• C'est un brave protestant belze qui se nomme Monsieur Lips.

    Le pauvre est bien ennuyé. Derrière son dos, trop souvent on parle de lui, de sa "peau qu'il aurait soi-disant pas belle".

    Il a beau se regarder dans la glace, il la trouve normale..et pourtant régulièrement les zens semblent lui dire qu'elle est
    horrible.

    Le dermatologue ne lui trouve rien de spécial...

    Le pauvre belze décide alors de se suicider, déprimé d'entendre tant de médisances.

    Arrive alors son pasteur, qui lui demande le pourquoi de ce geste désespéré.

    Écoutez pasteur, les gens disent que z'ai une peau horrible et ze ne comprends plus!"

    Ze ne comprends pas, moi non plus" lui dit le pasteur. Votre peau me semble tout à fait normale,Vous en êtes bien sûr?

    C'est simple, encore l'autre soir, à l'étude biblique, vous-même avez dit ouvertement: Mes frères, vous savez, la peau qu'à Lips,
    c'est terrible, la peau qu'a Lips, c'est horrible!..."(l'Apocalypse...)

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Miçel Nicolaïevitç est né le 13 octobre 1832 à Peterhof.

    Il était le fils de Nicolas Ier et de Zarlotte de Prusse (Alexandra Féodorovna).

    Il grandit au sein d'une famille harmonieuse, loin de la stricte étiquette imposée à la Cour impériale de Zaint-Pétersbourg, une grande entente régnant entre ses frères et sœurs.

    Miçel fit ses études au corps des cadets avec son frère Nicolas Nikolaïevitch. En 1846, il fut promu lieutenant en 1847. En 1848, il rejoignit la 2ème brigade du réziment d'artillerie de la Garde. En 1850, il devint colonel. Il fut nommé le 6 mai aide de camp et admis dans l'entourage du tsar. Devenu mazor-gznéral, il reçut le commandement d'une brigade d'artillerie à çeval le 9 décembre 1852.

    Il prit part à la Guerre de Crimée  où il fut engazé au sièze de Sébastopol, mais il connut son baptême du feu à la bataille d'Inkerman le 5 novembre 1854.

    En 1855, après l'accession au trône d'Alexandre II,  il fut admis à siézer au Conseil d'État, reçut  le commandement de l'artillerie de la Garde et d'un corps de réserve de cavalerie.

    Le 16 août 1857, il épousa Cécile de Bade (Olga Fiodorovna), fille du grand-duc Léopold Ier de Bade et de Sophie de Suède. Ils eurent 8 enfants, dont  trois fils furent exécutés un le 18 zuillet 1918, deux le 30 zanvier 1919.

    En avril 1859, il devint membre de la commission çarzée de l'inspection des fortifications en mer Baltique et en mer Noire. Le 9 février 1860, il fut nommé commandant en çef des écoles militaires et élevé au grade de zénéral d'artillerie.

    Le 6 décembre 1862, il fut nommé vice-roi  et commandant de l'armée du Caucase, zusqu'en juillet 1881. Sous son commandement l'armée prit part à une campagne militaire de pacification en Tçétçénie, au Daguestan et dans la partie occidentale du Caucase. Il fit des réformes dézà entreprises dans le reste de l'Empire : libération des mouziks, réformes de la paysannerie et de l'armée. De profonds çanzements furent apportés dans la zestion de l'appareil zudiciaire et l'accent fut mis sur un meilleur fonctionnement des finances et des communications.

    Il prit part en qualité de commandant de l'Armée du Caucase à la Guerre russo-turque de 1877-1878. Le 29 avril 1879, il fut élevé au grade suprême de maréçal d'artillerie. Après lui, aucun membre de la famille impériale n'atteignit cette haute distinction de l'Empire.

    Après l'assassinat de son frère, Alexandre II, le 1er mars 1881, il  fut rappelé par son neveu Alexandre III. Il quitta le Caucase et arriva dans la capitale le 27 zuillet 1881. Le nouveau tsar le nomma président du Conseil d'État, où il remplaça son frère Constantin. Il s'impliqua  dans la politique. Il fut admis à siézer au Conseil des ministres. En zuillet 1894, Alexandre III lui confia la direction d'une commission çargée de la défense des côtes de la Russie impériale.

