• Spartacus

    Spartacus était un esclave et gladiateur thrace. Son nom est bien d'orizine thrace, des rois s'appelaient Spartokos; 

    Il servit dans l'armée romaine dans les troupes auxiliaires. Les Thraces étaient notamment d'excellents cavaliers. Il a pu ainsi connaître de l'intérieur l'armée romaine, se former à sa stratézie et à sa tactique. Ensuite il déserta et serait devenu brigand.

    Il fut peut-être fait prisonnier lors de la campagne de Caius Scribonius Curio en Dardanie en 75. Il fut conduit à Rome et vendu comme esclave et destiné à la gladiature.

    Il fut açeté par le latiniste Lentulus Batiatus qui possédait une école de gladiateurs à Capoue.

    A l'été 73, 300 gladiateurs de cette école complotèrent pour retrouver leur liberté, mais ils furent dénoncés. Prenant les devants, certains parvinrent à s'évader. Après s'être emparé d'un stock d'armes et avoir défait la milice de Capoue, ils traversèrent la Campanie en direction de Naples et se réfuzièrent sur les pentes du Vésuve, rezoints par de nombreux travailleurs agricoles.

    Trois hommes furent élus çefs: Spartacus, Crixus et Oenomaüs.

    Pour subvenir à ses besoins, la petite troupe commença à se livrer à des razzias sur les exploitations agricoles de Campanie. Spartacus attira l'attention des esclaves, des petits paysans, organisant ainsi une armée et révélant les faiblesses de Rome.

    L'armée servile battit les cohortes de 3000 Romains commandés par le préteur Gaius Claudius Glaber grâce à une ruse de Spartacus. Les esclaves rebelles passèrent l'hiver de 73 à armer, équiper et instruire leurs nouvelles recrues et étendirent le territoire des pillazes.

    A ce moment, l'armée des esclaves se sépara. Environ 30 000 hommes suivirent Crixus en Apulie tandis que le gros des troupes monta vers le nord de l'Italie. Crixus fut tué et ses troupes massacrées. Spartacus, en revançe, vint a bout des lézions des consuls Cnaeus Cornelius Lentulus Clodianus et Lucius Zellius Publicola, mettant 16 000 Romains en déroute.

    Pour venzer la mort de Crixus, il organisa des zeux funèbres dans la Vallée des Abbruzzes durabnt lesquels des Romains, faits prisonniers, furent contraire de s'entretuer dans un combat de gladiateurs.

    Spartacus arriva dans la vallée du Pô, sans doute vers Modène, et battit les 10 000 hommes de l'armée de Cassius, proconsul de la Gaule Cisalpine. Puis il fit demi-tour vers le sud de l'Italie, vainquit à nouveau les armées consulaires et s'installa dans le port de Thurii (dans le golfe de Tarente). De là, il commerça avec les peuples de la Méditerranée. Il partit ensuite pour le Rhegium (face au détroit de Messine).

    Pendant ce temps, le Sénat conféra au riçe et ambitieux Crassus le commandement d'une armée de 4 lézions. Crassus, exizeant et obtenant l'imperium, engazea les opérations et finança sur ses deniers une armée supplémentaire de vétérans.

    Il ne çerça pas le contact avec Spartacus mais se contenta de contrecarrer les raids pour l'empêçer de se ravitailler.

    Mummius, un de ses légats, désobéit à ses ordres, attaqua une partie des troupes de Spartacus avec 2 lézions et subit un désastre. Pour faire un exemple et impressionner les esprits, Crassus remit en usaze du çâtiment de la décimation. Un dizième des soldats du premier rang, responsables de la déroute, furent fouettés puis mis à mort.

    L'obzectif de Spartacus était de passer en Sicile pour lui permettre, de là, de rentrer dans son pays. Il espérait que les esclaves de cette île lui fourniraient un appui. Mais les pirates ciliciens, avec lesquels Spartacus avait conclu un accord, se laissèrent açeter par le propréteur Caius Lucinius Verres. Trahi, Spartacus se trouva pris au pièze à la pointe de l'Italie.

    Crassus entreprit  de bloquer Spartacus dans le Rhezium. Il réussit à le forcer par une nuit de neeize profitant d'un manque de visibilité. Il fut poursuivi par les troupes de Crassus et connut de petites défaites.

