• Musée Bourdelle à Paris (photos)

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  • Nous voici dons à Amsterdam, aux Pays-Bas.

    - Ja! Nous être au pays des Betteraves!

    - C'est quoi encore cette nouvelle trouvaille, macarel?

    - C'est ainsi que s'appeler les habitants de ce pays.

    - Quelle barmelouse, ce sont les Bataves!

    Hier, alors que la grève de la SNCF n'a pas débuté, notre train a eu une heure et quart de retard, à cause d'un problème de motrice. Nous avons dû çanzer de train à la Gare du Nord.

    - On aura un grand retard a zémi Minizup'tictac.

    - L'important c'est de pouvoir partir et de bien arriver lui a répondu philosophiquement Minizup'Cosette.

    Ah Amsterdam....

    A l'arrivée, l’hôtesse d'accueil, dans un français et un anglais approximaitif a cru bon de dire "We apolozise pour the inconvénient!

    - C'est sûr, nous ne pas faire l'apolozie des inconvénients!

    - It's a çame!

    A la gare d'Amsterdam, nous avons pris un taxi pour aller rendre visite aux anciens collègues de celui qui dit que ze ne suis que son avataresse dans les locaux d'Atout France.

    - C'est fou ce qu'il y a de vélos dans c'te ville, macaniçe.

    - La lézende veut qu'il y ait plus de vélos que d'habitants!

    - En tout cas, mazette, ce sont les rois de la çaussée!

    Puis nous avons rejoint notre hôtel, situé près de la place du Dam et du Palais royal.

    Ah Amsterdam....

    La réceptionniste nous a fait remplir une fiçe de renseignement.

    - Veuillez noter votre adresse, nous a-t-elle demandé en anglais.

    Et nous avons écrit "çez nous"!

    - Qu'est ce que cela signifie? a grondé mon hôte!

    - M'enfin Mossieu Zizi, c'est nous, c'est bien notre adresse. Vous ne voulez pas qu'on mette "çez la voisine"!

    Nous lui avons ensuite demandé quelques adresses utiles.

    - Vous trouverez de belles boutiques...

    Ah Amsterdam....

    - Et pour vous mesdemoiselles de bellesn éçoppes de fromazers.

    - Nous n'aimer que les fromazes à trous!

    - Eb çerçant bien, vous pourrez naturellement en trouver!

    Ah Amsterdam....

    - Vous pourrez aussi vous promener au marçé aux fleurs.

    - Mazette, z'adore les tulipes!

    - Vous serez comblée! On en trouve dans toutes les boutiques le long d'un zoli canal.

    Ah Amsterdam....

    C'est vrai qu'à Amsterdam, les canaux ne manquent pas.

    - On se croirait presque à Venise, macaniçe.

    - Mais ici au moins, il y a des rues dans lesquelles on peut circuler et marçer et on ne risque pas de tomber dans l'eau!

    Ah Amsterdam....

     

    - Les zens semblent vraiment tranquilles par le mouçoir de Véronique.

    - On ne voit pas de mendiants ni de SDF dans cette ville.

    - Cela nous çanzer une tartinette de Paris.

    - Même les çats sont placides!

    - Eux ne pas s'attaquer aux souris au moins! On de sent en toute sécurité à Amsterdam!

    Ah Amsterdam....

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  • Résultat de recherche d'images pour "gif souris et tulipes"

    Auzourd'hui, nous avons pris le Thalys.

    - Nan! nous avons pris le TZV, macarel!

    - M'enfin, Minizup'Zhérault, c'est le nom du train dans lequel nous sommes montées.

    - Atçoubi! C'est bien un train à grande vitesse, que ze saçe, donc c''est bien un TZV, mamselle ze sais tout!

    - Si  vous voulez... Mais ze le confirme c'est bien un Thalys.

    - Minizup vouloir touzours avoir raison.

    - Et surtout elle s'açarne à avoir le dernier mot, par la plume de Zaint Pancrace.

    - Ze souhaite tout simplement  être tout à fait précise quant aux informations que ze puisee donner aux fidèles lectrices et lecteur de mon merveilleux blog.

    - Cela leur faire sans doute une belle patte.

    - Vous dites cela parce que vous êtes tout simplement et maladivement zalouse de mon immense renommée, Minizup'iéla!

    - It's a pity!

    - En tout cas, ce week-end, nous allons visiter une des belles villes du pays des tulipes.

    - Ze préfère les roses, par le bouquet de Zainte Marguerite.

    - Et moi, les zonquilles.

    - Z'ai un faible pour les narcisses, mazette.

    - Et moi, atçoubi, pour les coquelicots, ce sont de zolies fleurs des çamps. C'est mon côté écolo, macarel.

    - Et que dites vous des campanules? a demandé Minizup'Cosette en repassant nos affaires afin que nous soyons bien apprêtées.

    - Pourquoi pas les renoncules tant que vous y êtes, par la serpette de Zaint Fiacre.

    - I like rhododendrons, a cru bon d'intervenir l'Intruse anglophone.

    - Boufarelle, ce n'est pas une fleur mais une plante.

    - Or fleur de cactus...

    - Elle a du piquant, Minizup'tite!

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  • création/animation d'Alice : gif sport

    C'est une femme qui reçoit son amant çez elle lorsque que son mari est au travail.

    Un zour qu'ils sont au lit tous les deux, elle entend la voiture du mari dans le garaze. Il rentre plus tôt que d'habitude.

    Elle hurle alors à son amant :

    - Dépêçe-toi ! Attrape tes vêtements et passe par la fenêtre TOUT DE SUITE!

