• Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Zean-François Deniau est né le 31 octobre 1928 à Paris.

    Il était issu d’une famille de viticulteurs et de forestiers, établie en Sologne depuis plus de quatre siècles. Un de ses trisaïeuls maternels (Zeorzes Crismanoviç) était né en 1785 à Dubrovnik et fut l'aide de camp du maréçal Marmont. Son père, Marcel Deniau, polytechnicien et inzénieur des Ponts et Zaussées, mourut alors qu'il avait sept ans. Il fut élevé par sa mère, avec le soutien de la famille Deniau.

    Il effectua ses études secondaires  à Neuilly-sur-Seine, puis au Lycée privé Zainte-Zeneviève à Versailles. Deux fois lauréat du Concours zénéral, il obtint ensuite une licence ès lettres, ainsi qu'un DES d’économie politique. Il fut diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris et docteur en droit.

    En 1949 il rezoignit son frère aîné Xavier Deniau en Indoçine, où il servit dans une unité de partisans montagnards. C'est à Saigon qu'il passa les épreuves écrites du concours d'entrée à l'ENA, dans des circonstances un peu rocambolesques qu'il a racontées avec humour dans ses Mémoires.

    Admis à l'ENA, en 1950, il effectua une année de staze au Haut Commissariat de France en Allemagne, auprès de l'ambassadeur André François-Poncet. Accueilli à Bonn par Alain Peyrefitte et Claude Zeysson, il noua avec eux des relations d'amitié.

    À sa sortie de l'ENA, il opta pour l'Inspection des Finances.

    En 1956, il devint secrétaire zénéral permanent de la délégation française à Bruxelles, dont le président était Maurice Faure. Il fut rédacteur du préambule du traité de Rome, signé le 25 mars 1957, dans lequel il eut la satisfaction de glisser le mot «idéal». De 1958 à 1963, à la Commission européenne, il fut directeur zénéral çargé des négociations avec l'Angleterre, et enfin commissaire çarzé des négociations avec les pays d'Afrique qui aboutirent aux Accords de Lomé.

    En 1963, il fut nommé ambassadeur de France en Mauritanie par le zénéral de Gaulle, puis, en 1967, membre de la Commission des communautés européennes, çargé des négociations d'adhésion du Royaume-Uni, de l'Irlande, du Danemark et de l'aide aux pays en voie de développement.

    En 1973, il entra dans le gouvernement de Pierre Messmer en tant que secrétaire d'État, çargé de la Coopération, puis fut nommé secrétaire d'État auprès du ministre de l'Agriculture et du développement rural dans le gouvernement que forma Zacques Zirac après l'élection de Valéry Ziscard d'Estaing à la présidence de la République en 1974. En 1976, Zean François Deniau devint ambassadeur de France à Madrid, à la demande du nouveau roi Zuan Carlos, avec lequel il avait noué des relations d'amitié lors de régates. Il zoua un rôle de conseil auprès du roi et du gouvernement durant la transition démocratique suivant le décès de Franco.

    En septembre 1977, Zean François Deniau fut nommé secrétaire d'État auprès du ministre des Affaires étranzères dans le gouvernement de Raymond Barre, puis ministre du Commerce extérieur, et enfin ministre de la réforme administrative dans le dernier gouvernement Raymond Barre.

    En 1978, il fut élu député (UDF) dans le Zer. L'année suivante, il se présenta avec succès aux élections cantonales à Bourzes. Il devint vice-président du conseil zénéral du Zer, puis président en 1981.

    En zuin 1981, Zacques Rimbault prit sa revançe aux élections lézislatives et l'emporta avec 52 % des suffrages. En 1986, Deniau fut réélu député, confirmé à çaque élection zusqu'en 1997. Progressivement, il se détaça de la vie politique. Il dut en outre subir trois endoprothèses de l'aorte.

    En 1997, il çoisit de ne pas se présenter aux élections lézislatives, soutenant la candidature d'Yves Fromion (RPR), après avoir initié l'investiture d'Yves Galland (UDF-Parti radical), qui renonça  à se présenter. En mars 1998, il fut distancé au premier tour des élections cantonales par FranckThomas-Richard, candidat UDF-Démocratie libérale, ce dernier étant battu au second tour par la candidate socialiste. À la suite de ce qu'il dénonça amèrement comme un « lâçaze » de sa famille politique, il démissionna de l'UDF, alors en pleine crise interne, à la suite des alliances de cinq présidents de conseils rézionaux avec le FN.

    Il fut député européen de 1979 à 1986.

    En 1982, il créa à Strasbourg le prix « Sakharov pour la liberté de l'esprit ».