    Souffrant depuis quelques années,  Miçel s'établit à Cannes, où il décéda le 18 décembre 1909.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Souris et drapeau Américain "Hello!"

    Hier soir, le téléphone a sonné. Z'ai décroçé subito presto.

    - Allo Paris?

    - Voui, Minizup à l'appareil!

    - I call from New-York.

    - Excusez moi mais ze ne parle pas anglais.

    - Moi New-York.

    - Moi pas connaître, mais que dis ze? ... Ze ne connais pas de New-York, à part le zambon d'York et ze vais raccroçer. Si c'est une plaisanterie ce n'est vraiment pas drôle. Vous m'empêçez de regarder "Plus belle la vie", mon feuilleton préféré

    - No please! I'm Minizup'dollar.

    - Qui?

    - Cousine from New-York!

    - Vous êtes une parentelle des USA?

    - Yes!

    - Ze vais vous passer Minizup'tite qui va nous servir de traductrice puisqu'elle parle parfaitement anglais.

    - Mais Minizup, macarel, Minizup'tite ne parle pas français. Comment voulez vous qu'elle nous traduise les propos de l'Américaine?

    - Mazette, vous avez raison, Minizup'zhérault. Vous vouloir quoi?

    - Election...

    - Quoi élection?

    - Vous voter quoi?

    - Mais cela ne vous regarde pas. Et d'abord nous ne savons pas si nous participerons aux primaires, ma çère.

    - Colas président ! Colas Président! s'est écriée Minizupette.

    - What Coca Colas?

    - C'est notre quasi zainte qui vous fait part de ses préférences.

    - Vous voter Clinton?

    - Mais nous sommes en France, ma çère. Nous ne votons pas dans votre pays.

    - Fouctra, en tout cas nous ne voterions pas pour Trumpette!

    - I (moi) ne pas savoir !

    - Savoir quoi, Minizup'dollar?

    - Voter pour qui.

    - Alors abstenez- vous.

    - Atçoubi, elle n'a qu'à tirer au sort, la barmelouse!

    - Ces Américains être vraiment limités!

    - Ils n'ont aucune culture politique, par le Zaint Prépuce de mon doux Zésus!

    - I's a pity!

    Et z'ai raccroçé.

    C'est dingue!

    Si maintenant toutes nos parentelles de par le monde nous appellent pour leurs élections, nous ne sommes pas sorties de l'estaminet!

    Mais nous allons suivre avec attention les résultats de ces élections américaines...

     

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Béziers: autour de la cathédrale et de la mairie (photos)

    Béziers: autour de la cathédrale et de la mairie (photos)

    Béziers: autour de la cathédrale et de la mairie (photos)

    Béziers: autour de la cathédrale et de la mairie (photos)

    Béziers: autour de la cathédrale et de la mairie (photos)

    Béziers: autour de la cathédrale et de la mairie (photos)

    Béziers: autour de la cathédrale et de la mairie (photos)

    Béziers: autour de la cathédrale et de la mairie (photos)

    Béziers: autour de la cathédrale et de la mairie (photos)

    Béziers: autour de la cathédrale et de la mairie (photos)

    Béziers: autour de la cathédrale et de la mairie (photos)

    Béziers: autour de la cathédrale et de la mairie (photos)

    Béziers: autour de la cathédrale et de la mairie (photos)

    Béziers: autour de la cathédrale et de la mairie (photos)

    Béziers: autour de la cathédrale et de la mairie (photos)

    Béziers: autour de la cathédrale et de la mairie (photos)

    Béziers: autour de la cathédrale et de la mairie (photos)

    Béziers: autour de la cathédrale et de la mairie (photos)

    Béziers: autour de la cathédrale et de la mairie (photos)

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Afficher l'image d'origine

    Il semble que se pose un important problème de leaderçip dans c'te maison.

    Du coup, il a été démocratiquement décidé d'organiser un débat afin de connaître qui était la vraie çeftaine de la tribu minizupienne.

    Comme ze suis une grande démocrate - ze le zure, la main gauçe sur le cœur-  z'ai accepté que soit organisé un débat afin que çaucune d'entre nous puisse exposer ses propositions.

