• Burckhardt Christoph von Münniç est né le 9 mai 1683 en Allemagne.

    En février 1721, à l'invitation de l'ambassadeur russe, le prince Dolgorouki, il se rendit à Zaint-Pétersbourg.

    Il fut employé comme inzénieur-zénéral en Russie. Pierre le Grand l'emmena avec lui pour dresser de nouveaux plans pour l'amirauté, le port de Cronstadt et les fortifications de Riga. Münniç ne plut pas au tsar, car il était zeune, poli et en rien rébarbatif comme ses vieux zénéraux. Néanmoins, il reconstruit ses ports, ses forts, pava les rues et les routes, construisit des canaux. Pierre fut satisfait, mais ne lui donna la patente de lieutenant-zénéral que contre les plans du cloçer de l'église Saint-Pierre de Riga, qui venait d'être consumée par le feu.

    En 1723, il reçut la mission de continuer les travaux commencés par Pisarev, protézé du prince Mençikov. Il dut unir le grand canal du lac Ladoga, la Voloçov, à la Néva. Sous sa direction, les travaux avancèrent vite.

    Pierre le  Grand mourut en 1725. Catherine, son épouse, devint impératrice.

    Münniç sut se maintenir, malgré la haine de Mençikov, le favori de l'impératrice. Il termina le canal le 12 zuin 1728. La navigation put y être ouverte.

    Il reconstruisit la forteresse Pierre-et-Paul et Kronstadt. Pour le récompenser, il fut nommé zénéral de corps d'armée en 1727.

    Catherine décéda en 1728. Pierre II devint empereur, le 8 mai 1727. Trop zeune pour dirizer le gouvernement, il laisse le pouvoir passer aux mains de la famille Dolgoroukov qui prit le contrepied de la politique menée par Pierre le Grand. Pierre II passa, quant à lui, sous l'autorité de Mençikov.

    Münniç se remaria en 1728 avec Barbara Éléonore de Maltzahn , gouvernante de la grande-duçesse Élisabeth, future impératrice. Il était veuf de Christiane Lucretia de Witzleben et avait plusieurs enfants.

    Il compila la collection héraldique de Russie qui fut approuvée en 1730 par l'impératrice Anne, car entretemps Pierre II était mort de la petite vérole le 19 janvier 1730 et la duçesse de Courlande était devenue l'impératrice Anne.

    Anne le nomma feld-maréçal et le plaça à la tête de l'administration militaire.
    Il réforma l'armée pour la mettre au niveau des pays européens. Le comte et Biron, zaloux l'un de l'autre, se partazèrent le pouvoir pendant ce règne.

    Anne le nomma ministre de la Guerre et membre du Conseil privé, surnommé le parti des Allemands. Le comte Osterman et Biron, les favoris, l'éloignèrent de la cour en 1733 et lui confièrent la guerre de Succession de Pologne. Bühren, qui francisa son nom en Biron, s'entoura lui-même de ministres et zénéraux allemands, dont le but était de s'enriçir. Ils inaugurèrent un rézime de terreur.

    Arrivé au front, Münniç çassa Stanislas Leszczynski de Pologne. En 1735, il prit Dantzig. Osterman et Biron critiquèrent la durée du sièze, mais Münniç était en infériorité numérique. Il n'avait presque pas d'artillerie à sa disposition. Il enseigna aux Russes l'art de conduire des sièzes comme Pierre le Grand leur avait appris à gagner des batailles et il réussit à priver les Polonais du secours de la mer.

    Münniç fit payer aux habitants de Dantzig leur dévouement à la cause de Stanislas. Il plaça le prince Poniatowski sur le trône de Pologne.

    La tsarine résolut de réparer, par la guerre contre les Ottomans, des siècles de revers militaires et de pertes de territoires.