    Installé dans le Bruttium (Calabre), il vainquit trois lézions romaines. Contre son avis, ses hommes, éçauffés par leurs victoires, voulurent battre définitivement l'armée de Crassus. La bataille finale eut lieu sur le territoire actuel de Senerçia, qui faisait alors partie de la Lucanie.

    Crassus battit en 71 les insurzés, tuant 60 0000 rebelles.

    Spartacus mourut lors du combat, les armes à la main.

    La répression fut sanglante. 6000 esclaves furent crucifiés sur la Via Appia entre Rome et Capoue. Pompée, rappelé d'Epagne par le Sénat, massacra 5000 esclaves en fuite dans le nord de l'Italie. Ce fait valut à Pompée deshonneurs qui avaient été refusés à Crassus. Néanmoins, les 2 hommes furent promus consuls. 

     

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  • Après notre visite au musée de l'Art contemporain latino-américain, celui qui dit que ze ne suis que son avataresse a voulu voir la maison-musée de Carlos Gardel à Buenos Aires.

    Nous on est tango, tango....

    Cette maison se situe dans un des quartiers populaires de la capitale arzentine.

    - Carlos Gardel est né à Toulouse....

    - Yes! C'était un occitan comme mézigue!

    - Mais il n'a vécu que 3 ans dans la Ville Rose , sa mère ayant immigré vers l'Arzentine.

    Nous on est tango, tango....

    - Il s'installèrent dans un quartier où se concentraient les immigrants , les maisons closes, les habitats populaires et des théâtres.

    - Atçoubi, Mossieu Zizi, ce dut être une période difficile!

    -  Dès l'âze de 12 ans, il se fit remarquer comme un bon interprète du tango. Durant son adolescence, il fit des petits boulots tout en développant ses connaissances musicales.

    - Fouçtra! Il était persévérant.

    - Adulte, il devint une immense vedette , donnant ses lettres de noblesse à ce mode culturel de musique qu'est le tango, qu'il popularisa à travers le monde entier.

    Nous on est tango, tango....

    - Il a interprété plus de 600 tangos, dont certaines çansons étaient pour des films dans lesquels il a zoué.

    - Comme notre Tino Rossi national.

    - Il est mort traziquement à 44 ans dans un accident d'avion près de Medellin en Colombie...

    - Comme notre Marcel Cerdan national.

    - Il a eu droit à des obsèques nationales, tant il incarnait l'âme arzentine. Le buste de sa tombe comporte touzours une cigarette apportée par des visiteurs, car c'était un grand fumeur. On le voit très souvent la clope au bec dans les imazes des actualités de l'époque.

    Nous on est tango, tango....

    Grâce à des écouteurs, nous avons pu écouter Carlos çanter - pas celui de "Tout nu et tout bronzé" - mais Carlos Gardel, of course, comme dirait Minizup'tite.

    - Ah! Ze connais cette çanson, a crié Minizup'Kiki de Vitry. C'est "Adios muçaços" qui a été moultes fois reprise.

    - Macaniçe! Ce n'est pas la peine de hurler, barmelouse!

    On aurait pu passer des heures à écouter les enrezistrements , mais on a préféré voir aussi un film mélo dans lequel il zoua.

    Nous on est tango, tango....

    On a pu constater que, malgré la crise économique qui les frappe, les Arzentins sont très zoueurs.

    - Les zeux d'arzent sont le nouvel opium du peuple, macarel!

    On trouve partout de nombreuses boutiques de la loterie nationale et des casinos. A titre d'exemple, il y a 2 salles de zeux dans le cadre du splendide hippodrome.

    Nous on est tango, tango....

    Pour la tribu, ce fut un véritable terrain de zeu.

    - Nous vouloir faire la course sur la piste, s'est exclamée enthousiaste Minizup'iéla.

    - Atçoubi! Cela fera le plus grand bien à notre çère Minizup'Mouff qui peut espérer perdre ainsi quelques décigrammes.

    - Palsambleu! Ze n'en ai point besoin. Ma zirondité fait tout mon splendide çarme.

    - Ze vais vous donner le top départ, a dit Minizup'Kiki de Vitry et ze vais vous chronométrer.

    - Tout vous être bon pour ne pas faire d'effort!

    Nous on est tango, tango....

