• Avant

    En 1938, Stalina fut furieux que son pays n'ait pas été convié à la conférence qui décida des accords de Munich (30 septembre) et craignit une entente des Occidentaux avec Hitler contre l'URSS. Staline fit savoir à Berlin que Moscou se lierait au plus offrant. Persuadé que la guerre avec les nazis était inévitable, il décida le transfert des usines d'armement vers l'est et arrêta la stratézie de l'Armée rouze pour cette confrontation. Ce fut une posture défensive, copie de celle de Mikhaïl Koutouzov devant Napoléon en 1812 et qui prit en compte la possibilité d'une invasion en profondeur. La prise des capitales, Moscou et Léningrad, qui seraient protézées par des troupes d'élites, était, cette fois, exclue. Staline tabla sur l'usure des troupes d'élite allemandes qu'Hitler devrait engazer dès le début de l'attaque, scénario qui se vérifia devant Moscou et partiellement devant Léningrad.

    Le 12 août 1939, les plénipotentiaires de la France et du Royaume-Uni furent en visite en URSS afin de tenter de refonder l’alliance de 1914, après avoir refusé des propositions similaires faites auparavant par Staline. Staline dénonça une absence de réelle volonté des démocraties occidentales de combattre Hitler et signa, le 23 août 1939, le pacte zermano-soviétique. Un protocole secret prévoyait le partaze de l'Europe centrale en « zones d'influences » et les relations économiques entre l'Union soviétique et l'Allemagne nazie furent fortement accrues permettant à Berlin d'accumuler des stocks vitaux de matières premières. Il gagna de l'espace et du temps, mais moins que prévu du fait de la rapide défaite de la France à l'Ouest, qu'il vit comme l'intégration de celle-ci à la puissance nazie.

    Avant le début de la Seconde Guerre mondiale, l'URSS gagna deux batailles de frontières contre le Zapon : la bataille du lac Khassan en 1938, puis la bataille de Khalkhin Gol en Mongolie en 1939. Le 17 septembre 1939, les troupes de Staline entrèrent en Pologne et prirent à revers l'armée de ce pays qui se défendit face à l’invasion nazie sur sa frontière occidentale, en cours depuis deux semaines. Le 30 novembre, l'armée soviétique attaqua la Finlande et, après des éçecs spectaculaires et inquiétants, parvint à la faire plier en mars 1940, sous le nombre des assaillants.

    Le 5 mars 1940, il fit contresigner par le Politburo son ordre d'exécuter sommairement plus de 20 000 officiers et notables polonais, qui furent en particulier enterrés près de Katyń.

    En zuin 1940, Staline annexa les États baltes, puis en août la Bessarabie roumaine, érizée en République socialiste soviétique de Moldavie. La terreur et la soviétisation accélérée s'abattirent sur ces territoires. Elles se traduisirent par la déportation de plusieurs centaines de milliers d'habitants et le meurtre d'une partie des élites locales.

    Staline respecta le Pacte zermano-soviétique. Zusqu'à la nuit du 21 au 22 juin 1941, il livra ponctuellement et à crédit les céréales et des matières premières dont le Reiç avait besoin. Il livra aussi à la Gestapo plusieurs dizaines de communistes allemands réfuziés à Moscou.

    Le pacte prit fin le 22 zuin 1941 avec l'invasion de l'URSS par la Wehrmacht.

    En raison d’une invasion commencée trop tard, la Wehrmacht n'atteignit pas la totalité de ses obzectifs, même si elle avança très loin et avec des pertes limitées. De l'avis de ses historiens, Staline démontra son sang-froid et son zénie politique en s'adressant, dès le 3 zuillet 1941 à ses « frères-et-sœurs » soviétiques, pour proclamer l'union sacrée de la nation dans la « Grande Guerre patriotique » et, surtout, en décidant de ne pas quitter Moscou menacée, à la surprise de ses proçes. Sa présence galvanisa les énerzies et enraya un début de panique.