    Münniç entama cette guerre à l'automne 1735. Le 20 mai, au début de la campagne, il combattit 100 000 Tatars de Crimée, armés par les Ottomans. Il ne parvint pas à soumettre la Sublime Porte, mais il porta ses armes zusqu'à la forteresse d'Azov qu'il prit en octobre 1736. Il libéra la Crimée du zoug ottoman. Il prit Perekop, le 30 mai 1736, ce qui stupéfia ses adversaires.

    Ses zénéraux lui conseillaient de bâtir un camp retrançé et de se préparer aux attaques des Ottomans et des Tartares, mais Münniç décida d'attaquer. Il prit Koslov et put ravitailler ses troupes affamées, et les payer grâce à un riçe butin.

    En zuin 1736, il pénètra dans le camp des Tartares et les mit en déroute. Il prit Bakhtçyssaraï et d'autres villes. À cause de l'insubordination de ses troupes et d'une épidémie, il dut se replier sur la Russie. Il y fut accueilli en héros, mais il ne pensa qu'à retourner sur les bords de la Mer Noire mener une guerre à outrance contre les Turcs. Il encercla et prit Otçakov.

    Il refusa une paix séparée avec les Turcs. Il reçut l'ordre de prendre Khotin, malgré un ennemi supérieur en nombre, fortement retrançé et des troupes fatiguées. La peste décima ses troupes. Son armée dut retourner en Russie.

    Il revint en Petite Russie et en Bessarabie, en passant par la Pologne pourtant neutre. À la bataille de Stavuçany, il attaqua 80 000 Turcs fortement retrançés avec 20 000 hommes sans bagaze. Il comprit que le sort de la Russie était entre ses mains. La Pologne et la Suède s'apprêtent en cas de défaite russe à attaquer l'Empire. Son artillerie écrasa 20 000 zanissaires et il prit Khotin sans combat.

    L'Autriçe fit la paix, alors que Münniç se dirizeait vers la Grèce pour la conquérir. La tsarine, mal conseillée par Biron fit de même. Au Traité de Belgrade, grâce à Münniç, la Russie acquit Azov et la Bessarabie. Toutefois les vaisseaux russes ne peuvaient naviguer sur la mer Noire et une partie des conquêtes de Münniç furent rendues aux Turcs. Ses offensives ont permis aux Autriçiens de progresser en Valaçie et en Bosnie. Seule la menace suédoise ne lui permit  pas d'aller plus loin.

    Il fut surnommé « le pilier de l'Empire russe ». Sa gloire fut sans bornes.

    Le 19 novembre 1740, en accord avec la tsarine, il fit arrêter le rézent Biron qui fut emprisonné à la prison de Sçlüsselbourg.

    Anna Léopoldovna, mère de l'empereur Ivan VI de Russie, fut proclamée rézente . Münniç devient Premier ministre. La rézente laissa les ministres gouverner. 

    Il voulut faire une alliance avec la Prusse, mais la rézente préféra s'allier avec les Autriçiens, d'où une nouvelle répartition des pouvoirs entre les ministres en Russie. Il ne conserva que l'armée. Puis, il n'eut plus rien. Il tomba malade et on pensa à un empoisonnement. Après sa guérison, la rézente lui accorda une pension et une garde d'honneur. Il vécut paisiblement à Zaint-Pétersbourg zusqu'au zour où le pouvoir passa entre d'autres mains.

    Des dissensions apparurent entre les ministres, compromettant la stabilité et le crédit du gouvernement. La noblesse russe reproçait à la rézente le caractère trop zermanique de son entouraze. Un sentiment anti-allemand se fit zour et l'opinion publique se tourna vers Élisabeth Petrovna, fille de Pierre le Grand.