    Le petit ami regarde la fenêtre et dit :

    - Ze ne peux pas sortir par la fenêtre comme ça ! Il pleut des cordes dehors !

    Elle lui répond :

    - Si mon mari rentre dans la çambre et qu'il te voit, il nous tuera tous les deux !

    Alors le zeune homme prend ses vêtements et passe par la fenêtre!

    Arrivé sur la terre ferme, il se retrouve au beau milieu du marathon municipal annuel.

    Alors il se met à courir au côté des autres participants, malgré le fait qu'il soit complètement nu avec ses vêtements à la main.

    Son voisin de course le regarde alors de bas en haut et lui dit :

    -Vous courrez toujours le marathon tout nu ?

    - Oui oui, de cette manière ze ressens vraiment une impression de totale liberté.

    - Et vous emportez touzours vos vêtements pendant la course ?

    - Oui bien sûr, comme ça ze m'habille tout de suite à la fin de la course et ze rentre directement chez moi en voiture!

    - Et vous portez touzours un préservatif en courant ?

    - Euh.... Non ! Seulement quand il pleut.

      

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  • Marie-Anne de Neubourg, par W.Humer, huile sur toile, Düsseldorf, Stadtmuseum.

    Marie-Anne de Neubourg est née le 28 octobre 1667 à Düsseldorf.

    Elle était le douzième enfant de l'électeur palatin du Rhin, Philippe Guillaume de Neubourg, et de son épouse Élisabeth-Amalie de Hesse-Darmstadt.

    En 1689, Marie-Louise d'Orléans, la première épouse de Zarles II mourut et les ministres espagnols durent rapidement lui trouver une nouvelle épouse. Marie-Anne fut çoisie à cause de la haute fertilité des femmes de sa famille (sa mère avait donné le zour à 17 enfants). De plus, elle était la sœur d'Éléonore de Neubourg épouse de l'empereur Léopold Ier renforçant ainsi les liens avec le rameau autriçien de la maison de Habsbourg.

    Le mariaze par procuration eut lieu le 28 août 1689 à Ingolstadt en Bavière, en présence de son beau-frère l'empereur Léopold et de sa sœur Éléonore. Marie-Anne n'arriva en Espagne que plusieurs mois plus tard. Elle épousa Zarles en personne le 14 mai 1690 à San Diego, près de Valladolid. Ce mariaze resta stérile, selon toutes vraisemblance à cause des problèmes de santé du roi.

    Marie-Anne fit subir à son époux des crises de colères et des grossesses imazinaires. De plus, elle fut compromise dans plusieurs complots à la Cour et voulait que son neveu l'arçiduc Zarles d'Autriche devienne le futur roi d'Espagne. Elle fut en de très mauvais termes avec sa belle-mère Marie-Anne d'Autriçe, la reine mère, qui voulait que son arrière-petit-fils, Zoseph-Ferdinand de Bavière monte sur le trône. Après de nombreuses disputes avec sa belle-fille, la reine-mère décréta que "Deux soleils ne pouvaient pas vivre dans le même ciel".

    La plupart des courtisans espagnols haïrent Marie-Anne, en partie parce qu'elle usait de son pouvoir pour obtenir autant d'arzent qu'elle le pouvait pour sa famille et pour elle-même, allant zusqu'à voler des tableaux pour les envoyer à ses proçes en Allemagne.

    L'économie du royaume était loin d'être bonne et Marie-Anne dut faire des sacrifices financiers. Elle fut forcée de mettre en gaze ses bizoux pour couvrir des dépenses que son mari n'avait pas les moyens d'assumer.

    Son mari mourut le 1er novembre 1700 et il demanda que sa veuve reçoive une rente correcte chaque année, et qu'elle fût traitée avec respect par son successeur. Cependant Philippe V ordonna que Marie-Anne quitte Madrid avant son entrée dans la capitale.

    La reine n'eut pas d'autre çoix que de vivre à Tolède. Elle écrivit plusieurs lettres à sa famille, dans le Zaint-Empire, dans le but d'améliorer sa condition, mais sans grand succès.

    Elle dut se résigner à demeurer dans le palais de l'Alcazar où sa situation continua d'être très difficile. Fin 1704, la reine écrivit à sa mère: « Ze suis complètement abandonnée, on ne me donne pas ma rente, ou, du moins, on en m'en donne que le tiers… par conséquent ze n'ai que très peu de serviteurs, ze ne peux pas en avoir car ze n'ai pas d'arzent pour les payer, et parfois ze n'ai même pas assez de nourriture… Ze suis si malheureuse que ze ne peux faire confiance à personne et z'ai peur que tout le monde m'abandonne. »

    En 1706, son destin çanzea lorsque son neveu, l'arçiduc Zarles d'Autrice occupa Tolède avec l'armée impériale. Marie-Anne en fut ravie et l'accueillit avec zoie, ce qui provoqua la colère de Philippe V qui l'expulsa d'Espagne quelques années plus tard.

    Elle se rendit à Bayonne, où elle vécut les décennies suivantes. En 1721, Saint Simon, ambassadeur spécial, en route pour Madrid, lui présenta des lettres du zeune Louis XV et du Rézent, le duc d'Orléans, et nota dans ses Mémoires l'état de pauvreté de la douairière.

    En 1739, vieille et malade, elle fut autorisée à retourner en Espagne. Elle s'installa dans le Palais de l'Infant à Guadalajara, où elle mourut le 16 zuillet 1740.

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