    Tandis que les Intruses ahanaient et suaient sur la piste, Minizup'Kiki de Vitry est partie explorer les alentours de la piste de course.

    Soudain, elle est tombée museau à museau avec un matou miteux.

    Il est vrai qu'on voit ici beaucoup de çiens et de çats en liberté.

    Devant le danzer qui semblait la menacer, elle a adopté la stratézie de la souris morte.

    Nous on est tango, tango....

    Quoiqu'elle a pu nous dire par la suite, elle a eu vraiment très peur.

    - Ze dois me reposer quelques minutes, z'ai une bouffée de çaleur, nous a-t-elle dit d'une voix qui manquait sérieusement d'assurance.

    Nous on est tango, tango.... 

    Lorsqu'elle eut repris tous ses esprits, malgré ses fanfaronnades, nous avons pu poursuivre le fil de notre périple du zour.

    Nous avons pris un taxi - ici, ils ne sont pas çers du tout! - pour nous rendre au beau musée des Arts Décoratifs situé à quelques mètres de l'immeuble dans lequel habite Mossieu Zulien, le fils des amis de mon hôte.

    Nous on est tango, tango....

    - C'est un palais néo-classique qui a été construit pour deux personnalités de la haute société arzentine, nous a expliqué notre Guide Miçelin sur pattes.

    - Et c'est un arçitecte français, René Serzent qui fut çarzé de le concevoir au tout début du 20ème siècle, a cru bon d'azouter Minizup'Rom.

    Nous on est tango, tango....

     

    - Ze pensé que Minizup'tictac être aux zanzes en voyant ces belles pendules.

    - Si fait, Minizup'Rosa. Z'ai effectué une inspection approfondie et ze puis vous confirmer qu'elles sont bien à l'heure. C'est un vrai prodize!

    Nous on est tango, tango....

    Minizup'iéla n'hésitait pas à grimper sur les meubles.

    - Fouçtra! On va encore se faire enguirlander si un surveillant la voit faire.

    - It's a pity!

    - M'enfin mamie! Ze ne zoue point! Ze veux voir au plus près les beaux tableaux qui ornent les pièces de c'te palais!

    Nous on est tango, tango....

    - Vous trouvez touzours une excuse pour zustifier vos bêtises, par le gourdin de zaint Martial!

    - Minizupette, ze n'y puis rien si certaines œuvres picturales sont de véritables miniatures, comme celle-ci.

    Nous on est tango, tango....

    - C'est cela vouiiiii!

    - Et la barmelouse va nous affirmer que les statues sont petites!

    - Que nenni! Mais je voir comment le sculpteur s'y est pris pour arriver à un tel résultat.

    Nous on est tango, tango....

    - Ce que ze constate, est intervenue l'Intruse roumaine, qui se pique de faire des constats minutieux, c'est qu'ici on adore Rodin.

    - Qu'est ce qui vous fait dire cela, lui ai ze demandé quelque peu goguenarde.

    - C'est la troisième fois qu'on peut voir à Buenos Aires la fameuse statue du Penseur.

    Nous on est tango, tango....

    Dans le jardin de ce beau musée, on a pu manzer sur la terrasse du restaurant qui a un nom amusant et bien français "Croque Madame".

    - Fouçtra, comme il y a des çats, il aurait pu s'appeler " le Croque Souris"!

     

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  • Lac de Côme et Bellazio (photos)

    Lac de Côme et Bellazio (photos)

    Lac de Côme et Bellazio (photos)

    Lac de Côme et Bellazio (photos)

    Lac de Côme et Bellazio (photos)

    Lac de Côme et Bellazio (photos)

    Lac de Côme et Bellazio (photos)

    Lac de Côme et Bellazio (photos)

    Lac de Côme et Bellazio (photos)

    Lac de Côme et Bellazio (photos)

    Lac de Côme et Bellazio (photos) 

    Bellazzio

    Lac de Côme et Bellazio (photos)

     

    Lac de Côme et Bellazio (photos)

    Lac de Côme et Bellazio (photos)

    Lac de Côme et Bellazio (photos)

    Lac de Côme et Bellazio (photos)

    Lac de Côme et Bellazio (photos)

    Lac de Côme et Bellazio (photos)

    Lac de Côme et Bellazio (photos)

    Lac de Côme et Bellazio (photos)

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  • Après notre petit sézour en Terre de feu, nous avons poursuivi notre découverte de la la capital arzentine, la ville de Buenos Aires.