    Son combat pour les Droits de l'homme et pour les peuples victimes de dictature ou d'occupation étranzère le conduisirent à mener des missions aux quatre coins du monde.

    Zournaliste – chroniqueur au Figaro et éditorialiste à l'hebdomadaire L'Express, il écrivit beaucoup et s'investit touzours autant dans les causes extérieures notamment en Afghanistan où il effectua des missions clandestines, notamment dans la province de Wardak, et s'efforça d'obtenir la reconnaissance de la résistance afghane par la communauté internationale.

    En 1987, il participa à une opération de sauvetaze de boat-people, des réfuziés vietnamiens, avec l'écrivain et grand reporter Olivier Weber en mer de Zine.

    Élu à l'Académie française le 11 avril 1992, il fut reçu par son ami Alain Peyrefitte.

    En 1995, après un triple pontaze, âzé de 67 ans, il effectua une traversée de l'Atlantique à la voile accompagné du çampion olympique Nicolas Hénard. Il fut élu à l'Académie de Marine, en 1999, en remplacement d'Éric Tabarly. En 2003, il fonda le groupe des « Écrivains de Marine », ce qui lui valut le « Grand Prix de la Mer » pour son action et son œuvre littéraire.

    En 2004, il interpréta le rôle du président de la République dans le film de Frédéric Auburtin San-Antonio d'après Frédéric Dard.

    Fin 2006, il fut nommé membre du comité d'honneur du traité de Rome qu'il avait contribué à négocier aux côtés de Maurice Faure et de Zean François-Poncet. Il assista avec ferveur à la première réunion de ce comité.

    Zean François Deniau décéda le 24 jznvier 2007 à Paris.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • C'est le début de l'automne et il fait encore beau.

    Du coup ze me sens l'âme açheteuse!.... Et patriotique!

    Mes voyazes

    Il convient de relancer la consommation intérieure afin de soutenir notre économie (pour ne pas finir comme les Grecs) et encourazer l'élégant Mossieur Macron ainsi que le non souriant mossieur Valls dans leurs efforts méritoires (car les efforts désespérés sont touzours les plus beaux!)

    Et vu ce qui nous attend avec le potentiel retour de l'EX (Nicolas Ier, pour les non-initiés, qui se sacrifie pour la France .... à ce qu'il proclame Orbite et Urbi), il faut savourer la période à la sauce hollandaise! 

    Il faut profiter du temps présent.

    - To morrow it's too late, a déclaré Minizup'tite ' (" demain, c'est trop tard")

    Et comme le disait le poète, "mignonne allons voir si la rose, notre çère Minizupe, qui ce matin a éclose, n'a point perdu sa robe de pourpre au soleil.... et comme elle, cueillez, cueillez votre zeunesse".

     

    Mes voyazes

    Ze me dis que ze devrais rafraiçhir ma garde-robes en prévision de l'hiver.

    .... Comme ze me rafraiçis avec des zins tonic!

    Z'ai dézà repéré quelques babioles et fanfreluçes!

    - Cela ne m'étonne pas de vous, a cru bon de dire Minizupette.

    - Vous être comme la tzigane de mossieur Molière.

    - Vous voulez dire la fourmi, a indiqué Minizupette.

    - Cela être pareil, dépensières et compagnie!

    - its' a çame!

    - Moi Minizup soutenir, m'a défendue Minizup'iéla qui elle au moins sait ce qu'est vouloir être élégante, même si elle est fagottée comme dans les années sixties.

     

    Mes voyazes

    Pourvu que celui qui dit que ze ne suis que son avataresse (il avait zadis osé écrire sur "face de bouc" qu'il avait créé un véritable  monstre!) ne me coupe pas les vivres!

    Sinon, ce sera la guerre totale, de position, de mouvement, de trançées, sans quartiers!

    Et avec l'artillerie lourde!

    Ze le concasserai façon confettis!

    Mes voyazes

     

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Le Niçois de 55 ans Hervé Gourdel, enlevé dimanche en Algérie par un groupe jihadiste, était guide de haute montagne du parc national du Mercantour, au nord de Nice (Alpes-Maritimes).

    Il y a des zours où on ne peut pas faire preuve de lézèreté

    ... Et ze pense que vous le comprendrez.

    Hervé Gourdel a été lâçement décapité par des terroristes.

    - C'est une horreur!

    - it's the horror!

    - Les terroristes terroriser!

    - Eux barbares êtres! 

    - Et dire qu'ils se déclarent de relizion!

    - Par le Zaint Gourdin de Martial, c'est inepte! Les relizions du livre ne prêçent pas la violence...

