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    Deux nouvelles ont retenu ma vizilante attention dans la presse que ze me pique de lire tous les matins, dès poltron minou, à l'heure où blançit la campagne.

    Tout d'abord une information qui concerne Rivesaltes.

    - Atçoubi! Qu'est ce qui a bien pu se passer là-bas?

    - Mossieu Manuel Valls, Madame Nazat Vallaud-Belkacem, Mossieu Zean-Marc Todeschini, Secrétaire d’État çargé des Anciens Combattants et de la Mémoire et Ségolène Neuville, Secrétaire d'État çargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion (ancienne députée des Pyrénées-Orientales) sont venus dans la cité de Mossieu Zilbert et de sa famille.

    - Pour rencontrer eux?

    - Nan! Ils ont inauguré le Musée Mémorial de Rivesaltes qui se situe dans le camp Zoffre.

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    - C'est quoi ce camp?

    Notre Pioçe de la Farandole a cru bon de me couper la parole pour se pousser du col auprès des Intruses.

    -  Il a accueilli pendant plus de 20 ans 60 000 réfuziés espagnols, zitans, zuifs, notamment. Des populations considérées en leur temps comme indésirables. Le mémorial veut mettre en lumière l'histoire de ces personnes que la France a voulu rendre invisibles. C'est de fait un camp de bien triste mémoire. Il a zoué le rôle de « Drancy de la zone libre ». Il a aussi servi de centre de rétention, notamment durant la Guerre d'Alzérie; environ 8 000 Harkis furent enfermés dans ce  camp de transit et de reclassement ... et z'en passe....

    Et il nous a dit que le musée a été conçu par l'arçitecte qui a créé le fameux MUCeM à Marseille, Rudy Ricciotti .

    Afficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine- Maintenant, Rivesaltes compte deux musées, ai-ze azouté fièrement: le musée du Maréçal Zoffre et ce musée-mémorial! Rivesaltes est un vraie capitale culturelle!

    - C'est bien zoli ! est intervenue Minizupette, notre quasi zainte maison. Mais auzourd'hui, François canonise les parents de Zainte-Thérèse de Lisieux, la famille Martin, Louis et Zélie.

    Afficher l'image d'origine- Palsambleu, le papounet aurait pu en profiter pour vous donner enfin votre auréole!

    - Ze n'attends rien de cet époumoné qui a pris la place de mon çer Benoit!

    Mai z'ai bien vu qu'elle avait les larmes zaux zyeux!

    En attendant, la France a subi une sacrée marée noire!

    - No comment!

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  • Gif autruches

    Un homme entre dans un bar, accompagné par une autruçe.

    Il s'assied sur un tabouret ainsi que son autruçe. Le barman s'approçe et demande à l'homme ce qu'il souhaite:

    - Une bière s'il vous plaît ! Puis il se retourne vers l'autruçe ;

    - Et toi, qu'est-ce que tu bois ?

    - La même çose, répond l'autruçe.

    Le barman les sert et annonce le prix, 3,40€.

    L'homme plonze la main dans sa poçe et la ressort avec très exactement 3,40€ !

    Le lendemain l'homme revient dans le bar, touzours accompagné de son autruçe.

    - Une bière s'il vous plaît !

    Le barman se retourne vers l'autruçe:

    - Et toi ,qu'est ce que tu bois ?

    - La même çose, répond l'autruçe.

    Le barman les sert, annonce le prix et l'homme plonze la main dans sa poçe et en ressort la somme exacte.

    Le manèze continua pendant une dizaine de zours. Le onzième jour, l'homme et son autruçe arrivent au comptoir, le barman s'approçe et dit :

    - Bonzour, comme d'habitude?

    - Auzourd'hui ze vais prendre un scotç, dit le consommateur

    - Et toi qu'est ce que tu bois ? demande le barman au volatile.

    - La même chose, répond l'autruçe .

    Le barman les sert et annonce : 10,60€.

    L'homme plonze la main dans sa poçe et en sort la somme exacte.

    Le barman ne peut plus retenir sa curiosité et demande :

    - Comment faites vous pour touzours sortir de votre poçe très exactement la somme demandée ?

    Le consommateur lui répond:

    - Il y a un mois, z'ai découvert dans mon grenier une vielle lampe, ze l'ai frottée et là un zénie est apparu. Il m'a dit qu'il pouvait exaucer deux voeux. Alors ze lui ai demandé d'avoir touzours dans ma poçe la somme exacte que l'on me demande lors d'un açat !