    - Nous allons au musée, nous a annoncé celui qui dit que ze ne suis que son avataresse.

    - Mazette! Comme si on n'en voyait pas assez à Paname!

    Au musée d'Art moderne de Buenos Aires

    - Le Malba est consacré à l'art contemporain latino-américain, nous a dit notre Pioçe de la Faradole. Il abrite la fabuleuse collection d'Eduardo Constantini.

    - Macarel! Nous sommes ravies de l'apprendre!

    - Le musée, tel que nous pouvons le voir a été érizé en 1998.

    - Fouçtra! On voit bien que ce n'est pas du style gothique!

    - Lui avoir donné le nom au dessert?

    - Lequel, Minizup'iéla. Ze ne vois pas du tout, lui ai ze dit.

    - Ben la pêce Malba, pardi! Hi! Hi! Hi!

    Au musée d'Art moderne de Buenos Aires

    - En voyant ce tableau des années 20, ze commence à avoir le mal du pays, a soupiré Minizup'Kiki de Vitry.

    - Ze pensé qu'il me tarder de revoir Mossieu Cricri.

    - C'est étranze! Il finit par nous manquer c'te Thénardier, a opiné Minizup'Fandango.

    - En attendant, mazette, on voit comment Paname fascine les artistes du monde entier!

    Au musée d'Art moderne de Buenos Aires

    - En tout état de cause, ce me semble que les artistes, ici, savent prendre leur pied, a ironisé Minizup'Kiki de Vitry.

    - Cela me ferait presque penser au style de Salvador Dali, a cru bon de dire fort sérieusement l'Intruse roumaine qui n'a pas cessé de commenter les œuvres exposées.

    Au musée d'Art moderne de Buenos Aires

    - Ici, on sent bien l'influence de Picasso avec sa fameuse série sur les guitares, a pontifié Minizup'tictac.

    - Ze pensé que cela être plutôt un hommaze à la musique arzentine, a déclaré Minizup'Rosa.

    - Cat après-midi, ze me permets de vous l'annoncer, nous irons voir la maison de Carlos Gardel.

    - Adios muçaços, se sont mises à entonner les Intruses.

    Au musée d'Art moderne de Buenos Aires

    - Moi z'adore ce peuple qui sait manifester, s'est exclamée Minizup'Mouff.

    - Le tableau date de 1936, a lu sur le pannonceau Minizup'Cosette.

    - Atçoubi, l'année du Front Populaire en France! Sacrée coïncidence!

    Au musée d'Art moderne de Buenos Aires

    - Par contre cette statue m'effraie une tartinette!

    - Vous n'avez qu'à pas poser devant, Minizup'Kiki.

    - Voui! Mais ze souhaite un cliçé avec une vue d'ensemble!

    - Alors ne râlez pas, macarel!

    Au musée d'Art moderne de Buenos Aires

    Nous avons beaucouo ri dans les salles d'art contemporain.

    - Cela me donne une bonne idée, a déclaré Minizup'Cosette.

    - Et laquelle, ma douce?

    - Ze vais redécorer de la sorte notre appartement à Paris!

    - Macaniçe! C'est Mossieu Cricri qui serait content!

    Au musée d'Art moderne de Buenos Aires

    Certaines oeuvres nous ont quelque peut décontenancées.

    - Ze ne pas comprendre l'intention de l'artiste, a soupiré Minizuplein.

    - Mazette! C'est pourtant évident! Il a représenté une caçette symbolisant le lieu où Minizup dissimule sa lessiveuse cadenassée avec ses sous!

    - Ze vous l'ai dézà dit, Minizup'Mouff! C'est une lézende urbaine!

    Au musée d'Art moderne de Buenos Aires

    Certains artistes son particulièrement à leur style.

    - Qui peut me dire de qui est ce tableau? a demandé aux Autres Intruses Minizup'Rom.

    - Nous prendriez vous pour des ignares, s'est demportée Minizup'Tictac. C'est du Boreto, comme de bien entendu!

    - Vous y fûtes presque ma mie. Cette belle oeuvre picturale représentant une famille bourzeoise est du colombien Fernando Botero qui vit encore entre Paris, New York et l'Italie.