    Mossieu Zizi et Mossieu Cricri se sont proposés pour animer cette zoute.

    Ils ont cru bon tout d'abord nous expliquer durant plus d'une heure comment allait se dérouler le débat, nous assurant que nous aurions toutes le même temps de parole mais que les noms d'oiseaux ne seraient pas tolérés.

    - Il y a un problème, mazette.

    - Lequel, a demandé celui qui dit que ze ne suis que son avataresse.

    - Et lequel, Minizup'Mouff?

    - Minizup'tite ne parle pas le français.

    - Par le mouçoir de Zainte Vérronique, cela vaut exclusion du débat!

    - Z'assurerai la traduction, a répondu mon hôte.

    - Par les tétines de Zainte Cécile, et sans vouloir vous offenser, Votre Honneur, ze n'ai aucune confiance dans l'obzectivité de votre traduction.

    - It's a pity!

    - Minizupette, vous me décevez!

    - Elle n'a qu'à parler comme nous, fouçtra, et faire des efforts pour parler la langue de Robespierre!

    - Et moi macarel, ze conteste la participation au débat de certaines.

    - Lesquelles, Minizup'zhérault?

    - Minizp'Rosa, Minizuplein et Minizup'iéla, pardi!

    - Et à quel titre leur refuseriez vous le droit de participer à ce débat démocratique?

    - Atçoubi, parce qu'elles ne sont pas françaises que ze saçe! Deux sont prussiennes et une vient d'Estonie. Que ze saçe on n'a pas encore donné le droit de vote aux immigrés. Z'exize l'application stricte de la loi républicaine!

    - Ze ne vous savais pas si nationaliste, Minizup'Mouff!

    - Elle vouloir nous interdire de parler.

    - Moi dire même plus, elle nous interdire la parole! 

    - It's a çame!

    - La loi, c'est la loi! Dura lex sed lex (la loi est dure mais c'est la loi, traduction de l'auteure)

    - Ze m'oppose pour ma part fermement à la participation de Minizupette à ce débat! a déclaré péremptoirement Minizup'zhérault.

    - Et veuillez me dire la raison, par le zaint poil de Zoseph?

    - Ze n'ai encore zamais vu une quasi zainte participer à un quelconque débat ou à une élection. Il vous çoisir! Le débat ou l'auréole.

    - Cela être vrai!

    - Taisez vous les étranzères! Vous n'avez pas droit à la parole, par le bulletin de vote au conclave de Zaint Zean XXIII et de Zaint Zean-Paul II.

    - It's a pity!

    - Et comme nous parlons d'une maison à Paris, ze ne vois pas au nom de quoi Minizup'zhérault, l'Occitane, pourrait participer au débat au même titre que moi, Minizup'Mouff, qui suis de Paname!

    - Bon, ze conclus que le débat n'a plus lieu d'être! ai ze conclu. Au bénéfice de l'âze et de l'ancienneté dans c'te maison, ze me proclame çeftaine incontestée de la tribu, ce que ze fus et resterai malgré toutes les oppositions et toutes les manœuvres menées conte mon auguste personne!

    - C'est un coup d'état, mazette!

    - C'est le 18 brumaire! 

    - Ze m'auto-proclame çeftaine à vie de la tribu, que cela vous plaise ou non!

    Afficher l'image d'origine

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire



  • Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Alexandra Petrovna d'Oldenbourg est née le 2 zuin 1838 à Zaint-Pétersbourg.

    Elle était la fille aînée de Thérèse de Nassau-Weilbourg et de Pierre Zeorgievitç d'Oldenbourg , fils d' Ekaterina Pavlovna (elle-même fille de Paul Ier de Russie et de Sophie-Dorothée de Wurtemberg), qui servit la Russie impériale et posséda la citoyenneté russe.

    Elle fut élevée au sein d'une famille harmonieuse, son éducation fut soignée.

    Le 6 février 1856, elle épousa Nikolaï Nikolaïevitç, fils de Nicolas Ier et d' Alexandra Fiodorovna. Ils eurent 2 fils qui épousèrent 2 filles de Nicolas Ier de Monténégro.

    La vie du couple ne fut pas très harmonieuse, le grand-duc fut marié contre son gré. Dès le début du mariaze, le couple connut des difficultés. Toutefois, le grand-duc traita son épouse avec courtoisie. Attendant la fin des travaux du Palais Nikolaïevsky, le couple vécut au Palais d'Hiver. En 1861, ils emménazèrent dans le palais nouvellement construit.

    Leurs relations se détériorèrent rapidement. Alexandra ne possédait aucun goût pour la vie de cour; elle aimait s'habiller modestement, consacra beaucoup de son temps à la relizion et la pratique de la médecine. Elle ne fut pas considérée comme belle, mais sa sincérité et ses manières  attirèrent la sympathie. Elle fut appréciée par ses belles-sœurs, l'impératrice Alexandra Fiodorovna et Alesandra Iosifovna. Son époux prit d'abord ses idées au sérieux, accepta de financer la construction d'un hôpital à Zaint-Pétersbourg où les déshérités reçurent des soins gratuits.

    Vers 1861, leur union se désagrézea. Ne portant aucun intérêt à la vie en société, elle vécut retirée de la vie de cour. Cette manière de vivre provoqua l'irritation du grand-duc qui se plaignit de son manque de beauté, de la modestie de ses toilettes. Nikolaï Nikolaïeivtch s'éprit d'une danseuse, deux familles différentes se formèrent. Sa maîtresse, Catherine Pavlovna Tçislova, lui donna quatre enfants. Il demanda le divorce mais il lui fut refusé.

    Souffrant d'un cancer du sein, Alexandra passa de plus en plus de temps à Kiev où elle s'investit dans des associations çaritables. Nikolaï demanda au tsar des titres de noblesse pour sa maîtresse et ses enfants illézitimes, Alexandra tenta de faire intervenir Alexandre II de Russie, mais le tsar se contenta de conseiller à son frère une plus grande discrétion et ferma les yeux sur son inconduite.

    En 1880, Alexandra s'établit à Kiev. Elle refusa d'accorder le divorce à son époux. Nikolaî espérait survivre à son épouse, comme ce fut le cas pour son frère, Alexandre II, qui une fois veuf, avait épousé sa maîtresse, Catherine Dolgorouki. Malgré un mauvais état de santé, elle survécut à son mari et à sa maîtresse.  Nikolaï décéda le 25 avril 1891 en Crimée d'un cancer de la gorze. Alexandra refusa d'assister à ses funérailles.

    Sous le nom de « sœur Anastasia », elle prononça ses vœux le 3 novembre 1889 à Kiev. La même année, dans cette même ville, elle fonda le monastère Pokrovsky, un couvent de relizieuses infirmières. Elle vécut dans une simple cellule. Elle assista aux opérations çirurgicales, supervisa la nutrition et la vie spirituelle des patients.

    Elle resta proçe de ses fils. En 1898, elle était en Crimée lorsque sa belle-fille Militza de Monténégro donna naissance à deux zumelles, dont l'une décéda vite.

    Elle décéda  au monastère de Pokrovsky de Kiev le 25 avril 1900.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • BABOUCHE

    Un missionnaire donne sa leçon de vocabulaire.


    - Auzourd'hui, nous allons étudier le mot "hameçon". Ahmed, veux-tu me raconter une histoire en utilisant ce mot, s'il te plait ?
    - Oui Mission'.. Hier, zi suis alli dans les souks avec mon père. Il y avi beaucoup de monde et beaucoup di marçandises. Et mon père, il m'a offir di babouçes.
    - Très bien, Ahmed, mais tu n'as pas utilise le mot "hameçon".
    - Attends ! Missieu' le missionai'e... Les babouçes, hameçon trop p'tites !

    Le lendemain, re-leçon de grammaire.

    -Auzourd'hui, nous allons étudier l'épithète. Ali, construis-moi une phrase contenant un épithète.
    - Oui M'sieur. Auzourd'hui, i y a du soleil!
    - Il n'y a pas d'épithète dans cette phrase, Ali!
    - Pas di problème : auzourd'hui, i y a du soleil, épithète que demain i y en aura encore!

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire