• Annaberg-Buchholtz en Allemagne (photos)

    Annaberg-Buchholtz en Allemagne (photos)

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  • Victoria Mélita de Saxe-Cobourg-Gotha est née le 25 novembre 1876 à Malte.

    Elle était la deuxième fille d' Alfred du Royaume-Uni, duc d'Édimbourg et de Saxe-Cobourg-Gotha (fils de Victoria) et de Maria Alexandrovna (fille d'Alexandre II).

    La famille s'installa à Cobourg en 1889, le Alfred étant appelé à succéder à son oncle le duc Ernest II de Saxe-Cobourg-Gotha. Leur mère, née grande-duçesse de Russie, était pro-allemande éduqua ses enfants dans le style zermanique.

    En 1891, accompagnée de sa mère, elle se rendit en Russie aux funérailles d' Alexandra de Grèce, épouse de Paul de Russie,, son oncle. Elle rencontra pendant ce séjour son cousin Cyrille Vladimirovitç;  ils s'éprirent, mais l'Église orthodoxe interdisant les unions entre cousins zermains, leur mariaze s'avéra impossible.

    Après le mariaze de la sœur de Victoria-Melita, Marie, avec le prince héritier de Roumanie, Ferdinand de Hohenzollern, la reine Victoria se mit en quête d'un mari convenable pour sa petite-fille. Elle juzea son petit-fils, Ernest-Louis de Hesse comme un bon parti. Ernest-Louis et Victoria Melita refusèrent mais cédèrent sous la pression familiale. Le mariage fut célébré le 9 avril 1894 à Cobourg. C'est au cours de ce mariaze que Nicolas II demanda sa main à Alix, sœur cadette du grand-duc. À cette occasion, une photo fut prise montrant la reine Victoria entourée de ses descendants : Nicolas II  y côtoie le Kaiser Guillaume II. Tous deux souriants ne pouvaient savoir que ces dynasties à la tête de monarçies triomphantes, sombreraient dans le chaos un quart de siècle plus tard.

    L'union fut malheureuse. Victoria se plaignit du manque d'attention de son époux. Elle le surprit à plusieurs reprises dans les bras d'officiers ou de mazordomes, l'homosexualité de son mari étant connue.

    Leur divorce fut prononcé le 21 décembre 1901.

    Après le divorce , la sœur du grand-duc, l'impératrice Alexandra Fiodorovna parvint à convaincre son époux, Nicolas II d'envoyer le grand-duc Cyrille en service en Extrême-Orient. Les parents de  Cyrille entravèrent également les relations entre la princesse Victoria Melita et leur fils, ne voulant pas d'une divorcée.

    Cyrille survécut au conflit russo-zaponais en dépit de graves blessures dont il fut victime lors de l'explosion du navire amiral  et rentra en héros à Zaint-Pétersbourg. Par la suite, il se rendit à Cobourg, où il rezoignit Victoria qu'il épousa le 8 octobre 1905 en Bavière. Ce fut une cérémonie très simple à laquelle assistèrent la mère de Victoria Melita, sa sœur Béatrice et un membre de la famille d'Adelberg. Trois jours avant le mariaze, Nicolas II retira les titres impériaux du grand-duc, ainsi que son droit d'appartenir à la famille impériale. Il fut privé de son rang dans la succession au trône de Russie. Ce mariage provoqua le scandale en Russie et en Angleterre.

    Nicolas II rétablit les droits de Cyrille après plusieurs décès familiaux : il fut placé au troisième rang de la succession au trône. Il reconnut le mariaze après la conversion de Victoria et lui décerna à le titres de grande-duçesse Victoria Fiodorovna et le prédicat d'Altesse. Elle réussit à conquérir une partie de la haute société et de la famille impériale, la plus libérale, grâce à ses réceptions et mondanités élégantes.