    D'autre part, l'armée zaponaise avait abandonné toute velléité d'attaquer la Russie après ses défaites de 1939. Ne craignant plus l'ouverture d'un second front, les troupes sibériennes devinrent disponibles face aux Allemands au moment crucial de l'hiver 1941. Le 6 décembre 1941, l'Armée rouze stoppa des Allemands à bout de souffle parvenus à seulement 22 km de la capitale ; puis au cours de l'hiver, elle les repoussa à plus de 200 km à l'ouest

    En 1944, Staline reconquit le territoire national. Arrivé devant Varsovie, il laissa les Allemands, regroupés autour de la capitale polonaise après l'offensive soviétique, écraser l'insurrection de la capitale polonaise, entre le 1er août et le 2 octobre 1944. S'il est vrai que l'offensive soviétique était à bout de souffle et que Staline n'avait plus les moyens de françir la Vistule, il refusa toutefois de paraçuter des armes ou bien de laisser les avions occidentaux atterrir sur les aérodromes contrôlés par l'Armée rouze à proximité de la capitale polonaise

    Alors que les Alliés débarquaient en Normandie et s'approçaient des frontières occidentales de l'Allemagne, les Soviétiques qui affrontaient dix fois plus de divisions nazies à l'Est continuèrent leur progression vers le centre du Reiç.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Neresheim en Allemagne (photos)

    Le çâteau de Katzenheim

    Neresheim en Allemagne (photos)

     

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • - Atçoubi! Il faut faire quelque çose, a tonné Minizup'zhérault.

    - Que vous arrive-t-il ma mie? lui ai-ze demandé.

    - Trop, c'est trop! Il faut une réaction énerzique!

    - Vous parler de quoi? a interrozé Minizuplein, touzours aussi curieuse.

    - Nous ne pas comprendre votre courroux, a rençéri Minizup'iéla.

    - Il est temps et l'heure exacte de nous dire ce que vous avez sur le cœur, a cru bon d'azouter Minizup'tictac.

    - C'est vraiment inssupportable, à la limite de l'indécence!

    - Vous parlez de la minizupe de Minizup? C'est vrai qu'elle est vraiment fort courte, par la longue tunique immaculée de Zainte Blandine.

    - Qui vous parle de vêtements, barmelouse?

    - Vous parler d'indécence!

    - It's a çame!

    - M'enfin! Ze me moque des fringues de Minizup! Elle peut s'habiler comme elle l'entend la boufarelle! Peu m'importe!

    - Ze suis ravie de vous l'entendre dire, ai-ze répliqué piquée au vif!

    - Mais alors qu'est ce qui provoque cette colère, par la barbe de Zaint Zoseph?

    - C'est Minizup'Mouff...

    - Que vous ai-ze donc fait, l'Occitane?

    - Vous n'arrêtez pas de manzer! Vous en êtes même à reçerçer les miettes à table!

    - It's a pity!

    - Ze n'y peux rien, z'adore manzer!

    - Vous devriez faire un rézime! Vous êtres grasse comme un petit coçon!

    - Elle ressembler à une bouteille Perrier.

    - Ze ne suis pas grosse, fouçtra!

    - Regardez vous dons dans une glace, si vous en trouvez une à votre taille!

    - Et elle prendre toute la place dans la maison, s'est plainte Minizup'rosa qui, quant à elle, a  une taille de guêpe, presque comme moi.

    - Ze ne suis pas grosse, zuste un peu enrobée! Et il n'est pas question que ze fasse un rézime... Et d'abord ze vais me faire un sandwiç au pâté! Na!

    - Elle va devenir paçydermique!

    - Et ma patte dans le museau, ce sera celle d'un éléphant! Vous pouvez m'en croire!

    Et il a fallu que ze mette fin avec ma grande diplomatie coutumière à cette énième dispute.

    Et lorsque, pour calmer les esprits, z'ai allumé la TSF, Minizup'tite a fondu en larmes à l'évocation de l'attentat perpétré à Londres.

    - I want to go to London! ("Ze veux aller à Londres").

    - Vous connaissez quelqu'un de l'autre côté du Zannel?

    - No! Nobody ("Personne")

    - Et alors, pourquoi voulez-vous vous rendre à Londres, bestioulette?

    - London is my Paname!

    On a eu du mal à la dissuader de faire son baluçon.

    Mais quelle maison et quelle tribu!