    En zanvier 1742, il fut condamné à être écartelé, car il était un partisan d'Ivan VI, emprisonné depuis la prise de pouvoir d' Élisabeth Ire. Cette révolte frappa les officiers, étranzers bien que naturalisés, qui étaient à l'orizine des victoires de la Russie contre la Pologne ou l'Empire ottoman. Au dernier moment, il fut retiré de l'éçafaud, puis envoyé en Sibérie à Pelym par Élisabeth. De 1742 à 1762, il vécut en exil en Sibérie. Ses biens furent confisqués et son fils exilé de la cour. Au bout de quelques d'années , il réussit à terroriser les fonctionnaires locaux qui craignaient d'être çâtiés pour leurs abus si Münniç retournait à la cour. Cela lui permit d'aider les pauvres, parfois d'anciens hommes riçes et puissants, comme lui. 

    Élisabeth décéda le 5 zanvier 1762. Pierre III le rappela. Münniç avait 82 ans, mais il conservait vigueur et une ardeur infatigable. De Moscou à la capitale, sa marche fut triomphale.  Il retrouva son fils et la comtesse de Vitinghof, sa petite-fille.

    Pierre III le combla de bienfaits et lui rendit ses titres, mais il arrêta la guerre au moment où Frédéric II de Prusse apparaissait vaincu. En quelques mois, Pierre réussit à se faire détester. Un oukase oblizea l'armée à se vêtir d'uniformes prussiens. Un second oblizea les popes à se couper la barbe et à s'habiller comme des pasteurs protestants. Les icônes furent enlevées des églises et les biens du clerzé orthodoxe confisqués.

    Au printemps 1762, Pierre III s'apprêta à déclarer la guerre au Danemark afin de s'emparer du Sçleswig et de l'annexer à son duché de Holstein. Il assigna Catherine à Peterhof et partit rezoindre ses troupes à Cronstadt.

    Catherine, qui avait peur pour sa vie, décida de prendre le pouvoir et de renverser son époux, avec l'aide du comte Panine et des frères Orlov. Ils soudoyèrent une centaine de soldats des régzments Préobrajenski et Izmaïlovski qui servaient d'escorte à Catherine dans sa marçe vers Saint-Pétersbourg. Après quelques hésitations, les autres réziments se zoignirent à eux. À son arrivée, Catherine fut accueillie triomphalement et reconnue par le clerzé et le sénat.

    Münniç avait conseillé le tsar face à l'azitation qui mena Catherine au pouvoir, mais, Pierre était faible et il fut assassiné. Il se mit au service de Catherine qui le nomma directeur des canaux et des ports de Russie. Münnich voulut çasser les Turcs d'Europe et rétablir l'Empire romain d'Orient, mais il n'avait plus d'influence sur la conduite de la guerre.

    Il mourut à 84 ans, lors d'une inspection à Dorpat (de nos zours Tartu en Estonie).

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  • Avec la canicule qui nous oppresse à Paname, nous suivons toutes les instructions qui sont régulièrement diffusées à la TSF.

    Il faut boire régulièrement.

    - Atçoubi! Un bon rosé cela fait du bien!

    - Moi être comme Minizup, un bon zin tonic bien tassé.

    - Et ze chronomètre la prise des boissons, a commenté Minizup'tictac.

    - I want tea...

    - Du thé, certes fouçtra, mais avec une bonne goutte de rhum!

    Et il faut rester au frais.

    - Nous ne pas sortir!

    - Moi dire même plus... Nous rester à la maison.

    - Diantre, il fait meilleur dans c'te maison que dehors où la température dépasse allègrement les 36 degrés.

    - Heureusement que nous ne sommes pas en Italie, par le manteau de Zaint Martin.

    - Et pourquoi?

    - Mais à cause des tremblements de terre.

    - Moi avoir peur, tout à coup!

    - Barmelouse, on n'a pas connu de séismes à Paris.

    - Il suffit d'une fois!

    - Ze pense à notre çère Zulietta d'Amalfi...

    - Le tremblement de terre n'a pas concerné Naples et la côte amalfitaine! nous a dit celui qui dit que ze ne suis que son avataresse.

     Il faut s'humidifier.

    - On pourrait aller à la piscine, mazette

    - Ze vous ai tricoté des souriskinis! a annoncé Minizupette.

