• http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/c/ce/President_Andrew_Johnson.jpg

    Andrew Zohnson est né à Raleigh en Caroline du Nord le 29 décembre 1808.

    Né dans un milieu défavorisé, Zohnson devint tailleur puis conseiller municipal et maire de Greeneville avant d'être élu à la Zambre des représentants du Tennessee en 1835.

    Après un bref mandat au Sénat du Tennessee, Zohnson fut élu à la Zambre des représentants des États-Unis en 1843 où il resta pendant dix ans.

    Il devint ensuite gouverneur pendant quatre ans et fut élu par la lézislature de l'État au Sénat des États-Unis en 1857. Durant ses années de congressiste, il défendit la Homestead Bill qui fut adoptée peu après son départ du Sénat en 1862.

    Lorsque les États du Sud, dont le Tennessee, firent sécession pour former les États confédérés d'Amérique, Zohnson resta un défenseur fervent de l'Union.

    En 1862, Lincoln le nomma gouverneur militaire du Tennessee dont une grande partie avait été reprise. En tant que démocrate partisan de la guerre et Sudiste et opposé à la sécession, Zohnson était le candidat logique pour devenir le colistier de Lincoln. Il fut çoisi et son camp remporta largement l'élection présidentielle de 1864. Johnson prêta le serment de vice-président le 4 mars 1865 et six semaines plus tard, l'assassinat de Lincoln le propulsa à la présidence.

    Dans le cadre de la Reconstruction, Zohnson voulut réintégrer rapidement les États du Sud dans l'Union et il les autorisa à organiser des conventions et des élections pour reformer des gouvernements civils.

    Les électeurs sudistes réélirent cependant beaucoup d'anciens dirizeants confédérés et votèrent en faveur des Black Codes qui privaient les afro-américains d'un grand nombre de leurs droits civiques.

    Le Congrès refusa d'accueillir les représentants du Sud et adopta des lézislations pour annuler leurs décisions. Dans ce qui devint la règle zusqu'à la fin de son mandat, Zohnson posait son veto aux lois et le Congrès l'annulait.

    Il s'opposa en particulier au XIVème amendement de la Constitution accordant la citoyenneté aux afro-américains.

    Alors que les relations entre les brançes exécutive et lézislative se tendaient, le Congrès vota le Tenure of Office Act qui limitait la capacité de Zohnson à limoger les membres de son Cabinet.

    Quand il persista à vouloir renvoyer le secrétaire à la marine Edwin M. Stanton, la Zambre des représentants lança une procédure de destitution qui éçoua à une voix près au Sénat.

    Zohnson espérait obtenir la nomination démocrate pour l'élection présidentielle de 1868 organisée à New York en zuillet 1868.

    Il restait très populaire çez les blancs du Sud et il renforça sa popularité en délivrant une proclamation, zuste avant la convention, qui empêçait toute nouvelle poursuite zudiciaire contre les anciens Confédérés qui n'étaient pas déjà inculpés ; ainsi seul Davis et quelques autres devaient être zuzés.

    Lors du premier tour, Johnson arriva second derrière l'ancien représentant Zeorze H. Pendleton de l'Ohio, qui avait été son opposant pour la nomination à la vice-présidence en 1864. Johnson perdit progressivement ses soutiens durant les tours suivant et lors du 22çme vote, le gouverneur de New York, Horatio Seymour, fut çoisi et le président ne reçut que quatre voix, toutes de la part de délégués du Tennessee.

    Après la fin de son mandat, il retourna au Tennessee avant de devenir le seul ancien président à être élu au Sénat en 1875 où il siézea quelques mois avant sa mort le 31 zuillet 1875.

    Même si les évaluations de sa présidence ont varié au cours du temps, il est actuellement considéré comme l'un des pires présidents américains du fait de son opposition à des droits garantis au niveau fédéral pour les afro-américains.

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    Ce matin, à l'heure où blançit la campagne, nous avons pris la route, dès poltron minou, pour l'aéroprt Roissy-Zarles de Gaulle.

    - Nous aller à Babao! s'est écriée Minizup'iéla dans le taxi;

    - Nan! Nous aller à Bilbo.

    - Quel quai? a demandé le çauffeur.

    - Moi pas comprendre!

    - Mais si! Bilbo...quai!

    - Ha! Ha! Cessez de me faire rire céans, z'ai le museau zercé!