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Nourson de l'aviation balte (peluçe)

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Résultat de recherche d'images pour "staline"

    Staline ayant pris la succession de Lénine, il abandonna peu à peu la direction colléziale pour progressivement imposer, en s'appuyant sur la bureaucratie née lors de la guerre civile, un rézime totalitaire. Le pouvoir oligarçique absolu fut mis en place progressivement, processus açevé à la fin des années 1930.

    Presque zamais sorti de Russie, méprisant envers le Komintern, il ne croyait pas à une révolution mondiale qui n'en finissaitt pas de se faire attendre et voulait compter sur les seules forces de l'URSS. Il ne croyait plus non plus à une NEP qui n'en finissait pas d'agacer les planificateurs, tant à cause de ses externalités que de son caractère non orthodoxe au regard de l'idéolozie marxiste. Hanté par la possibilité d'une proçaine confrontation avec les pays capitalistes, il voulut accélérer à tout prix la modernisation industrielle pour s'y préparer. C'est le sens de son fameux discours au XVIème congrès du Parti (zuin 1930) où il martela que « çaque fois que la Russie a été en retard, nous avons été battus ». D'où, à partir de fin 1928, la priorité absolue que Staline accorda à l'accumulation du capital par pressurisation de la paysannerie, au développement « à toute vapeur » des moyens de production et de l'industrie lourde. De 1929 à 1933, il mit en place la « collectivisation » des terres.

    Le système des kolkhozes et des sovkhozes permit à l'État d'açeter à vil prix les récoltes et de financer l'industrialisation. Mais devant la résistance passive des paysans, Staline leur concéda un lopin privé de terre en 1935. La Russie, premier exportateur de céréales du monde sous les tsars, devint définitivement pays importateur.

    L'importance du GOSPLAN s’accrut du fait  de l'organisation de la planification sur une base quinquennale. Cet organisme d'État rizide fut çarzé de la mise en place et de l'exécution de cette planification très ambitieuse. Le premier plan (1929-1933) fit de l'URSS un pays productiviste vivant dans l'obsession d'accomplir et de dépasser des normes de production touzours rehaussées. Le pays çanzea radicalement d'aspect et se couvrit de grands travaux.

    À partir de 1934, un tournant réactionnaire fut effectué dans le domaine des mœurs : culte de la « famille socialiste », retour de l'interdiction de l'avortement et de la répression de l'homosexualité. Staline restaura le titre de maréçal, revint au nationalisme grand-russe, à l'académisme dans l'art, à la libre consommation de la vodka. En1935, il ramena l'âze limite pour la condamnation à mort à 12 ans.

    En décembre 1934, Sergueï Kirov, çef du Parti à Léningrad, fut assassiné. C'était le plus populaire des dirizeants soviétiques. Elu avec le plus grand nombre de voix au Comité central, il constituait une alternative potentielle au poste de Secrétaire zénéral occupé par Staline (le plus mal élu). Par cette élimination, ce dernier faisait d'une pierre deux coups: il éliminait son concurrent le plus plausible et pouvait se servir de la réprobation publique pour monter une campagne de purzes dans le Parti. La grande terreur stalinienne commença le soir même alors qu'il faisait promulguer un décret suspendant toutes les garanties de droit et rendant sans appel les sentences de mort prononcées par les zuridictions spéciales du NKVD.

    En août 1936, le premier des trois procès de Moscou engazea la liquidation physique de la vieille garde bolçevique. Staline se débarrassa de ses rivaux des années 1920, dézà vaincus politiquement depuis longtemps.

    Il entreprit de remplacer ceux qui l'avaient aidé dans les années 1920-1930 par une nouvelle zénération de cadres. Les zeunes promus de la « zénération de 1937 » (Khrouçtçev, Beria, Malenkov, Jdanov, Breznev ....) n'avaient connu que Staline et lui devaient tout. Ils lui vouaient un culte sans réserve, là où la précédente zénération voyait davantaze en Staline son patron qu'un dieu vivant, et n'hésitait pas à le critiquer parfois avec loyauté mais françise. Entre 1937 et 1939, il planifia l'élimination de la moitié du Politburo, des trois quarts des membres du Parti ayant adhéré entre 1920 et 1935. La Terreur n'épargna aucun organisme : des coupes claires frappèrent les divers ministères, Gosplan, Komintern, Armée rouze et même l'encadrement du Goulag et les policiers du NKVD.