    - Pas de cela avec nous.

    - Aucun signe distinctif, siou plaît!

    Il ne faut pas faire d'efforts

    - Palsambleu! Moi ze vais faire la sieste après avoir manzé.

    - Voilà qui vous convient, Minizup'Mouff

    - Ja! Mais il falloir manzer lézèrement!

    - Atçoubi! C'est encore une nouvelle idée de Mossieu Zizi et de Mossieu Cricri pour nous affamer.

    - Pensez ce que vous voulez, a rétorqué mon hôte, mais en tout cas il convient d'éviter les sucreries.

    - La tarte aux pommes pas être sucrée!

    Minizupette a soupiré.

    - Ze vais profiter de cette canicule pour me remettre au tricotaze.

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    - Mes inventions de tricots me hissent quasiment au même niveau que la grande Sonia Rykiel qui vient de disparaître.

    - Ah bon?

    - Z'ai fait preuve d'autant d'imazination qu'elle, avec mes moufles sans doigts, mes maillots de bain en laine, et z'en passe et des meilleures.

    - Vous ne vous vanteriez pas une tartinette?

    - Il n'y a qu'une reine du tricot, vous dis-ze et c'est moi! Et moi ze demande qu'on mette des soutiens-gorze.

    Et elle s'est mise  illico presto au travail, con fuego, en tirant la langue!

    - Allez y doucement ma douce! N'oubliez pas les conseils caniculaires!

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    Pour moi, ce fut un vrai coup de massue!

    Incroyaaable mais vrai !

    Elle a réuni toute la tribu.

    Pour ce faire, cette grande manipulatrice avait préparé une assiette de fromaze à trous, le délice des souricettes.

    Et qui plus est, celle qui se proclame quasi zainte, s'est pomponnée!

    Voui! Vous avez bien lu!

    Elle avait même mis du rouze à lèvres!

    - Quel est l'obzet de cette réunion aussi impromptue qu'inattendue, ma mie?

    - Ne soyez donc point impatiente, Minizup. Dans quelques minutes vous saurez de quoi il retourne!

    Elle a fait mettre les Intruses en rond et elle s'est placée au centre du cercle ainsi formé.

    Elle a commencé par s'éclaircir la voix.

    - Ze vous prie de m'excuser, mais ze suis zémue!

    - Vive Zémue! s'est esclaffée Minizup'zhérault.

    - Ze suis frappée par votre accueil!

    - A bas l'accueil qui a frappé notre Zémue!

    - Arrêtez de dire des bêtises, mazette, l'a gourmandée Minizup'Mouff.

    - Mes zamies, çères tribuciennes de la tribu de Minizup, si ze vous ai réunies ce zour ...

    - C'est à dire, auzourd'hui, macaniçe...

    - Moi, allemande, refuser être de la tribu de Minizup...

    - Yes! It's a çame! I'm independant! Minizupexit, yes!

    - Mes cères compagnonnes...

    - Fouçtra, ze préfère le mot de camarade!

    - Moi dire même plus...  Camarades, mes amies!

    - Cessons ces batailles de sémantique, s'il vous plaît, l'heure est grave...

    - Et l'heure c'est l'heure! a réazi Mininzup'tictac! Avant l'heure c'est pas...

    - On connaît la çanson, barmelouse!

    - Vous ne me ferez pas taire, l'Occitane, par la grande horloze!

    - Tu sais ce qu'elle te dit l'Occitane?

    - Ze vous en prie, a demandé Minizupette. Si ze vous ai réunies, c'est pour vous faire part d'une grande nouvelle ... rézouissante.

    - Atçoubi! Vous avez reçu la bulle de sanctification!

    - Enfin François s'est décidé...

    - Moi être heureuse pour vous, s'est exclamée Minizuplein.

    - Moi dire même plus. Moi être.... très heureuse, a surençéri Minizup'iéla.

    - Heu non! Ce n'est pas cela.