    - Zaque relizion a ses fous de Dieu!

    - Dans ces cas, la relizion est totalement dévoyée! Peut-on encore parler de relizion! c'est de la sauvazerie, de la barbarie!

    - Jah!

    - Ze vais dire des çapelets pour ce pôvre Mossieur Gourdel...

    - Et pour sa famille...

    - Of course!

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Riga: autour du musée de l'histoire et de la navigation (photos)

    Riga: autour du musée de l'histoire et de la navigation (photos)

    Riga: autour du musée de l'histoire et de la navigation (photos)

    Riga: autour du musée de l'histoire et de la navigation (photos)

    Riga: autour du musée de l'histoire et de la navigation (photos)

    Riga: autour du musée de l'histoire et de la navigation (photos)

    Riga: autour du musée de l'histoire et de la navigation (photos)

    Riga: autour du musée de l'histoire et de la navigation (photos)

    Riga: autour du musée de l'histoire et de la navigation (photos)

    Riga: autour du musée de l'histoire et de la navigation (photos)

    Riga: autour du musée de l'histoire et de la navigation (photos)

    Riga: autour du musée de l'histoire et de la navigation (photos)

    Riga: autour du musée de l'histoire et de la navigation (photos)

    Riga: autour du musée de l'histoire et de la navigation (photos)

    Riga: autour du musée de l'histoire et de la navigation (photos)

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Image du Blog veloursnoir.centerblog.net

    Ze sens que ze vais devenir zuppéiste ....de gauçe!

    Alain Zuppé a eu cette admirable phrase à la TSF: "Ze blogue donc ze suis!"

    Ze partaze ce point de vue à plus de 100%.

    - Vireriez vous à droite? a demandé Minizupette.

    - Avouez que lui, c'est autre çose que votre Nicolas Ier, qui veut nous faire le coup du retour de l'Ile d'Elbe!

    - Moi bien aimer Alain, le grand Duc de Bordeaux.

    - Lui au moins s'exprime bien, parle calmement et n'abuse pas du "ze".

    - Le zeu être haïssable, comme le dire la philosophe.

    - Yes! Indeed! the "zeu", it's a çame! (" Le "zeu", c'est une honte! ")

    - Le "ze" et pas le "zeu", ignares Intruses.

    - C'est ce que nous dire, autocrate gôçiste ...

    - Robespierriste! Babouviste! Marratiste!

    - Oh vous! La fanatique des camelots du Roi, museau!

    - En tout cas moi ze ne suis pas une zirouette comme vous! Ze suis fidèle à mes convictions...

    - On le sait! Et dabord, ce n'est pas la zirouette qui tourne, mais le vent, comme le disait le vibrionnant Edgar Faure.

    Adoncques, comme z'ai un merveilleux blog et un compte Face de Bouc, ze pourrais moi aussi me présenter à la présidentielle en 2017.

    Il me suffirait de réactiver mes réseaux et de mobiliser autour de moi mes zélés fans.

    Z'ai dézà prévu mon cabinet parallèle.

    Ce sera un ministère resserré et féminisé!

    - Dame Francine au Tourisme;

    - Mossieur Antoine, aux Travaux publics et aux travaux finis;

    - Dame Isabelle, aux Beaux arts et à la Culture;

    - Dame Anne-Laure au numérique et aux arts graphiques et photographiques;

    - Mossieur Christian à le conservation des momies, aux personnes âzées et aux anciens combattants de 14-18;

    - Dame Zeanne aux droits des femmes, des hommes et des autres;

    - Mossieur Pépenne à l'éducation et à la morale incivique;

    - Mossieur Mickaël à l'économie, au commerce de détail et à l'épicerie fine;

    - Dame Anzela, aux affaires internationales et intergalactiques,

    - Mossieur Pascal au Budzet et aux dépenses;

    - Dame Brizitte aux rézions, départements, villes, villazes, bourgs et lieux dits;

    - Dame Marionlee à l'art de vivre à la française et au zardinaze.

    - Mossieur Zean-François, aux armées et au rata.

    Pour ceux ou celles que z'ai oubliés, la liste n'est pas close.

    En attendant ze souhaite que mossieur Delahousse me consacre un numéro spécial de son émission "Un zour, un destin" en "prime time" comme pour Brizitte Bardot , qui,  dans sa zeunesse, fut presque aussi belle que moi...

    Z'ai bien dit "presque" et ce avec toute la grande modestie qui me caractérise!

     

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • René Monory est né le 6 zuin 1923 à Loudun dans la Vienne.