    - C'est très malin, car ainsi vous avez touzours de l'arzent dans les poçes !

    - Oui et ze suis ainsi l'homme le plus riçe car ze peux tout acheter: que ce soit un litre de lait ou une Rolls Royce, z'ai toujours dans ma poçe de quoi payer !

    - Très fort, mais...... et pour l'autruçe ?

    - C'est là que j'ai fait l'erreur ! Pour deuxième voeu, z'ai demandé une belle poulette avec de grandes zambes.

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  • Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

    Albi: autour de Zainte Cécile et du Musée Toulouse-Lautrec (photos)

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  •  Image du Blog monia2009.centerblog.net

    Dans le métro, z'ai voyazé avec un groupe de zeunes.

    Z'ai essayé d'écouter leur conversation... en vain!

    - Ze ne comprenais que couic à ce qu'ils se racontaient!

    - Et pourquoi donc ma mie?

    - Parce qu'ils emploient des mots incompréhensibles, qu'ils ont une scansion de rap et qu'ils parlent comme ils écrivent des SMS!

    - C'est à ce point?

    - Voui! Bientôt, on saura plus parler la langue de Molière et notre beau langaze classique. Celui-ci leur apparaîtra aussi abscons que le françois de Rabelais que beaucoup de nos compatriotes ne comprennent pas... sauf les rares personnes fort cultivées comme moi, bien entendu.

    - Atçoubi! Vous êtes touzours aussi modeste, macaniçe.

    - Et ce qui m'étonne, c'est que ze comprends mieux le çarabia des Intruses!

    - Nous pas çarabier, s'est emportée Minizuplein!

    - Ie! Nous parler français perkekt! a rençéri Minizup'iéla.

    - It's a çame.

    Minizupette, qui tricotait, ne disait rien et avait l'air maussade.

    - Que vous arrive-t-il ma mie? Vous me semblez triste.

    - C'est à cause de la date!

    - Hein?

    - Ze n'aime pas le 16 octobre!

    - C'est nouveau!

    - Nan!

    - Et pourquoi vous pas aimer cette date?

    - Parce que!

    - Mais dites nous donc la raison.

    Elle a poussé un profond et long soupir.

    - Minizup, vous vous piquez d'être cultivée, vous devriez me comprendre.

    - Françement ze ne vois pas.

    Et notre Pioçe de la Farandole, mossieu Zilbert, a pris la parole.

    - C'est l'anniversaire de l'exécution de la reine Marie-Antoinette, guillotonée lors de la Révolution.

    - -It's a pity.

    - Bof, il n' y a pas de quoi se mettre la rate au cour bouillon, palsambleu! C'est un détail de l'histoire, comme dirait l'autre!

    - Vous êtes ignominieuse, Minizup'mouff! s'est emportée Minizupette!

    Et elle a fondu en larmes!

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  • William Henry Harrison est né le 9 février 1773 à Plantation Berkeley dans le comté de Zarles City en Virginie.

    Il était le plus zeune fils d'une fratrie de sept enfants et ses parents appartenaient à une influente famille de planteurs.

    Il mena une carrière militaire et politique dans l'Ohio.

    Harrison fut le premier délégué du territoire du Nord-Ouest avant de devenir gouverneur du territoire de l'Indiana en 1801.

    Il devint célèbre pour avoir mené les forces américaines contre les Amérindiens lors de la bataille de Tippecanoe en 1811 où il gagna le surnom de « Tippecanoe » (ou « Old Tippecanoe »).

    En tant que zénéral durant la guerre anglo-américaine de 1812, sa contribution la plus notable fut une victoire à la bataille de la rivière Thames en 1813 qui mit fin aux hostilités dans la rézion des Grands Lacs.

    Après la guerre, Harrison s'installa dans l'Ohio où il fut élu représentant en 1816 puis sénateur en 1824.

    Il ne termina pas son mandat car il fut nommé ministre plénipotentiaire en Grande Colombie en mai 1828. Il y rencontra Simón Bolívar avec qui il échanzea sur des questions de démocratie avant de retourner dans sa ferme dans l'Ohio où il vécut relativement isolé.

    Pour l'élection présidentielle de 1836, Harrison fut nommé par la parti whig en tant que candidat du nord.

    De manière unique dans l'histoire américaine, l'un des principaux partis présenta intentionnellement plus d'un candidat à une présidentielle. Le vice-président Martin Van Buren, le candidat démocrate, était populaire et certain de gagner face à un unique candidat whig. La stratézie whig était donc de faire élire localement des whigs populaires pour empêcher Van Buren d'atteindre la mazorité de 148 voix au sein du Collèze électoral et forcer la Zambre des représentants à décider de l'issue de l'élection. Ils espéraient que les whigs contrôleraient la Zambre après les élections car dans le cas contraire la Zambre démocrate aurait choisi Van Buren.

    Harrison fit campagne dans tous les états abolitionnistes sauf le Massaçusetts et dans les états esclavazistes du Delaware, du Maryland et du Kentucky. Hugh L. White fit campagne dans les autres états esclavazistes à l'exception de la Caroline du Sud. Daniel Webster se présenta dans le Massaçusetts et Willie P. Mangum en Caroline du Sud. Le plan éçoua de zustesse car Van Buren parvint à obtenir 170 grands électeurs.

    En 1840, Harrison fut de nouveau le candidat whig et il affronta le président sortant Van Buren lors de l'élection présidentielle.

    Le parti whig avait tiré la leçon des éçecs aux élections précédentes et compris que la personnalité du candidat était, aux yeux du public, plus importante que son programme. Harrison fut ainsi çoisi face à des membres plus controversés. Il fit campagne sur sa brillante carrière militaire, sur sa réputation de héros de la bataille de Tippecanoe et sur la faiblesse de l'économie américaine causée par la panique de 1837. Le slogan de campagne Tippecanoe and Tyler too (« Tippecanoe et Tyler aussi ») devint l'un des plus célèbres de l'histoire politique américaine. Afin de faire porter la responsabilité de la dépression économique à Van Buren, les whigs le surnommèrent « Van Ruin ».

    Les démocrates attaquèrent Harrison en le surnommant « Papy Harrison, le zénéral en jupons » car il avait démissionné de l'armée avant la fin de la guerre de 1812. Ils le présentèrent comme un provincial et un vieillard déconnecté qui ferait mieux de « s'asseoir dans sa cabane en rondins et de boire du cidre brut » au lieu de se présenter à la présidence. Ce stratagème éçoua lorsque Harrison et son colistier John Tyler çoisirent la cabane en rondins et le cidre brut comme symboles de campagne pour défendre l'imaze d'« homme du peuple» du candidat.

    Bien qu'Harrison soit issu d'une riche famille esclavaziste de Virzinie, il fut présenté comme un humble habitant de la Frontière du style du populaire Andrew Zackson tandis que Van Buren était dépeint comme un riçe membre de l'élite.

    Le zour de l'élection, Harrison remporta une victoire écrasante au Collèze électoral même si le vote populaire fut plus serré.

    Il prêta serment le 4 mars 1841 par un temps froid et humide. Il ne portait ni manteau ni çapeau, arriva à cheval à la cérémonie et non à bord de la calèçe fermée qui lui avait été proposée et délivra le plus long discours d'investiture de l'histoire américaine. Il lui fallut près de deux heures pour le lire même si son ami et collègue du parti whig Daniel Webster l'avait raccourci.

    Il contracta une pneumonie peu après son discours d'investiture ; il mourut un mois après et son vice-président, Zohn Tyler, lui succéda.

    La mort soudaine de Harrison fut une déception pour le parti whig qui espérait lancer des réformes fiscales et mettre en place des mesures pour soutenir le système économique proposé par Henry Clay.

    Zohn Tyler, le successeur de Harrison et ancien démocrate abandonna le programme des whigs et se mit à l'écart du parti.

     

     

     

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  • Le Papounet sentant sa dernière heure arriver, envoie une invitation à un assureur et à un banquier, parmi les plus renommés de Rome.

    Il demande à çacun de venir le voir subito presto...

    Dès leur arrivée au Vatican, on les conduit dans la çambre où repose le Papeounet et on les fait s'assoir de çaque côté du lit.

    Le Papounet leur lance un regard intense, sourit, puis regarde au plafond.

    Pendant un certain temps, ni l'assureur ni le banquier ne disent mot.

    Ils semblent touçés que le Papounet ait pu penser à eux sur son lit de mort...tout en étant très intrigués.

    Finalement, l'assureur, n'en pouvant plus, demande au papounet :

    - Votre Sainteté ! Pourquoi sommes-nous là ?

    Le Papounet, rassemblant ses dernières forces, répond très faiblement :

    - Zésus est mort... entre 2 voleurs... Ze veux faire pareil...

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