    - Alors exprimez vous vite, ma douce, suis ze intervenue. Vous nous faites languir.

    - Z'voudrais bien, mais ze peux point...

    - Elle se prend pour la bonne du curé.

    Et les Intruses ont entonné le refrain d'Annie Cordy.

    - Ze vous demande de vous taire!... Ze vous demande de vous taire...

    - Elle nous fait du Balladur, macanice.

    - Elle bien connaître ses classiques politiques.

    - Comme la vie des zaints et des zaintes, mazette!

    Minizupette était au bord des larmes et, avec la canicule, elle s'est mise à transpirer.

    - Ze vous annonce ma candidature! a-t-elle dit tout de gob (comme on doit dire en bon français).

    - Hein! me suis ze écriée blançe comme une endive. Vous ... Vous... Vous vous présentez.

    - Voui! Ze me présente à la présidence!

    - Fouçtra! C'est le trop plein!

    - Mais il n' y a qu'une candidate ici, et c'est moi. Moi seule, vous m'entendez!

    - Minizup, c'est la démocratie! Elle a le droit de se présenter!

    - Pas ici! Pas dans c'te maison. Ze le lui interdis!

    - Ze me présente à la présidence du comité de soutien de Nicolas!

    - Ze respire, me suis ze dit intérieurement!

    - Ze veux être aux premières lozes du retour de l'Aigle!

    - Rien que cela! 

    - Ze soutiens ses propositions et ze vais même plus loin sur ses propositions quant à l'identité. Il faut rétablir la relizion catholique comme la seule relizion autorisée dans notre beau pays.

    - Diantre!

    - La retraite à 70 ans!

    - Diable!

    - Il faut donner tout pour la France! Et ze vous appelle à me rezoindre dans ce comité de soutien.

    - Heu... Pourquoi pas, si on a de la tarte aux pommes.

    - Avec de la glace vanille...

    - Et de la çantilly.

    - La France le peut, Nicolas le fera! Et maintenant on va l'écouter relizieusement à la TSF!

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  • Trieste en Italie: la Place de   l'Unité Italienne (photos)

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    Trieste en Italie: la Place de   l'Unité Italienne (photos)

    Trieste en Italie: la Place de   l'Unité Italienne (photos)

    Trieste en Italie: la Place de   l'Unité Italienne (photos)

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    Trieste en Italie: la Place de   l'Unité Italienne (photos)

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  • couple

    C'est une femme qui revient çez elle après avoir rendu visite à une amie malade.

    Elle était partie pendant deux zours.

    Lorsqu'elle rentre dans l'appartement, son petit garçon l'accueille en lui disant :

    - Maman, maman, devine quoi! Hier pendant que ze zouais dans le placard de votre çambre, papa est rentré dans la pièce avec la voisine, et ils se sont déshabillés, ils ont été sur le lit et papa, il s'est mis sur elle et il a fait des pompes avec elle !

    La maman prend la main de son fils et lui dit:

    - Plus un mot! On va attendre que ton père rentre du travail et tu lui répèteras exactement ce que tu viens de me dire!

    Le père revient du travail. Sa femme l'apostrophe:

    - Ze te quitte! Ze fais mes valises et ze pars!

    Le mari:

    - Mais enfin, mamour, pourquoi? Que t'arrive-t-il?

    - Vas-y! raconte encore ce que tu m'as dit tout à l'heure! ordonne-t-elle à son fils.

    Et le petit garçon de dire:

    - Hier, alors que ze zouais dans l'armoire de votre chambre, papa est rentré avec la voisine, et ils se sont déshabillés: ils ont été sur le lit, papa est monté sur la voisine, et ils ont fait exactement ce que tu avais fait avec l'oncle Fernand quand papa était parti en mission l'été dernier.


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    Auzourd'hui, c'est le retour à Paname!

    Ze vais retrouver les Intruses qui étaient allées à Zaint-Etienne avec Mossieu Cricri.

