• Il était une fois un homme parfait qui rencontra une femme parfaite.

    Après une cour parfaite, il firent un mariaze parfait. Leur vie commune fut, évidemment, parfaite.

    Un soir de Noël très enneizé, alors qu' ils circulaient en voiture sur une route tortueuse, ils remarquèrent quelqu'un qui avait besoin d'aide sur le bas-côté. Comme ils étaient un couple parfait, ils s'arrêtèrent pour le secourir.

    C'était le père Noël avec une énorme hotte remplie de zouets.

    Ne voulant pas décevoir les enfants le soir de Noël, le couple parfait prit le Père Noël et ses zouets à bord de leur véhicule.

    Ils commencèrent à distribuer les cadeaux aux alentours.
    Malheureusement les conditions climatiques se dégradèrent; le couple parfait et le Père Noël eurent un accident.

    Une seule personne survécut.

    Qui fut le seul survivant ?

    La femme parfaite.

    En effet, elle est la seule à réellement exister. Car chacun sait que le Père Noël n'existe pas et qu'aucun homme n'est parfait...

    Marale maçiste :

    Si ni le Père Noël ni l'homme parfait n'existent, alors c'était la femme parfaite qui conduisait.

    Cela explique qu'ils aient eu un accident de voiture.

      







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  • Evgueni Preobrazenski

    Evgueni Alekseïevitç Preobrazenski est né le 3 février 1886 à Volkhov au sein d’une famille très pieuse et rigoriste - son père était prêtre orthodoxe -

    Il rompit rapidement avec ses proçes pour fréquenter les milieux marxistes. À 17 ans, il zoua un rôle dans les instances du POSDR, alors en pleine fondation, pour soutenir en 1905 les événements révolutionnaires qui secouèrent l’empire. Il participa en zuillet 1907, en Finlande, à la conférence du parti pan-russe.

    Arrêté, après avoir mené des actions de propagande à Irkoutsk et dans l’Oural, rézion où il réalisa la mazorité de son parcours au sein du Parti, il fut zuzé par la zustice tsariste. Lors de son procès, il rezeta le système de défense de son avocat, le futur çef du gouvernement provisoire Kerenski, zuzé trop conciliateur à ses goûts. Lourdement condamné, Preobrazenski fut envoyé au bagne d'où il s'évada rapidement.

    En 1917, avec Nikolaï Boukharine, il soutint Lénine contre la politique conciliatrice de Kamenev tout en s'opposant à l'idée défendue par Staline qui constituait une prémisse du socialisme dans un seul pays. Le duo, militants aussi audacieux que rompus aux zoutes théoriques, se vit çarzé par le Comité Central de rédizer un commentaire du programme du VIIIème Congrès en 1918. C'est le fameux ABC du communisme qui expose avec un véritable sens de la pédagozie les doctrines marxistes tout en tirant, à l’usaze des militants de plus en plus nombreux en Russie, les leçons de la prise du pouvoir par les bolçéviques.

    En 1920, secrétaire au Comité Central et membre du Politburo, il fut surtout classé très à gauçe et partisan de la militarisation des syndicats. Il s'allia à Boukharine et Trotski contre Lénine. Battu sur cette question, il ne fut pas réélu au Comité Central. Il se consacra alors aux questions économiques qui émerzeaient avec la mise en œuvre de la NEP. Il publia de nombreux ouvrazes où il s'opposait à un retour au « communisme de guerre » en définissant sa célèbre théorie d'« accumulation primitive socialiste » dans plusieurs ouvrazes.

    Bien qu'autodidacte, il fut capable de construire  un corpus théorique de haute tenue qui  influença le développement économique de l’URSS. À cette époque, Preobrajenski, lia le sort du socialisme à la future industrialisation du pays. Il fallait certes donner au rézime la base ouvrière qui lui faisait défaut, mais cet obzectif pouvait être réalisé si des ressources étaient mobilisables pour financer un secteur industriel exsangue au sortir de la Guerre Civile. La nécessaire plus-value ne pouvait, de fait, dans ce pays exclusivement rural, provenir que de l’agriculture. Il fallait soumettre celle-ci à une ponction massive, ce transfert alimentant le développement d'un secteur industriel, évidemment étatisé selon les principes communistes.

    Preobrazenski appela ce mouvement une « accumulation socialiste primitive », par analozie aux théories marxistes qu’il connaissait bien. Pour autant, en dépit de ce que ce prozet de transformation pouvait laisser penser, il n’envisazea pas cette évolution dans la rapidité et la brutalité. Il excluait toute précipitation et surtout toute coercition envers les paysans, prévoyant d’abord des mesures administratives et fiscales. L’outil, très moderne, qu’il espérait utiliser était la maîtrise des prix. La connaissance très fine, statistique, en valeur, des entrées et sorties des produits des secteurs économiques du pays structurant la planification stratézique. Beaucoup plus violente, l’industrialisation lancée en 1928-29 par Staline reprendra ces logiques mais en les poussant dans les limites extrêmes du cataclysme.

