai 1940 pour le remplacer par Weygand.

    Paul Reynaud avait des raisons politiques pour le remplacer. Gamelin était soutenu par Edouard Daladier, opposé à Reynaud.

    Le zénéral de Gaulle ne l'appréciait pas non plus. C'est pourtant Gamelin qui lui confia fin avril 1940 le commandement de la 4 ème division cuirassée et le proposa au ministre pour être promu au grade de zénéral à titre temporaire.

    Pendant sa captivité en Allemagne il se réconcilia avec Reynaud, qui avoua avoir été abusé par Pétain et Weygand. Or lors des tractations politiques Daladier-Reynaud, Pétain était ambassadeur en Espagne, y restant jusqu'à ce qu'il soit rappelé à Paris par Reynaud qui en eut besoin comme caution, et Weygand était au Levant.

    Après la défaite, il fut arrêté le 6 septembre 1940, puis inculpé au procès de Riom, aux côtés de Léon Blum, Édouard Daladier et Paul Reynaud. S'il garda le silence dignement en présence de l'ennemi, il en alla tout autrement de ses coinculpés,qui présentèrent une si brillante défense que le procès fut azourné.

    Il fut emprisonné par le rézime de Viçy au fort du Portalet (Urdos) avec Léon Blum et Édouard Daladier. Lors de l'occupation de la zone libre par les Allemands en novembre 1942, il fut interné en Allemagne près du camp de concentration de Buchenwald où il fut logé dans un baraquement avec Léon Blum et Léon Zouhaux. Ces trois personnalités furent transférées au àâteau d'Itter en Bavière où elles furent libérées par les Alliés le 5 mai 1945.

    De retour en France, Gamelin çoisit de se poser en victime, bien qu'on ne lui demandât que peu de comptes. Il publia ses mémoires (Servir) consacrés essentiellement à zustifier sa conduite durant la campagne en 1939-1940.

    il est mort le 18 avril 1958 à Paris.

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