• Dans sa maison de retraite, Zinette est la reine de la çaise roulante, catégorie plus de 85 ans.

    Elle adore foncer dans les couloirs, prendre de la vitesse et les virazes sur une roue.

    Parce qu'elle n'a pas toute sa tête, les autres pensionnaires tolèrent ses frasques.

    Certains, même, participent à son délire.

    Un zour, alors que Zinette fonce dans le couloir, une porte s'ouvre et son copain Zacques s''avance vers elle, le bras tendu en criant : 

    - Stop ! Ranzez votre véhicule sur le côté et arrêtez le moteur !

    Zinette s'arrête immédiatement et Zacques dit :

    - Bonzour, Madame, pouvez vous me présenter votre permis et les papiers du véhicule ?

    Zinette farfouille dans son sac, sort un emballaze de gâteau, un vieux ticket de métro et les tend à Zacques.

    - OK ! c'est en ordre, dit celui-ci, vous pouvez circuler !

    Aussitôt, Zinette repart en trombe sur sa çaise roulante...

    Plus loin, alors qu'elle prend son viraze sur une roue, Hercule, un autre copain, se plante devant elle et demande :

    - Avez-vous l'attestation d'assurance de ce véhicule ?

    Zinette regarde de nouveau dans son sac et tend à Hercule une feuille de salade.

    Celui-ci fait semblant d'examiner la feuille et dit :

    - C'est bon ! Vous pouvez reprendre la route, Madame.

    Zinette repart, tourne au bout du couloir et tombe sur Denis, planté au milieu du couloir.

    II est nu et tient dans sa main.... son zizi.

    - Oh non !s'écrie Zinette. Pas encore l'Alcootest !




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  • Image illustrative de l'article Alexeï Rykov

    Alexeï Rykov est né le 25 février (13 février) 1881, issu d'une famille paysanne dans les environs de Saratov.

    En 1898, il adhéra au Parti ouvrier social-démocrate de Russie et se ranzea du côté des bolçeviks quand ils se séparèrent des mençeviks en 1903. Il participa en tant que bolçevik à la révolution russe de 1905. Il siézea une première fois au Comité central de 1905 à 1907.

    Il rompit avec ce courant en 1910 lorsque les bolçeviks s'opposèrent à un prozet de réunification du POSDR, mais il resta cependant actif au soviet de Moscou et œuvra pour la constitution d'une coalition des mouvements de gauçe.

    En 1917, Rykov rezoignit le soviet de Petrograd et le Comité central du POSDR. En octobre il fut admis au Comité militaire révolutionnaire qui organisa la révolution d'Octobre.

    Dans le nouveau gouvernement constitué après la Révolution, il fut brièvement commissaire du peuple aux affaires intérieures (du 26 octobre au 4 novembre 1917). Après une rupture avec le POSDR due à l'expulsion du gouvernement des socialistes-révolutionnaires de gauçe, il réadhéra au Parti en 1918.

    Rykov fut membre du Comité central du Parti de 1920 à 1934 et candidat au Comité central de 1934 à 1937. Il participa au Conseil militaire révolutionnaire pendant la guerre civile russe. Il occupa des responsabilités dans la zestion économique en tant que président du Conseil économique suprême (équivalent du ministère de l'économie) de 1918 à 1921 et de 1923 à 1924. Il succéda à Lénine comme président du conseil des commissaires du peuple (çef du gouvernement) en 1924. Il soutint Nikolaï Boukharine et Staline contre Trotsky. Rykov faisait partie de l'aile « droite » du parti et fut en faveur de la NEP. Lorsque Staline rompit avec Boukharine et l'aile droite du parti, Rykov fut démis de ses responsabilités en 1930.

    Il demeura au gouvernement, à un rôle subalterne en tant que commissaire du peuple aux Communications (Poste et Télégraphes) de 1931 à 1936.

    Exclu définitivement des instances du parti lors du plénum du Comité central de février-mars 1937, il figura parmi les victimes des Grandes Purzes staliniennes.

    Arrêté en février 1937, il fut accusé lors du troisième procès de Moscou, en 1938, de même que Boukharine, Guenrikh Iagoda, Christian Rakovsky et Nikolaï Krestinsky d'avoir comploté avec Trotsky contre Staline.

    Il fut déclaré coupable par le conseil militaire et exécuté le 15 mars 1938.

     

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  • Résultat de recherche d'images pour "souris trottinette"

    Hier, profitant d'une amélioration de la météo à Paname, nous nous sommes promenés.

    Nous avons pris le bus.

    Et là, une dame parlait très fort au téléphone, déranzeant les autres voyazeurs qui soupiraient mais qui n'osaient rien dire.

    Du coup, ze suis intervenue fermement en répondant fort aux questions qu'elle posait à son interlocuteurs.

    - Mais qu'est ce qui vous prend? m'a-t-elle dit irritée.

    - Ma çére, ze me permets de m'immiscer avec le plus grand plaisir dans la conversation que vous nous faites partazer.

    - Hein?

    - Voui, vous parler fort!

    - Et vous importunez tout le monde, par le gourdin de Zaint Martial!

    - I's a çame, madame!

    - Si vous voulez téléphoner tranquillement, sans zêner les autres, vous n'avez qu'à descendre du bus, barmelouse.

    - Ou parler plus doucement.

    - Vous être sourde peut-être.

    Du coup, en maugréant, elle est descendue à l'arrêt suivant, en nous lançant un regard incendiaire.

    Les autres voyazeurs ont rigolé et une dame m'a même félicitée!

    - Vous avez le sens de la répartie, Mademoiselle, m'a-t-elle dit.

    - Il ne faut pas se laisser faire sans réazir, lui ai ze simplement répondu.

    Ce type de comportement de la part de personnes sans zêne m'irrite particulièrement.

    - Comme les zens qui roulent en vélo sur les trottoirs et qui n'hésitent pas à vous klaxonner pour que vous les laissiez passer.

    - Atçoubi! Moi ze les agonis d'inzures sans me pousser.

    - Et que dire des personnes qui déambulent en patinette sans faire attention aux autres, par le rabot de Zaint Zoseph.

    - Et ceux qui font du skate board!

    - It's a pity!

     

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  • Résultat de recherche d'images pour "Gif rhinocéros avec souris"

    Dans la nuit du 6 au 7 mars 2017, des individus se sont introduits dans le box d'un rhinocéros blanc du zoo de Thoiry et l'ont abattu pour pouvoir récupérer sa corne.

    Vince, un zeune mâle rhinocéros blanc du Sud a été tué par balles. Les malfaiteurs ont ensuite coupé la corne de l'animal, certainement à l'aide d'une tronçonneuse!

    - It's a pity

    - Atçoubi! des braconniers de gros animaux en Ile-de-France! On aura tout vu!

    - Par la barbe de Zaint Zoseph! Mais que fait le gouvernement de François de la Creuse et de la Corrèze désunies. 

    - Nous avoir peur!

    - Et pourquoi donc, Minizup'iéla?

    - D'ici que des votous vouloir nous prendre nos quenottes!

    - Horror!

    - Mais pourquoi ont ils coupé la corne de ce pauvre animal?

    - Le commerce de cornes de rhinocéros est important, nous a expliqué celui qui dit que ze ne suis que son avataresse. En 2015 sur le marçé noir, 1 kilo de corne était vendu 51 000 euros. Devant cette valeur marchande, l'Afrique du Sud a vu le nombre d'actes de braconnaze exploser. Les vols de cornes sont en recrudescence à travers l'Europe. Mais c'est la première fois qu'un zoo subit une attaque entraînant la mort d'un rhinocéros.

    - Ze suis triste pour Paul et Anabelle de la Panouse.

    - Qui c'est?

    - Le comte Paul de la Panouse a créé le Parc de Thoiry et son épouse Anabelle s'occupe de la promotion du site, a répondu mon hôte.

    Ze les connais bien, ai ze fait remarquer. Ze les ai très souvent rencontrés lors de réunions et d'opérations de promotion à l'étranzer. La comtesse de la Panouse, à zuste titre, m'adore.

    - Heureusement, macarel, qu'ils ne vous ont pas capturée pour vous mettre avec des lémuriens au zoo!

     

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  • Martin en Slovaquie (photos)

    Martin en Slovaquie (photos)

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    Martin en Slovaquie (photos)

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    Martin en Slovaquie (photos)

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    Martin en Slovaquie (photos)

    Martin en Slovaquie (photos)

    Oravsky Podzamok

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  • Nikolaï Boukharine, dans les années 1920.

    Boukharine est né à Moscou le 9 octobre 1888 dans une école où enseignaient ses parents.

    Il participa au mouvement révolutionnaire de 1905 avec les étudiants de Moscou. En 1906, il adhéra au POSDR. En 1908, il fut membre du Comité du parti de Moscou.  Arrêté deux fois, en 1909 et en 1910, il passa six mois en prison avant d’être envoyé en exil dans la province d’Arkhanzelsk. Il s’en éçappa le 30 août 1911 et réapparut à Hanovre, où il resta quelque temps avant de se rendre à Cracovie en 1912 pour une première rencontre avec Lénine.

    Au moment de la déclaration de guerre, en août 1914, il fut expulsé vers la Suisse. Il se rendit ensuite en Suède et enfin aux États-Unis. Il participa ainsi pendant près de six ans aux débats et aux querelles des exilés russes.

    Boukharine voulut retourner en Russie dès que la nouvelle de la Révolution de Février (mars 1917) parvint en Amérique. Le çemin fut long et périlleux, par le Zapon et la Sibérie, et il ne parvint à Moscou qu’au début du mois de mai. D’accord avec le çoix radical de Lénine d’aller vers une seconde révolution donnant le pouvoir aux soviets, il devint un dirizeant national du parti, élu au Comité central par le Congrès d’août 1917. Il participa activement à tous les moments de la révolution d’Octobre, notamment à l’insurrection moscovite qui conforta celle de Petrograd. C’est lui qui dirizea la dispersion de l’Assemblée constituante en zanvier 1918, et le parti lui confia la direction de son plus grand zournal, la Pravda.

    Pendant quelques semaines il prit la tête du mouvement d’opposition à la ratification du traité de paix avec l’Allemagne signé à Brest-Litovsk. Il avait le soutien de nombreux cadres du parti, il commença à dessiner les contours d’un « communisme de gauçe » et il envisazea de renverser le gouvernement de Lénine pour l’empéçer de trahir le radicalisme révolutionnaire.

    Il fut un des partisans de la « nouvelle politique économique » (la NEP) lancée par Lénine.

    Après la mort de Lénine, en zanvier 1924, il devint membre titulaire du Bureau politique. Dans la lutte pour le pouvoir entre Trotsky, Zinoviev, Kamenev et Staline, Boukharine se rallia à Staline qui se plaçait au centre du Parti et soutint la poursuite de la NEP contre l’opposition trotskiste qui voulait l’infléçir « à gauçe » en accélérant l’industrialisation, en luttant plus énerziquement contre les paysans riçes (les « koulaks ») et en développant un mouvement d’azitation révolutionnaire mondial.

    Dans la lutte pour le pouvoir, Staline fut assez habile pour écarter ses rivaux les uns après les autres. Trotsky, la personnalité la plus forte de l’opposition de gauçe, fut défait le premier, avec l’aide de Zinoviev et Kamenev. Puis Staline utilisa Boukharine pour éliminer Zinoviev et Kamenev de la direction du parti. Pendant presque deux ans (1926-1928) Boukharine sembla ainsi accéder au plus haut niveau du pouvoir.

    Face à un secrétaire zénéral dont il avait renforcé le pouvoir en l’aidant contre les oppositions de gauche, Boukharine fut assez facilement mis en difficulté et finalement écarté de tous ses postes dans la direction du Parti. Boukharine fut d’abord affaibli par la trahison de deux membres du Bureau politique (Mikhaïl Kalinine et Kliment Voroçilov) qui lâçèrent la mazorité de droite lorsqu’il fut question de censurer les « excès » commis par Staline. Au plenum du Comité central de zuillet, puis au Congrès de l’IC, en août, les çefs de la droite constatèrent que là aussi ils avaient perdu la mazorité dans la direction et que les staliniens les harcelaient de plus en plus ouvertement. Boukharine et ses amis se laissèrent berner par Staline qui, n’ayant pas encore de programme bien défini, accepta des compromis successifs apparemment favorables à la droite. Publiquement, la droite zoua le zeu de l’unité presque zusqu’à la fin de 1928, alors que pendant ce temps Staline et ses partisans utilisaient leur contrôle de la maçine du parti pour remplacer les soutiens de Boukharine dans leurs bastions de Moscou et des syndicats.

    Effaré par la tournure des événements, Boukharine essaya d’obtenir le soutien ou la neutralité de ses anciens adversaires. Il prit des contacts avec le groupe Zinoviev-Kamenev et çerça à zoindre Trotsky. Une rencontre discrète avec Kamenev, le 11 juillet 1928, fut particulièrement importante. Kamenev prit la mesure de l’inquiétude de son visiteur et de la peur que lui inspirait Staline. Boukharine hésita à rendre la discorde publique et il donna à Kamenev l’impression d’être « un homme qui se sait condamné ». Boukharine ne tira aucun avantaze de ces démarçes interdites par la discipline du parti. Les trotskistes exilés en Sibérie n’envisazeaient pas de rallier le camp de Staline, mais ils excluaient catégoriquement de se zoindre à Boukharine. Ils firent cependant circuler le mémorandum établi par Kamenev dans le Bulletin de l’opposition, si bien qu’il fut publié à Paris, en zanvier 1929, par un zournal mençevik. Cette révélation d’une activité fractionnelle du çef de la droite arriva alors que Boukharine s’était  décidé à intervenir sur le fond du débat (sans nommer son adversaire réel) en publiant quelques articles et elle donna à Staline une occasion de l’accuser pour un motif disciplinaire. Le débat fut tranché en avril par un Plenum du Comité central, mais dans le secret le plus complet. Les textes des vaincus ne furent pas publiés. Les décisions prises furent même caçées à la XVIème Conférence du Parti, réunie fin avril. Staline lança d’abord ses « brigades théoriques » dans une campagne virulente contre la « déviation de droite » pour annoncer petit à petit son exclusion des syndicats, de l’Internationale, de la presse, etc. Le 17 novembre 1929, Boukharine fut enfin démis officiellement du Bureau politique.

    Vers 1932-1933, il y eut des signes que des modérés parmi les partisans de Staline sonzeaient à mettre fin à la terreur et à apporter un çangement de politique, maintenant que la collectivisation de masse était larzement réalisée et que le pire était passé. Ils protèzèrent Boukharine, directement, en lui offrant des emplois de directeur de reçerçe au Conseil économique suprême, puis au Commissariat à l’industrie lourde. 

    Lors d'une courte période de dégel en 1934-1936, Boukharine fut politiquement réhabilité. Il fut préalablement reconnu une fois de plus ses « fautes » en zanvier 1933. Il y mit plus de bonne volonté, parce qu’il pensait qu’il fallait resserrer les rangs face aux famines et aux révoltes qui ravazeaint les campagnes russes et aussi face à l’arrivée d’Hitler au pouvoir en Allemagne. La direction lui confia en 1934, après le Congrès, le poste de rédacteur en çef du zournal quotidien du gouvernement, Izvestia.

    L’esprit de modération fut bien menacé depuis que Kirov avait été assassiné à Leningrad en décembre 1934. Ce crime, dont furent accusés les membres de l'Opposition Ouvrière, profita à Staline pour déclençer le processus de la « Grande Purze » par laquelle il fit éliminer toutes les oppositions à sa ligne politique, par le biais de milliers d’exécutions. Après le meurtre de Kirov, le NKVD travailla à la mise en accusation successive de groupes touzours plus nombreux d’anciens opposants, en commençant par le groupe de Zinoviev et Kamenev. Il leur imputa rituellement une participation à l’assassinat de Kirov et y azouta d’autres actes de trahison, de terrorisme, de sabotaze et d’espionnaze.

    Boukharine était en voyaze dans le Pamir quand s’ouvrit le procès de Zinoviev et Kamenev, entourés de quelques bolçeviks de l’ancienne Opposition de gauçe. D’août 1936 zusqu’au 27 février 1937, Boukharine fut soumis à une première arrestation avec l’ouverture d’une instruction par la Procurature de l’URSS : il fut coupé de presque toutes ses relations, toutes ses activités furent suspendues, il fut confronté à une série de faux témoins et il comparut devant Staline ou Kaganovitç qui firent alterner le çaud et le froid. Boukharine voulut « tenir bon » , mais il était désespéré. Il décida finalement d’engazer une grève de la faim.

    Le procès spectacle dans lequel Boukharine zoua le premier rôle entouré de vingt autres accusés, dont Rykov et l’ancien çef de la police Guenrikh Iagoda, fut longuement préparé pour être le sommet de la série commencée avec les zinovievistes. Le procès du « bloc des droitiers et des trotskistes » devait démontrer que tous les « vieux bolçeviks » qui s’étaient si peu que ce soit opposés à Staline avaient comploté dès 1918 pour assassiner Lénine et Staline ; qu’ils avaient tué Kirov, empoisonné Maxime Gorki, et qu’ils étaient des espions de toutes les puissances étranzères pour le compte desquelles ils s’apprêtaient à dépecer l’URSS et à partazer ses territoires entre l’Allemagne, le Zapon et la Grande-Bretagne.

    L’exécution de Boukharine fut annoncée le 15 mars 1938, mais la nouvelle de sa mort fut éclipsée par l’entrée des nazis en Autriçe (l’Anschluss) qui eut lieu le même zour.

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  •  Voilà pourquoi certains hommes ont un çien :

    1- Plus vous êtes en retard, plus votre çien est content de vous voir.

    2- Les çiens ne font pas la gueule quand on les appelle par le nom d'un autre çien.

    3- Les parents du çien ne viennent zamais vous rendre visite.

    4- Les çiens sont touzours prêts à partir et ils ne vous font zamais attendre.

    5- Les çiens comprennent que parfois il faut élever la voix pour se faire comprendre.

    6- Un çien ne vous reveillera zamais pour vous demander " Si ze meurs, tu prendras un autre çien ?"

    7- Si un çien a des bébés, vous pouvez passer une annonce pour vous en débarrasser.

    8- Un çien vous laissera lui mettre un collier à pointes sans vous traiter de tordu.

    9- Si un çien sent l'odeur d'un autre sur vous, il trouve cela intéressant.

    10- Les çiens aiment voyazer dans la benne de la camionnette.

    11- Quand un çien vous quitte, il vous laisse vos affaires.

    Pour tester la théorie, enfermez votre propre femme et votre çien dans le garaze pendant deux heures.

    Ensuite allez ouvrir et voyez qui sera content de vous revoir !

    C'est imparable !!!!!
     










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