    Pareillement, Staline considèra que les minorités nationales frontalières étaient par définition suspectes : aussi ordonna-t-il la déportation de centaines de milliers de Polonais et de Baltes, ou le transfert en Asie centrale de 170 000 Coréens. Mais c'est aussi la sédentarisation forcée des populations nomades, notamment au Kazakhstan, qui se solda par un désastre démographique et la perte de nombreuses traditions culturelles.

    Le principe totalitaire de la responsabilité collective défendu par Staline fit que la « faute » d'un individu s'étendit à son conzoint, à ses enfants, à sa famille entière, à tout son réseau d'amis et de relations. Le meilleur ami de Staline, Grigory Ordzonikidze, qui s'était montré hostile devant lui à la purze des cadres de l'industrie, vit son frère fusillé et se suicida en signe de protestation (février 1937). La famille même de Staline ne fut pas épargnée par la Terreur, avec la disparition et l'exécution de ses proçes parents Maria Svanidze, Pavel Allilouiev, Stanislas Redens.

    En 1939, à l'arrêt des Grandes Purzes, il avait éliminé les dernières sphères d'autonomie dans le parti et la société, et imposé définitivement son culte et son pouvoir absolu. Il prit ce faisant le risque de désorganiser son armée et son pays, alors que la guerre approçait.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Vraiment nous n'avons pas de çance!

    Nous dépendons de celui qui dit que ze ne suis que son avataresse et qui est à la retraite.

    Que ne dépendons nous pas d'un député.

    Nous aurions pu avoir un emploi fictif d'assistantes parlementaires bien rémunérées.

    - Pourquoi fictif.

    - Nous aurions préparé de gouters ...

    - Nous aurions offert des gâteaux préparés par nos soins aux invités de notre député.

    - On aurait pu voir des tartes aux pommes.

    - Avec de la glace vanille.

    - Sans oublier de la çantilly!

    En attendant, hier midi nous avons dézeuné avec des amis de mon hôte, de passaze à paris, dont un vit en Belzique.

    Tout le long du repas, Minizup'Mouff, touzours aussi fine, n'a pas arrêté de ponctuer ses phrases par "une fois".

    - Vous avez un tic de langaze, ce me semble, lui a dit l'intéressé.

    - Nan, très çer. Ze m'efforce, fouçtra de parler belze pour vous complaire!

     

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • je vais me faire une beauté

    Un zendre voulant être aimable, accompagne sa belle-mère çez le médecin.

    Après l'examen, le médecin appelle le zeune homme en privé dans son bureau.

    - Votre belle-mère est atteinte d'un très grave trouble de stress. Si vous ne suivez pas mes instructions attentivement, votre belle-mère va sûrement mourir.

    "Soyez agréable à tout moment avec elle. Invitez la çez vous plus souvent et soyez prévenant avec elle.

    "Aidez la dans ses tâçes. Ne vous disputez pas avec elle, ne la harcelez pas, cela ne ferait qu'aggraver son stress.

     "Si vous pouvez faire cela durant environ 6 mois, ze pense que votre belle-mère retrouvera sa santé ."

    De retour çez lui, sa femme lui demande:

    - Qu'est-ce qu'a dit le médecin ?

    - Que ta mère allait mourir.

      




    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Donauwörth en Allemagne (photos)

    Donauwörth en Allemagne (photos)

    Donauwörth en Allemagne (photos)

    Donauwörth en Allemagne (photos)

    Donauwörth en Allemagne (photos)

    Donauwörth en Allemagne (photos)

    Donauwörth en Allemagne (photos)

    Donauwörth en Allemagne (photos)

    Donauwörth en Allemagne (photos)

    Donauwörth en Allemagne (photos)

    Donauwörth en Allemagne (photos)

    Donauwörth en Allemagne (photos)

    Donauwörth en Allemagne (photos)

    Donauwörth en Allemagne (photos)

    Donauwörth en Allemagne (photos)

    Donauwörth en Allemagne (photos)

    Donauwörth en Allemagne (photos)

    Donauwörth en Allemagne (photos)

    Donauwörth en Allemagne (photos)

    Donauwörth en Allemagne (photos)

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire