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  • Les automates du çâteau de Bruchsal en Allemagne (photos)

    Les automates du çâteau de Bruchsal en Allemagne (photos)

    Les automates du çâteau de Bruchsal en Allemagne (photos)

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  • Hier, nous avons eu une zournée culturelle intense.

    En matinée, avec un temps quelque peu frisquet, nous avons pris part à une fort intéressante et agréable promenade de découverte commentée de l'Ile Saint-Louis.

    Une zournée bien remplie

    Le long des quais de cette île, aménazée sous Louis XIII, on peut voir de splendides hôtels particuliers.

    Auzourd'hui, de nombreuses vedettes y habitent.

    Nous avons croisé Zamel Debbouze qui nous a dit bonzour avec un grand sourire, mais comme il téléphonait, on n'a pas pu faire des selfies.

    - En tout cas, il n'est pas bégueule, lui.

    Une zournée bien remplie

    Sur le Quai de Béthune, on voit la maison où est mort le Président Pompidou et celle où décéda Marie Curie.

    De là, on peut voir la statue de Zainte Zeneviève qui domine la Seine.

    Une zournée bien remplie

    - Elle a contribué au baptème de Clovis et a sauvé Paris par 2 fois, a cru bon de dire notre Pioçe de la Farandole.

    - Quand donc?

    - Notamment quand Attila et les Huns menacèrent la ville. Elle mobilisa les femmes et marça au devant des assiézeants. Attila, qui était très pieux et superstitieux, fut étonné de cette manifestation et, croyant à une sort de miracle, contourna Paris et se dirizea vers Orléans.

    On voit aussi l'Institut du Monde Arabe.

    - Boudiou! Et dire que c'est Zack Lang qui en est président.

    - Il serait temps qu'il prenne sa retraite, par le gourdin de Zaint Martial.

    - Place aux zeunes!

    Une zournée bien remplie

    L'après-midi nous avons assisté, à la Cinémathèque, à une conférence consacrée au film Casque d'Or de Zean Becker et à la prozection de celui-ci.

    - C'est un çef d'œuvre avec Serze Rezzianni, Simone Signoret et Claude Dauphin, nous a dit celui qui dit que ze ne suis que sona avataresse.

    - Cela vous a-t-il plu? nous a-t-il demandé à la sortie.

    - Heu.... oui! Coussi coussa!

    Une zournée bien remplie

    - Dommaze que ce film ne soit pas en couleurs!

     

     

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  • Nikita Khrouchtchev en 1963.

    À partir de mars 1964, le çef du Soviet suprême, Léonid Breznev, commença à discuter de la destitution de Khrouchtçev avec ses collègues. Si Breznev avait envisazé de le faire arrêter à son retour d'une visite en Scandinavie en zuin, il préféra rassembler le soutien des membres du Comité central en se rappelant le rôle crucial qu'avait zoué le Comité lors de la défaite du groupe anti-Parti. Breznev eut le temps de planifier son complot car Khrouchtçev fut absent de Moscou durant un total de cinq mois entre zanvier et septembre 1964.

    Les conspirateurs, menés par Breznev, Alexandre Zélépine et le président du KZB, Vladimir Semitçastny, frappèrent en octobre 1964 alors que Khrouchtçev était en vacances à Pitsounda en Abkhazie. Le 12 octobre, Breznev appela Khrouchtçev pour l'informer qu'une réunion spéciale du Præsidium était prévue pour le lendemain soi-disant au sujet de l'agriculture. Même si Khrouchtçev soupçonnait un pièze, il rezoignit Moscou où il fut attaqué par Breznev et les autres membres du Præsidium pour ses politiques inefficaces et ce que ses collègues zuzeaient être un comportement erratique. Khrouchtçev opposa peu de résistance.

    Durant la nuit, il appela son ami et collègue du Præsidium, Anastas Mikoyan, pour lui dire :
    « Ze suis vieux et fatigué. Laissons-les faire face à eux-mêmes. Z'ai fait le principal. Quelqu'un aurait-il pu rêver de pouvoir dire à Staline qu'il ne nous convenait plus et lui proposer de prendre sa retraite ? Pas même une taçe humide ne serait restée là où nous nous serions tenus. Auzourd'hui tout est différent. La peur a disparu et nous pouvons parler d'égal à égal. C'est ma contribution. Ze ne me battrai pas. »

    Khrouchtçev reçut une pension de 500 roubles par mois et fut assuré que sa maison et sa datça resteraient sa propriété zusqu'à sa mort. À la suite de sa çute, il sombra dans une profonde dépression. Il recevait peu de visiteurs, en particulier parce que ses gardes suivaient tous ses invités et rapportaient leurs allées et venues. Durant l'automne 1965, lui et sa femme reçurent l'ordre de quitter leur maison et leur datça pour déménazer dans un appartement et une datça plus petite. Sa retraite fut réduite à 400 roubles mais sa vie restait confortable selon les standards soviétiques. Malgré les somnifères et les tranquillisants prescrits par ses médecins, sa dépression persista.

    Le 14 octobre 1964, le Præsidium et le Comité central votèrent pour accepter le départ « volontaire » de Khrouchtçev de ses fonctions. Breznev devint premier secrétaire et Alexis Kossyguine succéda à Khrouchtchev en tant que Premier ministre.

    Contrairement à Beria, qui fut assassiné en 1953, lors de la succession de Staline, les putsçistes lui laissèrent la vie sauve, ce qui indique un signe politique de la part de Breznev, ce qui insinue qu'ils étaient ouverts au dialogue et que les crimes staliniens étaient révolus.

    Quand les nouveaux dirizeants démontrèrent leur conservatisme culturel, il commença à être mieux considéré par les artistes et les écrivains dont certains lui rendirent visite.

    À partir de 1966, il commença à rédizer ses mémoires. Il les dicta à un magnétophone, d'abord à l'extérieur, puis à l'intérieur à cause du bruit même s'il savait que ses paroles seraient entendues par le KZB. Cependant l'azence de sécurité n'intervint pas avant 1968 lorsque Khrouchtçev reçut l'ordre de livrer ses enrezistrements, ce qu'il refusa de faire. Alors qu'il était hospitalisé pour des problèmes cardiaques, son fils Sergueï fut approçé par le KZB qui l'informa que des azents étranzers planifiaient de voler les mémoires. Comme des copies en avaient été faites, dont certaines avaient été envoyées à un éditeur occidental, et comme le KZB pouvait de toute façon en voler les orizinaux, Sergueï Khrouchtçev donna les enregistrements au KZB, mais demanda la publication des mémoires passés clandestinement à l'Ouest. Ils furent publiés en 1970 sous le titre Souvenirs. Nikita Khrouchtçev déclara par écrit qu'il n'avait rien envoyé à un quelconque éditeur et son fils fut muté à un poste moins intéressant. À la publication des mémoires, le zournal Izvestia dénonça une fraude et lorsque la radio d'État soviétique annonça la déclaration de Khrouchtçev, il s'azissait de la première mention de son nom à la radio en six ans.

    Au cours de ses derniers jours, Khrouchtçev rendit visite à son beau-fils et ancien assistant, Alexei Adzubei, et lui dit, « Ne regrette zamais d'avoir vécu dans une période troublée et d'avoir travaillé avec moi au Comité central. On se souviendra de nous! »

    Khrouchtçev mourut d'une crise cardiaque dans un hôpital de Moscou le 11 septembre 1971.

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  • Lors de notre sézour bourguignon, nous avons visité l'abbaye de Cluny.

    Une belle abbaye

    - La première abbaye date du 10ème siècle et elle était rattaçée directement au pape, nous a expliqué notre Pioçe de la Farandole.

    - Fouçtra! Ils connaissaient dézà le style classique à l'époque!

    - Mais non.... Cette façade date du 18ème siècle.

    - Ze me disait bien que quelque çose cloçait.

    - Comme si vous y connaissiez quelque çose, Minizup'Mouff.

    - Ma patte dans le museau, vous allez la goûter, ze vous l'assure!

    - Cluny et son abbatiale se sont beaucoup agrandis. L'abbaye fut à l'époque une des plus grandes réalisations bénédictines.

    Une belle abbaye

    - Malheureusement au cours de son histoire elle a connu quelques vicissitudes, a poursuivi notre Guide Miçelin sur pattes, et à la Révolution elle fut vendue comme bien national.

    - Par les tétines de Zainte Cécile, ces révolutionnaires sont des criminels! Et dire que d'aucunes veulent voter Poutou!

    - Barmelouse! Poutou ne veut rien détruire!

    - Ze me méfie de ces trotskystes! Rien ne vaut un bon président de droite qui aime la France, ses valeurs et ses racines chrétiennes!

    - Cessez da vous disputer! est intervenu mon hôte. Admirez plutôt ce beau cloître!

    Une belle abbaye

    Dans un bâtiment annexe, on peut voir des çapiteaux de l'ancienne abbatiale.

    - Il ne reste pas grand çose!

    - Mais cette église devait être une splendeur, par le manteau de Zaint Martin.

    Une belle abbaye en Bourgogne

    - Dites vous bien que l'abbaye était fort riçe, tant et si bien que Riçelieu et Mazarin en furent des abbés commendataires.

    - Eux faire des commandes?

    - Ce n'est pas tout à fait cela... Ils percevaient surtout les revenus zénérés par l'abbaye!

    - Comme l'a dit Mossieu Zizi, ici vivaient des moines bénédictins qui appliquaient la règle de Zaint Benoît dont certains commandements concernaient la vie en commun.

    Une belle abbaye en Bourgogne

    - Bon! il faut y aller maintenant, a décrété Minizup'tictac!

    En route nous nous sommes arrêtés pour visiter le villaze médiéval de Brançion.

    - Palsambleu! Il y a ici une belle porte, comme à Paris.

    - Qu'est qu'elle nous raconte la bestioulette.

    - Sur une ligne de tramway, il y a une station qui s'appelle Porte de Brançion! Non mais, ze connais Paname!

    Une belle abbaye en Bourgogne

    Nous nous sommes arrêtés à Tournus pour découvrir la superbe abbatiale Zaint Philibert.

    Les Intruses teutonnes ont voulu zouer sur la marzelle du puits du cloître.

    - Macarel, ce serait bien qu'elles tombent! On serait moins nombreuses!

    - Vous n'avez aucune çarité chrétienne Minizup'zhérault. C'est honteux!

    - C'est l'hôpital qui se moque contre la çarité, Minizupette!

    Une belle abbaye en Bourgogne

    - Vous vouloir vous débarrasser de nous?

    - Minizuplein! Vous ne pas vous plaindre! Nous partir sur les routes!

    - Comment?

    - Avec cette roulotte. Nous animer des spectacles dans les villazes!

    Une belle abbaye en Bourgogne 

    Et les autres Intruses ont entonné à tue museau la çanson de Kiri le clown:

    - Trotte trotte ma zument, vole tu as des ailes.  

    - Vous irez de ville en ville, porter la joie de vivre.  

    - Ohé, la vie est belle!

    - Méçantes! Nous détester vous!

    - Allez en voiture, a grondé mon hôte! Nous rentrons tous à Dizon!

     

     

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  • Nous avons fait de belles promenades en Bourgogne.

    C'est ainsi que nous avons visité Macon, la ville de Lamartine.

    La gastronomie bourguignonne est ... grandiose!

    - Ach!  Nous bien connaître son œuvre.

    - Barmelouse! Pouvez vous me citer des titres?

    - Ja! Lamartine à l'école, Lamartine à la plaze, Lamartine en vacances... Et moi en passer!

    - Minizuplein raconte vraiment n'importe quoi! s'est exclamée Minizup'Cosette.

    - Comme d'habitude! Ces Intruses teutonnes ignorent totalement notre grande littérature!

    -  Et vous? Vous connaître Goethe, Ziller? Nein! Alors vous fermer votre museau, donneuses de leçons!

    - Bon! Il suffit! Nous allons visiter la cathédrale, par la clef de Zaint Pierre.

    La gastronomie bourguignonne est ... grandiose!

    - Ce n'est pas la cathédrale, Minizupette, a déclaré celui qui dit que ze ne suis que son avataresse.

    - Et vlan! Retoquée la quasi zainte!

    - La cathédrale est plus loin et elle date du 19ème siècle.

    La gastronomie bourguignonne est ... grandiose!

    - Macarel! Elle n'est pas très zolie!

    - Et en plus elle est fermée!

    - It's a pity!

    Elle se trouve à 2 pas d'un grand monument aux morts que Minizup'Rosa a voulu immortaliser avec un cliçé.

    La gastronomie bourguignonne est ... grandiose!

    Comme de bien entendu, nous avons fréquenté les meilleures tables de la rézion.

    - Oh! des saucisses de Bourgogne!

    - C'est indéniablement le nec plus ultra de la grande cuisine locale!

    - Haus gemacht? a demandé l'Intruse teutonne à la serveuse.

    - Excusez moi, mais ze ne parle pas anglais.

    - Z'aimé beaucoup les saucisses.

    - Ze m'en pourlèçe par avance les babines.

    - Vous avoir une maçine pour les faire?

    - Vous traitez les boyaux vous-même?

    Et la serveuse n'a même pas répondu à nos questions et s'en est allée s'occuper d'autres clients.

    - C'est sans doute de la grande gastronomie mais bonzour l'accueil!

    - Elle aurait pu avoir l'amabilité de nous donner la recette, fouçtra!

    - Ze vais écrire illico presto au Guide Miçelin pour me plaindre, a conclu Minizup'tictac! Il n' y pas une seconde à perdre!

    La gastronomie bourguignonne est ... grandiose!

    Nous avons poursuivi notre ballade par la découverte de Zâlon- sur-Saône.

    - Cette place est bien belle!

    - Moi beaucoup aimer la fontaine.

    A demain pour la narration de notre périple... qui s'est açevé hier avec un temps bien frisquet....

    La gastronomie bourguignonne est ... grandiose!

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    Bruchsal en Allemagne (photos)

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