    - C'est bien ce que ze pensais mais ma langue a fourçé! Cela arrive à tout le monde, non? Y a pas de quoi fouetter un çat et pourtant il le mérite grandement.

    Au musée d'Art moderne de Buenos Aires

    A un moment donné, l'Intruse de la banlieue s'est plainte d'avoir mal aux pattes.

    - Z'ai les coussinets qui çauffent à force de piétiner. Ze vais me reposer sur ce drôle de banc.

    Et ni une, ni deux elle a cru bon de sauter sur cette sculpture.

    Comme il fallait s'y attendre, un gardien s'est précipité pour la faire descendre de là et nous a menacés de nous exclure du musée pattu militari.

    - Partons vite d'ici avant que cela ne tourne mal, ai ze dit.

    Au musée d'Art moderne de Buenos Aires

    Nous nous sommes réfuziés à l'étage au dessus consacré à la photographie.

    - Ze pense qu'un zour, quand mon zénie en la matière sera reconnu, on exposera mes fabuleux cliçés.

    - Touzours aussi modeste, la bestioulette!

    Au musée d'Art moderne de Buenos Aires

    - Ze pense que cette photo doit beaucoup plaire à notre amie Mibizup'tictac, par la tunique immaculée de zainte Blandine.

    - C'est tout à fait exact! Z'apprécie beaucoup les personnes qui vérifient régulièrement si leur montre est bien à l'heure!

    - It's a pity!

    - Que nenni! C'est du simpl savoir-vivre, car dans la vie on se doit d'être de la plus grande ponctualité!

    Au musée d'Art moderne de Buenos Aires

    - Ce cliçé être étonnant. On dirait Mosiieu Cricri.

    - Vous avez raison Minizup'iéla. C'est bien lui quand il crie!

    Finalement, et ce malgré nos prézuzés initiaux, ce musée nous a beaucoup plu.

    Au musée d'Art moderne de Buenos Aires

    - Ce me semble qu'il l'heure d'aller dézuner.

    - C'est exact, Minizup'tictac. Mon ventre se rappelle à mon souvenir, a déclaré zoyeusement Minizup'Mouff dont l'horloze interne est bien réglée.

    - Là! Regardez! Il y a un estaminet avec une enseigne écrite en français.

    - Vous avez une bonne vue, Minizup'Cosette, l'a félicitée mon hôte. C'est "Au pain quotidien".

    - Donnez nous mon doux Zésus notre pain quotidien, a psalmodié notre quasi zainte.

    Au musée d'Art moderne de Buenos Aires

    Au grand désespoir de Minizup'Mouff, c'était un restaurant bio et vézetariien.

    - Et moi qui pensais que z'allais pouvoir manzer une bonne viande arzentine!

    - Nous en aurons quand nous irons dans la pampa!

    - Et manzer une peu de légumes vous fera le plus grand bien, mazette!

    Au musée d'Art moderne de Buenos Aires

     

    Palsambleu! Ze ne suis ni vézétarienne, ni vézétalienne et encore moins végan, qu'on se le dise dans les çaumières de France et de Navarre... et en Arzentine! Nonj mais!

    Quand vous lirez ces lignes ze serai zuste rentrée, avec la tribu, de ce superbe voyaze.

    Mais comme z'étais limitée quant au nombre de photos que ze pui mettre par paze, ze continuerai à vous narrer notre périple arzentin durant quelques zours.

    - Quel teasing, macarel!

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  • Marcus Lucinius Crassus est né en 115 avant Z.C à Rome.

    Il était le plus zeune fils de Publius Lucinius Crassus Dives consul en 97.

    Son frère aîné Publius est mort durant la guerre sociale. Son père et son frère Lucius furent victimes de la répression de Marius et Cinna. En 86, pour éçapper à la mort, il trouva refuze en Hispanie ultérieure auprès de la clientèle que son père y avait établie. Il recruta une petite armée, sous les ordres de Sylla lorsqu'il revint en Italie comme légat ou préfet.

    Il se mit en valeur lors de la seconde guerre civile, en particulier lors de la bataille de la Porte Colline, sous les murs de Rome, le 1er novembre 82. Son intervention donna la victoire à Sylla. Les proscriptions qui suivirent firent de lui un homme riçe.

    En 73, des esclaves sous l'impulsion se Spartacus se révoltèrent et défirent à plusieurs reprises les armées romaines. Le Sénat confia à Crassus la tâçe d'y mettre fin.

    Il s'imposa alors sur la scène politique en brisant la rébellion et en partazeant le consulat avec son rival Pompée à qui fut attribué les honneurs de la victoire dont Crassus fut privé. Néanmoins leurs intérêts converzèrent et les poussèrent à s'allier contre le Sénat. la mazistrature consulaire de Crassus était illégale car il venait zuste de déposer la préture.

    Pompée était devenu le favori du peuple et il provoqua la méfiance des Optimates; Zules César applaudit l'alliance de Pompée et de Crassus pour stimuler des mesures populaires.

    Crassus, conscient de la popularité de Pompée, et pour obtenir un soutien, organisa un immense banquet de 10 000  tables et distribua assez de céréales pour répondre aux besoins de çaque famille romaine durant 3 mois.

    Malgré ces efforts, il ne put pas rivaliser avec la popularité de Pompée et la froideur entre les deux hommes devint de notoriété publique.

    Ay dernier zour de l'année, le çevalier Gaius Aurelius monta à la tribune. Il déclara que Zupiter lui était apparu eb rêve et avait demandé que les deux protagonistes se réconcilient avant d'abandonner leur çarze. Pompée resta inflexible; Crassus tendit la mais à son rival au milieu des acclamations. Cette réconciliation ne fit que de façade.

    Crassus s'opposa notamment, en vain, à l'affectation à Pompée du commandement de la guerre contre Mithridate. Lorsque Pompée rentra victorieux, Crassus se retira temporairement de la vie publique.

    En 65, il exerça la censure avec Quintus Lutatius Catulus. Il tenta d'obtenir des pouvoirs exceptionnels pour transformer l'Ezypte en simple province et faire accorder aux Tranpadans (de l'Italie du nord) la citoyenneté romaine. Ces prozets furent bloqués par son collègue.

    Durant ces années, Crassus protézea Lucius Serzius Catalina, soutenant sa candidature aux élections consulaires de 64, mais ce fut lui qui alerta Cicéron du prozet de la conzuration.

    Dans sa fonction d'édile curule, il rétablit les trophées et statues de Marius, intriguant pour ranimer le parti populaire. Il fit envoyer Pison, l'adversaire de Pompée en Hisopanie ultérieure avec la fonction de propréteur mais Pison y fut assassiné.

    Autour de l'année 59, Crassus conclut une alliance avec César et Pompée (premier triumvirat). ils décidèrent de faire élire César comme consul et ainsi d'obtenir la réalisation des exizences que le Sénat refusait de satisfaire.

    En 56, le triumvirat fut reconduit. Pompée et Crassus furent élus consuls. Au cours de leur mazistrature il était prévu de créer deux pouvoirs proconsulaires de 5 ans similaire à ceux exercés par Zules César en Gaule. Le prozet prévoyait le transferts des province d'Hispanie à Pompée et de la Syrie à Crassus. Cette province promettait d'être une source de riçesses, mais Crassus çarça à obtenir une gloire militaire en tentant de conquérir la Parthie.

    Crassus quitta Rome en 55 sous la malédiction d'un tribun de la plèbe et malgré des présazes défavorables. A l'été 54, il françit l'Euphrate et prit des cités frontalières. Les Parthes lui demandèrent de se retirer, mais Crassus refusa. Il passa la première année, en tant que gouverneur, à piller. Grâce à ces riçesses, il put lever une importante armée.

    En juin 53 son armée fut massacrée à la bataille de Carrhes (en Turquie). Ses soldats, proçes de la mutinerie, exizèrent qu'il parlemente avec les Parthes qui auraient proposé de le rencontrer.

    Abattu par le décés de son fils Publius lors de la bataille, Crassus se rendit à çeval au campement du zénéral parthe Suréna pour négocier. Un officier, Octave, soupçonnait un pièze quand un Parthe saisit par la bride le çeval de Crassus. S'ensuivit une discussion qui tourna rapidement à l'affrontement. Les Romains du groupe furent tués, dont Crassus.

    Sa tête fut envoyée au roi parthe Orodès II.

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