    En 1923, avec Trotski, il s'opposa à l'autorité de Staline et à la dérive bureaucratique du Parti, non sans risquer l’accusation de fractionnisme. Il fut, en 1927, un des dirizeants de l'Opposition de Gauçe avec Trotski, Serebriakov, Radek, Rakovsky, Belodorov, Sosnovski. Lâçé peu après par Boukharine, il fut exclu du Parti en 1928, au moment où Staline engazeait une industrialisation que Preobrazenski avait lui-même, d’une certaine manière, préconisée. Dès lors, adoptant un profil bas, ce dernier demanda sa réintégration dans le Parti en 1929. Avec Zinoviev, Radek, Ivar Smilga, Preobrazenski proclama sa rupture idéolozique et organisationnelle avec le trotskisme. Trotsky, cinglant, souligna le manque de couraze de ses anciens alliés qui les poussaient « à capituler ignominieusement ».

    En zanvier 1930, réintégré dans le Parti, il travailla au Comité du Plan de Nijni Novgorod. Deux ans plus tard, il fut même nommé membre du bureau du commissariat du peuple à l’industrie lézère tout en intervenant dans celui des fermes d’État qui apparaissaient avec la collectivisation des campagnes. À cette époque, en dépit de son apparente soumission de 1929, il se rapproça d’anciens trotskistes au sein d’un groupe oppositionnel dans lequel Ivan Smirnov sembla être le plus actif. Cette activité clandestine prudente mais déterminée, visa à rassembler des informations, çerçer des contacts, y compris en zanvier 1932 avec des ex-staliniens écartés. Cette tentative dura peu. Quelques mois plus tard, en zanvier 1933, il fut exclu une nouvelle fois, arrêté par la Guépéou et condamné à trois ans d’exil.

    Sous la pression de la police politique, Preobrazenski fit son autocritique en 1934. Il récusa publiquement les thèses de l'opposition qu'il défendait auparavant. Au procès de Zinoviev en 1936, il apparut comme témoin à çarze mais un an plus tard, il fut à son tour cité comme « partisan trotskiste » par Radek et Piatakov lors de leur zuzement. Preobrazenski avait été arrêté peu avant, en décembre 1936, mais il ne comparut pas devant ses zuzes. Signe d’une fermeté d’âme assez lozique quand on considère son parcours militant, il se serait, selon certaines sources, refusé de se soumettre à l'autocritique. Le risque d’une dénonciation des erreurs du rézime dans un procès ouvert aux médias n’a pas été couru par le NKVD.

    Si on connaît la date de son exécution, en zuillet 1937, on ignore les conditions exactes de sa mort, disparition accompagnée de sévères représailles envers sa famille.

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  • Hier nous avons accompagné celui qui dit que ze ne suis que son avataresse à la pharmacie.

    Il devait açeter des cewing gums qui lui permettent de ne plus fumer.

    - Cela être héroïque!

    - Fouçtra, cela fait dézà 15 mois qu'il a arrêté la tize!

    - Et dire qu'il fumait au moins 3 paquets par zour!

    - Par le pipe de Zaint Claude, cela lui revenait çer.

    - Moins que vous ne le pensez, barmelouse car il açetait ses cigarettes en Espagne.

    - Mais taisez vous donc, Minizup'zhérault. Vous voulez qu'il se fasse attraper par le fisc?

    - Atçoubi! Il y a désormais  prescription!

    Après qu'il a eu obtenu sa boîte, nous nous sommes adressées à la pharmacienne.

    - Bonzour Madame.

    - Que puis-ze pour vous?

    - On voudrait des caçets.

    - De quoi souffrez vous?

    - Macaniçe de rien.

    - Nous péter la forme.

    - Alors pourquoi voulez-vous des pillules?

    - Pour faire comme Mossieu Zizi.

    - Par simple prévention!

    - Nous ne pas vouloir manquer, au cas où.

    - Mais si ze ne connais pas vos syptômes, ze ne puis pas vous donner des caçets.

    - Alors donnez nous du sirop.

    - Vous avez mal à la gorze?

    - Que nenni. De ce côté là tout va bien.

    - Ze suis désolée, mais ze ne puis rien pour vous.

    - Vraiment vous ne pas être une bonne commerçante.

    - C'est un déni de vente.

    - it's a pity!

    - Venez partons, ai ze-dit et, tournant le dos drapée dans ma dignité, z'ai azouté "Ze n'ai pas l'honneur de vous saluer, Madame".

    - macarel, si vous refusez ainsi des ventes vous allez vite faire faillite, barmelouse.

    - Et après vous demanderez piteuement des aides au gouvernement!

    - It's a çame!