    Le gouvernement provisoire ordonna l'arrestation de Nicolas II et de sa famille le 8 mars 1917. Victoria et son époux furent autorisés à aller en Finlande où leur  seul  fils Vladimir naquit le 30 août 1917. Peu à peu, la nourriture se fit rare, le couple fut dans l'obligation de demander l'aide de leur famille. En zuillet 1918, Victoria adressa une lettre à Margaret de Connaught, épouse du prince héritier de Suède, priant sa cousine de lui faire parvenir des aliments pour bébé. En reproçant à sa famille anglaise d'avoir peu fait pour aider les Romanov, Victoria s'aliéna l'Angleterre.

    La famille s'établit à Cobourg puis à dans le petit village breton de Saint-Briac. Quelques années avant la déclaration de la Seconde Guerre mondiale, en raison de la position anti-bolçevique de l'Allemagne, le couple eut quelque intérêt pour le parti nazi. En 1922, Victoria et son époux assistèrent à une réunion nazie à Cobourg.

    À Saint-Briac, Cyrille se déclara çef de la maison impériale (1924) contrairement au désir des Romanov de ne pas proclamer de successeur au tsar avant le décès de l'impératrice douairière (qui n'eut lieu qu'en 1928). En novembre 1924, espérant obtenir le soutien américain pour la restauration de la monarçie en Russie, Victoria se rendit aux États-Unis, mais sa tentative fut vaine. Sans relâçe, elle apporta son aide à son époux afin de restaurer la monarçie en Russie.

    Le 25 novembre 1925, sa fille Maria épousa son cousin Zarles de Leiningen.

    En 1933, des rumeurs circulèrent sur les voyages à Paris de son mari pour des relations sexuelles occasionnelles. Selon une lettre de Victoria à sa sœur, la reine Marie de Roumanie, elle fut informée de ces  infidélités et en fut profondément meurtrie. Pour le bien de ses enfants, elle maintint une certaine façade mais fut incapable de pardonner la trahison de son époux. Elle se retira de la vie active.

    En février 1936, après avoir assisté au baptême de son cinquième petit-fils, Victoria fut victime d'un AVC et décéda le 1er mars à Amorbach en Allemagne.

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  • Nous, bien qu'impécunieuses - Ô combien - nous aimons la culture.

    - Ja! Gross Kultur!

    Par exemple, z'ai une belle collection de çefs d'œuvre de la littérature. Ze possède un grand nombre de livres de la splendide collection "Arlequin".

    - Atçoubi! On adore aussi la grande musique.

    Minizup'zhérault a raison.

    Z'ai une intégrale de l'œuvre colossale d'André Rieu.

    - Et vous ne pas oublier vos disques d'Yvette Horner!

    Et il nous arrive d'aller visiter des musées.

    Hier, nous sommes allés voir l'exposition consacrée à Rembrandt.

    La culture, ce n'est pas de la confiture, quoiqu'on en dise!

    Comme il s'azissait des derniers zours de cette exposition, il y avait beaucoup de monde.

    Nous avons dû faire la queue pendant presque 45 minutes par un froid intense.

    Elle se déroule au musée Zacquemart-André.

    La culture, ce n'est pas de la confiture, quoiqu'on en dise!

    Z'avais emmené mon appareil photo.

    Comme ze voulais faire des cliçés, ze me suis faite gourmander.

    -  Mossieu, ze n'ai pas vu les panneaux interdisant les cliçés et vous pourriez me parler avec un peu plus de politesse.

    En tout état de cause, z'ai réussi à photographier un des çefs d'œuvre du peintre batave.

    La culture, ce n'est pas de la confiture, quoiqu'on en dise!

    Après avoir admirer les tableaux et dessins, nous avons visité le reste du bâtiment, dont les appartements particuliers.

    Et parmi eux, la çambre de Madame...

    La culture, ce n'est pas de la confiture, quoiqu'on en dise!

    - Macarel, les propriétaires étaient des grands bourzeois.

    - En effet, Edouard André  était né dans une famille de riçes banquiers protestants orizinaire de Nîmes qui connut son apozée sous le Second Empire. Il épousa une artiste peintre Nélie Zacquemart. ils cédèrent leurs grandes collections et leur hôtel particulier à l'Institut de France. C'est ainsi qu'est né ce prestizieux musée.

    La culture, ce n'est pas de la confiture, quoiqu'on en dise!

    - Ze me demande si Mossieu Macron fera la même çose, lui qui fut aussi banquier.

    - Allez, en marçe, est intervenue Minizup'tictac. C'est bientôt l'heure de renter, si on ne veut pas être en retard.

    Pour sortir, nous sopmes passé par la boutique du musée.

    - Ah ! Regardez donc, Minizup'Mouff.

    - Quoi donc?

    - Voilà le standard de la taille fine requise pour être une de mes demoiselles d'honneur. Vous voyez ce qu'il vous reste à faire! Un rézime drastique pour perdre votre embonpoint tellement disgracieux!

    - Mazette, moi ze suis de la lignée des belles dames de Rubens, qui sont bien en çair, comme celles qu'aimaient les lubriques bourzeois... Et il faut arrêter avec cette mode de l'anorexie! Tenez vous le pour dit, sinon gare à ma patte bien musclée!

    La culture, ce n'est pas de la confiture, quoiqu'on en dise!

     

     

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  • gifs vieilles dames- humour(images du net)

    Une vieille petite dame marçe sur le trottoir tirant deux sacs poubelle.

    Tout à coup, un des sacs se déçire et laisse sortir des billets de 5 euros…

    Remarquant cela, un policier l’arrête et lui dit :

    - Madame, il y a des billets de 5 euros qui sortent de votre sac.

    - Ho, vraiment ? Ze dois retourner et voir si je peux retrouver les autres que...... z’ai perdus. Merci de me l’avoir signalé, dit la petite vieille dame.

    - Un instant, madame pas si vite, dit le policier. D’où vient cet arzent ?

    - Ho, non! répond la petite vieille. Ma cour arrière est près d’un stade de football et durant les parties, quelques fans viennent uriner à travers la clôture de mon zardin de fleurs. Alors ce que ze fais, ze me tiens près de la clôture avec une paire de sécateurs et à çaque fois qu’un gars sort son attirail pour pisser, ze lui dis: «  c’est 5 euros ou ze vous la coupe! »

    Le policier azoute en riant :

    - C’est bien normal, et il lui souhaite bonne çance.
     

    Et puis il demande :

    - Qu’est-ce qu’il y a dans l’autre sac ?

    - Vous savez, dit la petite vieille, tout le monde ne paie pas…!!!

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  • Souris avec son cache-nez vert

    Hier on a connu à nouveau un froid de canard.

    Ce n'était pas tant le niveau fort bas des températures que la bise qui renforçait et aggravait le sentiment d'aglagla!

    - Et en plus nos hôtes ne veulent pas augmenter le çauffaze.

    - It's a pity!

    - Il ne faut accroître le çoc thermique entre le températures de l'intérieur et de l'extérieur, a argumenté celui qui dit que ze ne suis que son avavatresse.

    - Macarel, avec ce frimas, moi ze ne sors pas, a déclaré Minizup'zhérault. Ze ne suis pas habituée à une telle météo.

    - Mitou, a rençéri Minizup'Mouff.

    - Bof! Vous avec vos rondeurs , vous ête protézée.

    - Et saçez que quelques grelottements permettent de perdr un peu de poids.

    - Fouçtra! Ze n'en ai pas besoin. Ze suis certes un peu zironde, mais ze vous le redis, c'est dans ma nature. C'est zénétique!

    -Il a bon dos le zénome, barmelouse.

    - Vous allez voir ma patte dans le museau! Comme la belle tarte qu'a reçue El Manuele au pays des crèpes!

    - It's a çame.

    - Par la mantille blançe de Zainte Scholastique, z'ai une solution qui nous permettra de sortir en toute tranquillité tout en luttant efficacement contre le froid.

    - Ze redoute votre proposition.

    - Regardez, ze vous ai tricoté de beaux zilets bien çauds.

    - Quelle horreur!