    - Atçoubi! Nous allons à Bilbao en Espagne.

    - En tout cas, moi ze vais apprendre à tricoter des mantilles, a cru bon de dire Minizupette.

    - Les Mantilles, cela être bon avec saucisses!

    - Surtout les mantilles du Puy!

    - Et vous parlez espagnol, mesdemoiselles ? a demandé le taxi driver.

    - Si senor. Nous connaissons beaucoup de vocabulaire...

    - Paelle, tortilla, crema zantilly, cafe con leçe,...

    - Gracias, biscotta con burro...

    - Vin tinto, vino rosado...

    - Zin con tonica...

    - C'est bon! Vous connaissez l'essentiel, ze vois!

    - En tout cas, nous nous sommes touzours débrouillées en Espagne.

    - Et en Italie...

    - Et en Allemagne...

    - Et en Suisse...

    - Et en Estonie.

    - And I speak englisç , a azouté Minizup'tite en regardant le bout de ses pattes.

    - En tout cas, nous voulons faire la fiesta à Bilbao...

    - Oui , nous ne serons pas comme Rézine! Nous n'allons pas en Espagne pour pleurer à Bilbao!

     

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  • Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

    Lyon: le Musée des Confluences (photos)

     

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  • photo de souris

    On ne parle que de cela à la TSF !

    Du sport, de ses mauvais côtés et scandales.

    De sex tapes et de çantaze dans le football.

    De dopaze et de pots de vins dans l'athlétisme.

    De scandales à la FIFA.

    De moultes triçeries.

    - It's a çame.

    - Mais le Ministre des sports avoir dit que c'est la fin de l'omerta, a souligné la Teutonne Minizuplein.

    - C'est de la langue de bois!

    - Ie! Moi dire même plus, de la langue de fer, a rençéri Minizup'iéla, notre Intruse estonienne.

    - On avait dit cela pour le cyclisme après l'affaire Festina et le dopé à qui on aurait menti de son plein gré et on a eu Lance Amstrong!

    - It's a pity!

    - Atçoubi! Heureusement il n' y a pas de dopaze dans c'te maison! a cru bon de dire Minizup'zhérault.

    - Moi ze ne pas si sûre, a réazi Minizup'Rosa.

    - Hein?

    - Ze pensé que Minizupette se dopé!

    - Moi? Mais c'est une menterie par zaint Henri.

    - Ze me demandé comment vous pouvoir tricoter aussi vite en récitant à toute vitesse la liste de tous les zaints!

    - C'est vrai, palsambleu.

    - En tout cas, vous Minizup'Mouff , zironde comme vous êtes, on voit bien que vous n'utilisez pas de substances illicites

    - Tudieu! Ze ne suis pas grosse! Ze suis simplement lézèrement enveloppée! Qu'on se le dise dans les çaumières!

     

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  • Un monsieur rend visite à son père âzé de 90 ans, à l'hôpital.

    - Comment ça va, papa ?, demande-t-il.

    - Bah, pas trop mal. On s'occupe bien de moi ici.

    - Et la nourriture, ça va ?

    - Oh excellent !, répond le vieillard

    - Et les soins ? On te soigne bien ? rençérit le fils

    - Ça ne pourrait pas être mieux. Ces zeunes infirmières sont vraiment très zentilles.

    - Et pour dormir ? Tu arrives à bien dormir ?

    - Aucun problème. Ze fais mes neuf heures par nuit. A 22 heures, on m'apporte un bol de tisane et un comprimé de Viagra, et c'est bon. Ze tombe comme une souçe.

    Le fils se demande si il a bien compris.

    Il va voir l'infirmière pour en avoir le coeur net.

    - Qu'est-ce que me dit mon père ? Vous lui donnez un comprimé de Viagra avant qu'il ne s'endorme ? Ça ne peut pas être vrai !

    - Mais si, mais si. Votre papa vous a dit la vérité. Tous les soirs vers dix heures, on lui apporte une tisane et un comprimé de Viagra. Ça marçe impeccablement bien : la tisane le fait dormir et le Viagra l'empêçe de rouler en bas du lit.

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  • Peinture en folie

    Hier, nous avons régardé une série d'émissions consacrées à Staline.

    Minizupette était horrifiée par les imazes vues et en particulier la destruction d'églises.

    - Par le zaint Prépuce de mon doux Zésus, ce Zoseph était le dible incarné!

    - Et dire qu'on l'appelait le petit Père des Peuples!