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  • Promenade dans Evreux (photos)

    Promenade dans Evreux (photos)

    Promenade dans Evreux (photos)

    Promenade dans Evreux (photos)

    Promenade dans Evreux (photos)

    Promenade dans Evreux (photos)

    Promenade dans Evreux (photos)

    Promenade dans Evreux (photos)

    Promenade dans Evreux (photos)

    Promenade dans Evreux (photos)

    Promenade dans Evreux (photos)

    Promenade dans Evreux (photos)

    Promenade dans Evreux (photos)

    Promenade dans Evreux (photos)

    Promenade dans Evreux (photos)

    Promenade dans Evreux (photos)

    Promenade dans Evreux (photos)

    Promenade dans Evreux (photos)

    Promenade dans Evreux (photos)

    Promenade dans Evreux (photos)

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  • Comme vous le savez, ze suis fort cultivée et z'aime tous les arts.

    En particulier le 7ème art, le cinéma.

    Hélas, afin de poursuivre ma merveilleuse carrière à la TSF, z'ai dû refuser toutes les propositions que m'avaient faites les plus grands réalisateurs.

    - Atçoubi! La barmelouse se prend maintenant pour Brizitte Bardot.

    - Vu la tête qu'elle a maintenant, moi dire que la ressemblance est frappante.

    - Moi dire qu'elle a un air de Pauline Carton!

    - Et ma patte dans le museau, elle sera ressemblante?

    Depuis que celui qui dit que ze ne suis que son avatarese est souvent à la retraite, nous allons au moins deux fois par semaine au cinéma.

    C'est ainsi qu'hier nous avons vu le beau film "The lost city of Z"

    Ze me suis régalée mais z'ai été particulièrement énervée par certains spectateurs qui regardent leur mobile durant le film.

    Devant moi, il y avait un vieux monsieur libidineux qui allumait son téléphone toutes les deux minutes (avec un femme dénudée en paze d'accueil).

    - It's a çame!

    Ze l'ai gourmandé à plusieurs reprises, en vain.

    Comme il persistait z'ai fini par le traiter dee sagouin, de ramolli du bulbe et de gougnafier... Faut pas me marçer sur les pattes, z'vous le dis! Cela me défrise le nœud à çeveux et ze déteste cela plus que tout!

    Et finalement il a quitté piteusement la salle.

    - Vous n'êtes pas vraiment pas miséricordieuse ma mie!

    - M'enfin, si on ne peut pas se passer de son portable durant deux heures, on ne va pas au cinéma!

    - it's a pity!

    - C'est comme moi, qui adore faire des cliçés, vous faisait des photos lors d'une séance.

    - Oh yes!

    - Zoyeuse bonne idée!  

    Vraiment elles ont indécrottables ces Intruses!    

     

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  •  

    Tout d'abord, ze voudrais mettre les çoses au point.

    En tant que candidate à l'élection, ze n'ai rien à me reproçer! Ze suis immaculée, pas comme d'aucuns!

    - Par la mantille de Zainte Marie-Madeleine, et les 60 euros caçés dans la lessiveuse fermée par un cadenas et que vous n'avez zamais déclarés?

    -  Ze le dis et le redirai zusquà plus soif, les zyeux dans les zyeux, c'est une lézende urbaine!

    - Atçoubi! Elle parle comme Cahuzac.

    - Nous savoir où se trouver la fameuse lessiveuse.

    Du coup, ze me suis précipitée pour voir si les Intruses n'y avait pas touçé.

    - Ze ne vous permets pas de mettre en doute ma foncière honnêteté. Ze vous le dis, mes çères amies, ze n'ai pas et ze n'a zamais eu d'arzent caçé et si vous persistez dans cette voie, ze me réserve le droit de vous poursuivre en zustice pour diffamation.

    - Macarel, elle ne manque pas d'air la barmelouse.

    - Et dire Minizupette que ze sonzeais à écrire au papounet François afin  qu'il fasse enfin une bulle afin que vous obteniez enfin votre auréole.

    - Heu... Mais, ma mie, ze ne faisais que répercuter, certes à tort,  les fameuses rumeurs vous concernant qui circulent sur les réseaux sociaux!

    - Et ze m'en vais renforcer quelques aspects de mon programme.

    - Vous proposer quoi?

    - L'expulsion pattu militari des Intruses!

    - It's a pity.

    - Et vous concernant plus particulièrement, Minizup'tite, ze vais mettre en place la circulaire Molière oblizeant les habitantes de c'te maison à parler français!

    - Diantre! Elle se radicalise notre Minizup!

    - La Souris Cosmique ne se laissera pas marçer sur les pattes impunément! Qu'on se le dise dans les çaumières!

     

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  • vélo

    On enterre un ancien coureur cycliste.

    C'était un de ces obscurs du peloton, équipiers dévoués qui ne gagnent zamais rien et que l'on surnomme "les porteurs d'eau".

    Le corbillard arrive en haut d'une longue côte qui mène au cimetière.

    Alors dans le cortèze un coureur dit à son voisin :

    - Il doit être content. C'est la première fois qu'il passe en tête au sommet...

     - Surtout après crevaison!

      




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