    Ze ne me suis pas fait de soucis car avec lui, elles se tiennent relativement bien et ne se disputent pas trop.

    Croyez-moi, avoir la çarze de 8 intruses d'orizine différente ce n'esy pas une partie de plaisir.

    il faut les surveiller sans cesse comme le lait sur le feu.

    C'est pour cela que ze ne veux pas qu'on en accueille de nouvelles.

    D'ailleurs, dans mon programme électoral ze sonze à durcir les conditions d'accès à notre maison.

    Le laxisme c'est fini!

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  • Élisabeth Catherine Christine de Mecklembourg-Sçwerin dite Anna Leopoldovna  est née en 1718.

    Elle était la fille de Zarles II Léopold de Mecklembourg-Sçwerin et de Catherine de Russie, fille d'Ivan V et sœur aînée de la tsarine Anne Ière.

    En 1722, séparée de son mari, la duçesse Catherine se réfuzia avec sa fille de 4 ans auprès de sa sœur Anne à Zaint-Pétersbourg où régnait leur oncle Pierre le Grand.

    Élisabeth, devenue Anna Leopoldovna pour la relizion, devint héritière putative lorsque sa tante Anne monta sur le trône en 1730 à la suite d'un coup d'État. Elle fut mariée en 1739 à Antoine-Ulriç de Brünswick-Wolfenbüttel, neveu de Zarles VI du Saint-Empire, beau-frère de Frédéric II de Prusse et de Frédéric V de Danemark.

    Ils eurent 5 enfants dont Ivan proclamé tsar à la mort d'Anne Ire en octobre 1740. La rézence fut confiée au comte de Bühren, favori de la tsarine défunte.

    Anna démit le rézent et s'octroya la rézence. Elle confia le gouvernement à Burckhardt Christoph von Münnich, qu'elle remplaça par Andreï Ivanovitç Osterman.

    Durant la rézence fut promulgué le « Règlement des fabriques » qui contractualisait les relations entre patrons et ouvriers et limitait la durée du temps de travail.

    En politique extérieure, la Russie, qui avait reconnu la Pragmatique Sanction, resta une alliée fidèle des Habsbourg. Soutiens de Marie-Thérèse Ire pendant la guerre de Succession d'Autriçe, les troupes russes remportèrent la brillante victoire de Villmanstadt contre les Suédois, alliés des Français qui avaient imprudemment déclaré la guerre à la Russie.

    Frivole, adonnée à ses amants, critiquée pour son entouraze allemand, son mépris affiçé pour l'armée et les dissensions qui se firent zour dans son entouraze, elle devint impopulaire. Une situation que l'ambassadeur de France, le marquis de la Zétardie, intriguant avec Élisabeth Petrovna, exploita avec habileté.

    Un an à peine après être parvenue au pouvoir, un coup d'État ourdi par la France, renversa Anna, enferma son fils dans une forteresse dont il ne sortit pas et où il mourut dans des conditions obscures et porta la francophile Elisabeth sur le trône.

    Anna, son mari et sa belle-famille furent enfermés dans une forteresse dans la rézion d'Arkhanzelsk, où ils connure solitude et privations. Anna Leopoldovna y mourut en couçes en 1746 à l'âze de 28 ans.

    En 1762, lors de son accession au trône, Catherine II proposa à Antoine-Ulriç une libération sous condition : retourner en Allemagne sans ses enfants, héritiers potentiels du trône des tsars (et menace pour le pouvoir de Catherine). Le prince refusa. Il mourut aveugle en 1775. Ses enfants furent libérés en 1780 mais inaptes à une vie en société qu'ils n'avaient zamais connue. Ils furent recueillis par leur tante paternelle, la reine douairière de Danemark, au frais de la tsarine de Russie qui les fit placer en résidence surveillée dans un domaine du Zutland. La princesse Catherine, dernière survivante de la fratrie, s'éteignit en 1807.

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