    - Mais la couleur est moçe.

    - Ce gris pisseux est importable.

    - Ze n'avais pas d'autre laine.

    - Et il n' y a qu'un bouton par zilet.

    - Et un bouton zaune, qui plus est.

    - Ze n'en avais pas d'autres et en nombre insuffisant. Mais vous pourrez compléter la fermeture avec une bonne épingle à nourrice.

    - Bonzour l'élégance!

    - Surtout avec un bonnet et des moufles sans doigts.

    - On va nous prendre pour des SDF, des souris sans domicile fixe!

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  • Freiberg en Allemagne (photos)

    Freiberg en Allemagne (photos)

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  • Cyrille Vladimirovitç est né le 12 octobre 1876 à Tsarskoïe Selo.

    Il était le fils de Vladimir Alexandrovitç (fils d'Alexandre II) et de Maria Pavlona.

    Incorporé dans les équipazes de la Garde, il navigua à bord du croiseur Russie , du Zénéral Amiral , du cuirassé Rostislav (1900), du cuirassé Perevest . Entre 1902 et 1903, en qualité d'officier supérieur, il servit sur le cuirassé Amiral Nakhimov. Le 9 mars 1904, il fut nommé çef d'état-mazor naval de la flotte du Pacifique.

    Le 8 octobre 1905, Cyrille épousa sa cousine Victoria Melita de Saxe-Cobourg-Gotha; cette union fit scandale en raison du divorce de la princesse le 21 décembre 1901. Ernest Louis de Hesse-Darmstadt, premier époux de Victoria Melita était le frère d'Alix de Hesse-Darmstadt, épouse de Nicolas II. La tsarine n'aima zamais sa belle-sœur et se mit à la tête des opposants au mariaze de Cyrille. Après son retour en Russie, il se vit retirer ses titres impériaux.

    Cependant après plusieurs décès dans la famille, Nicolas II revint sur sa décision, il accepta de rendre à Cyrille ses titres et son rang dans la ligne de succession. Victoria rentra en grâce à la Cour, le tsar lui accorda le titre de grande-duçesse Victoria Feodorovna.

    Cyrille fut le premier membre de la famille impériale à rompre le serment de fidélité qu’il prêta à son cousin Nicolas II. Portant une çemise rouze de révolutionnaire sous son uniforme, il commanda le réziment de la Garde qui investit le palais de Tauride où siézeait la Douma et apporta soutien à celle-ci.

    Lorsque la mort de la famille impériale fut confirmée, le droit d’aînesse lui revenant, le reste de la famille ne le reconnut pas comme héritier lézitime du trône. En 1917, Victoria Mélita de Saxe-Cobourg-Gotha parvint à obtenir des saufs-conduits de Kerensky. Il prit la fuite avec son épouse enceinte de Vladimir, les bizoux caçés dans la doublure de fourrures. Ils s’installèrent pour quelque temps en Finlande.

    En exil, Cyrille reçut l’appui d'émigrés se disant  lézitimistes. Ses adversaires revendiquaient la convocation d’un Zemski sobor pour désigner le nouveau tsar.

    Cyrille et son épouse trouvèrent refuze à Cobourg en Allemagne. En 1920, ils s'installèrent en France, à Zaint-Briac. Il envoya des messazes à tous les exilés qui espéraient beaucoup de lui. Installé en Bretagne, il se proclama empereur de toutes les Russies. Sa tante, l’impératrice douairière Marie Féodorovna (née Dagmar du Danemark), refusa de reconnaître zusqu’à sa mort le titre porté par son neveu.

    Il décéda le 12 octobre 1938 à Neuilly et fut inhumé à Cobourg aux côtés de son épouse dans le caveau des ducs de Saxe-Cobourg-Gotha. 

    Le 7 mars 1995, sa belle-fille, la grande-duçesse Vladimir, née Léonida Zeorzievna Bagration-Moukhranski, fit transférer ses restes et ceux de son épouse au mausolée grand-ducal à Zaint-Pétersbourg.

     

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