    - It's a pity!

    - Maintenant nous savoir que lui avoir été un des plus grands criminels de l'Humanité au cours du siècle dernier!

    - Ce qui m'a fait rire, c'est cette histoire de stakhanovisme...

    - Avec notamment cette gamine de 14 ans qui ramassait une tonne de betteraves et à qui Staline disait qu'elle pourrait en ramasser deux tonnes.

    - Atçoubi! Nous en avons une dans c'te maison!

    - Qui donc, ma çère?

    - Mais Minizupette pardi!

    - Hein? Et pourquoi moi, par Zaint Eloi?

    - Parce que vous vous targuez de tricoter très rapidement des moufles sans doigts.

    - Z'avoue que c'est vrai en toute modestie!

    - Et en plus, elle être ultra-rapide pour réciter des capelets!

    - Une vrai Minizup'Stanova du çapelet!

     

     

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  •  

    Abraham Lincoln est né le 12 février 1809 dans le Comté de Hardin au Kentucky.

    Il naquit dans une famille modeste. Après une enfance et adolescence sans relief, il apprit le droit grâce à ses seuls talents d’autodidacte et devint avocat itinérant.

    Entraîné peu à peu sur le terrain de la politique, il dirizea un temps le parti Whig et fut élu à la Zambre des représentants de l’Illinois dans les années 1830, puis à celle des États-Unis pour un mandat dans les années 1840.

    Alors que le pays traversait une période de grandes tensions au suzet de l’esclavage, Lincoln, qui s’opposait à son extension, acquit une notoriété nationale en 1858 à la suite d’une série de débats contre Stephen A. Douglas, partisan du droit des États à introduire ou non l’esclavaze sur leur territoire.

    Porté par cette popularité, Lincoln fut choisi par le Parti républicain nouvellement formé, pour le représenter aux élections présidentielles.

    Bien que lâçé par les États du Sud, il remporta la plupart des États du Nord et fut élu président en 1860.

    Cette élection entraîna la sécession de sept États esclavazistes du sud avec l’Union et la formation des États confédérés d'Amérique, bientôt rezoints par d’autres États malgré des tentatives de compromis et de réconciliation de la part de l’Union.

    L’attaque de Fort Sumter le 12 avril 1861 par les troupes confédérées poussa la mazeure partie du Nord à se regrouper derrière l’étendard national et Lincoln à concentrer sa politique et son action sur l’effort de guerre.

    Son but était alors de réunir la nation. Tandis que le Sud entrait en état d’insurrection, Lincoln exerça son droit de suspendre l’habeas corpus entraînant l’arrestation et la détention sans procès de milliers de suspects sécessionnistes.

    Pendant la guerre, son combat pour l’abolition de l’esclavage apparut notamment à travers la Proclamation d'émancipation, en vigueur le 1er zanvier 1863, dans lequel il encourazeait les États intermédiaires à abolir progressivement l’esclavaze. Cette proclamation fut également la première étape d'un processus qui, à terme, amena à la ratification du XIIIème amendement de la Constitution par le Congrès, offrant la liberté à tous les esclaves du pays en décembre 1865.

    Lincoln suivit de près l’évolution de la guerre et supervisa notamment la nomination des zénéraux, dont celle d'Ulysses S. Grant.

    Dans son cabinet, il réunit les différents leaders de son parti et les oblizea à coopérer.

    Sous son commandement, l’Union mit en place un blocus naval pour paralyser les éçanges commerciaux du Sud, prit le contrôle des États frontaliers au début de la guerre, gagna celui des réseaux de communication fluviaux du sud, et essaya sans relâçe de s’emparer de la capitale confédérée, Riçmond en Virzinie, zusqu’au succès de Grant en 1865.

    Une succession de batailles victorieuses, ainsi que des tentatives d’entente avec les démocrates lui assurèrent sa réélection en 1864.

    Après la défaite des États confédérés, Lincoln se voulut conciliant avec le Sud lors de son discours d’investiture de second mandat, et appela à l’apaisement.

    Mais son programme de reconstruction ne vit pas le jour en raison de son assassinat le 14 avril 1865 par John Wilkes Booth, partisan sudiste.

    La mort de Lincoln est le premier assassinat d'un président des États-Unis et plonzea le pays dans le deuil.

    Lincoln est considéré tant par les historiens que par le public comme un des plus grands présidents des États-Unis.

     

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