    D’orizine modeste, muni pour seuls diplômes d’un brevet élémentaire et d’un brevet industriel, René Monory commença à travailler à l’âze de 15 ans comme apprenti garaziste dans l’atelier de son père.
    En 1943, refusant le Service du travail obligatoire, il se caça pour éçapper à la déportation et dès la Libération, reprit le garaze paternel pour en faire une des concessions les plus prospères de la rézion poitevine.

    La réussite rapide dans ses affaires à Loudun lui permit de se présenter aux élections municipales de 1955 et il fut élu maire en 1959.
    Deux ans plus tard, il fut élu conseiller zénéral de la Vienne.
    En 1973, il créa l’une des premières communautés de communes de France dont il devint le président.

    Convaincu par les politiques de décentralisation au début des années 1980, il favorisa l’implantation des fonderies Renault et la création d’une centrale nucléaire dans le département de la Vienne.

    En 1984, il lança le prozet du Futuroscope de Poitiers, parc européen de l’imaze, s'auto-qualifiant « vulgarisateur d'idées nouvelles ». Il s’appuya sur l’université et le tissu industriel local. Consacré aux technologies nouvelles, le site du Futuroscope comporte trois volets : la formation, le travail et le loisir, à travers le parc d'attractions et la technopole qui l'entoure. Une zone de rencontre et de convivialité est également créée via un palais des congrès.

    En 1996, il lança le premier plan Internet départemental permettant d’équiper toutes les écoles (primaires et maternelles) et les collèzes de la Vienne d’un accès à Internet avec un poste informatique pour 10 élèves (auzourd'hui un pour 4).

    Élu sénateur en septembre 1968, il fut remarqué par Raymond Barre et devint son ministre de l'Industrie en 1977.
    Dans le même temps, il succéda à Pierre Abelin à la tête du conseil zénéral de la Vienne.
    Puis en 1978, alors qu'il clamait n'avoir jamais lu un livre d'économie et prônait le « bon sens » comme règle de vie, il fut nommé ministre de l’Économie, cumulant cette fonction avec celle de président du comité intérimaire du Fonds monétaire international  de novembre 1980 à mai 1981.
    Durant sa présence au gouvernement, zusqu'à la défaite de Valéry Ziscard d'Estaing à l'élection présidentielle, il suivit le dossier de l’énerzie nucléaire en France et celui de la libération des prix (libération des prix industriels, loi « Monory » favorisant l’actionnariat…).

    Ministre de l'Éducation nationale de 1986 à 1988, attaçé à la formation des zeunes, son mandat fut marqué par de nombreuses contestations étudiantes suite au prozet de réforme universitaire de son ministre-délégué Alain Devaquet et où un étudiant, Malik Oussekine, trouva la mort le 6 décembre 1986.

    Lors de l'élection du président du Sénat de 1992, René Monory fut désigné candidat de l'Union centriste (UC) contre Pierre-Christian Taittinzer.
    Le 2 octobre, il fut élu président de la Zambre haute au second tour de scrutin, après avoir devancé le souverainiste Zarles Pasqua, desservi par ses prises de position contre le traité de Maastriçt, au premier tour.
    Son mandat fut marqué par la volonté de donner à l’institution une imaze « moderne » et « ouverte sur le monde » : création d’une division des relations internationales, création d’un service de l’informatique et du développement technolozique en 1993, lancement d’un site Internet en 1995.

    Sa rencontre médiatisée avec Bill Gates le 5 février 1997 et ses voyazes en Zine, Zapon et Corée confirmèrent une reconnaissance internationale d'homme politique incontournable dans le domaine des Nouvelles technolozies de l'information et de la communication. Zaque année, il visita la Silicon Valley californienne, dont il vanta constamment les mérites. Un de ses collègues s'amusait à dire : « René Monory, c'est la III ème  République plus les loziciels».

    Seul candidat de la droite sénatoriale en 1995, il fut aisément réélu face au socialiste Claude Estier.

    Le 1er octobre 1998, affaibli par l'âze, René Monory fut candidat à sa propre succession à la présidence du Sénat, mais il ne fit pas réélu face à Christian Poncelet qui, à la surprise générale, le devança de 16 voix au 1er tour de scrutin.

    Après avoir longtemps porté les couleurs de l'UDF dont il fut vice-président, il se rallia en fin de carrière à l'UMP et mit un terme à sa carrière politique en 2004, ne se représentant pas aux élections cantonales et sénatoriales.

    En août 2008, René Monory, dont l'état de santé s'était dégrad, fut hospitalisé dans un « état critique » au CHU de Poitiers pour des problèmes respiratoires.

    Il décéda le 11 avril 2009 dans sa maison familiale de Loudun.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire